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8 juillet 2013 (2) (0146)  
des bouddhistes assassins !

Le moine Wirathu, le "Ben Laden bouddhiste"
prêche de village en village en Birmanie (photo "Time")
Wirathu

"Tant qu’il y aura des hommes," un film fameux quand j’avais 20 ans, fut un réquisitoire contre la brutalité et le délabrement moral de l’humanité.
Mais tant qu’il y aura des hommes, ne verrons-nous que mensonge, injustice, violence, jusqu’à ce que le dernier disparaisse de la terre ?
Non, déclarent les Pèlerins d’Arès. La Révélation d’Arès a été donnée, parce qu’Éden peut reparaître, si un petit reste de pénitents suffisant redonne la Lumière (Rév d’Arès 12/4) et la Paix (Rév d’Arès xxv/11) à ce monde sombre, fourbe et violent.
J’ai beau connaître le péché du monde, je ne peux m’empêcher de crier ma douleur :
En Birmanie des bouddhistes massacrent des musulmans.

Élie égorga les prêtres de Baal. Muhammad guerroya. Même le doux Jésus chassa les marchands du temple. Mais chez Bouddha trouve-t-on la moindre violence? Non. Les bouddhistes ont eu un prophète parfaitement pacifique. Comment ceux qui se réclament de lui peuvent-ils tuer des musulmans, vandaliser des mosquées, et qui plus est, sous la direction "spirituelle" d’un moine de 46 ans: Wirathu ?
Certes, les musulmans birmans ne sont pas des agneaux, mais en quoi 4% de musulmans dans une population de 54 millions, bouddiste à 70%, forment-ils une menace ?
Tant que dura la dictature des généraux en Birmanie, il n’y eut point d’exactions entre bouddhistes et musulmans, mais la liberté politique revenant, les bouddhistes agressent les musulmans.
Non seulement je murmure tristement que cela en dit long sur le sens que les pécheurs donnent au mot liberté, mais je chuchote au Créateur: "La Birmanie n’est pas dans mon aire de mission (Rév d’Arès 5/5-7), mais, s’il te plaît, ne tarde pas à appeler là-bas un prophète !"
Heureusement, tous les bouddhistes birmans ne sont pas criminels. L’un d’eux, le moine Watcharapong Suttha, grièvement blessé par l’éclatement d’une bombe islamiste tandis qu’il mendiait, encore en convalescence, dit: "L’Islam n’est pas que violent. Il est aussi une religion pacifique. Gardons-nous d’accuser ! Si nous accusons les musulmans, ils vont nous accuser, et ce sera une vengeance sans fin." (Rév d’Arès 27/9)
Pendant mon pèlerinage je médite sur les péchés et les souffrance de mes frères chrétiens, juifs et musulmans sur mon aire de mission, mais j’ai une pensée émue pour les péchés et les souffrances de mes frères humains du côté de Rangoon.
O Pèlerins d’Arès, un travail gigantesque vous attend.

copyright 2013
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Commentaires:

09jul13 146C1
On croule sous les informations ! BFM TV, la soi-disant première chaîne d'informations de France, I-télé et les autres, passent en boucle les événements du monde. Pour ma part, je me contente maintenant d'Euronews, qui montre et explique objectivement et clairement ce qui se passe dans le monde, sous différentes thématiques.
La Révélation d'Arès nous avertit des dangers pour l'âme auxquels ces rats nous exposent par leur journalisme, politiques et sciences qui prévalent sur tout, faisant de nous, pauvres citoyens mal informés, des cerveaux atrophiés sur pattes, incapables de défier la peur, de contrer l'engouement frénétique des scandales financiers et politiques et de tout simplement nous raisonner en nous disant: "Bon : Ils ne sont pas sûrs, ils balancent une info pour l'audience !"
C'est ainsi que ce weekend, on spécule avec la une d'un B777 qui s'est loupé à l'atterrissage à San Francisco (OK 2 morts et des blessés) et on nous fait peur parce que c'est une "excellente" compagnie aérienne qui ternit sa réputation et bla bla bli et prout prout prout... et Sarkozy avec ses comptes de campagne présidentielle refusés, c'est sûr que ça va vraiment le décourager à se représenter, lui qui pèse des millions d'euros... franchement, on est manipulés !
Allons bon ! Voilà que le scandale est ailleurs ! Je ne savais pas que ce massacre avait lieu en Birmanie, pays certes sous la dictature pendant longtemps et coupé du monde mais quand même...
À croire qu'il faut lire "Le Monde" ou la presse sud-asiatique pour l'apprendre... ou votre blog. C'est bizarre que ça ne fasse pas la une !
Franchement, honte à nous, Européens dans le confort, qui ne voyons plus les priorités où elles se trouvent !
Les yeux bandés, nous avançons pensant aller tout droit mais le tourbillon d'informations expédiées à vau-l'eau nous a désorientés au point de ne pas penser à écouter au-delà de ce bruit et se diriger vers ce qui est à changer et à accomplir.
La Révélation d'Arès est un guide de vie et vous êtes, frère Michel, notre "guide spirituel" pour bien l'accomplir.
Que Dieu vous entende ! 
Mymy la Guéparde (Myriam de Gironde)


10jul13  146C2  
Mikal, j’aime votre réponse 145C1.
Je lis vos écritures avec attention depuis des éons d’années et elles me donnent la Vie.
Elles sont naturellement et légitimement honnêtes. Elles m’apportent du bonheur. Elles me protègent de l’autre, du mécontent, du coléreux, du jaloux vindicatif, de l’ignorant, du sectaire qui me ramène en prison, en punition dans les ténèbres les plus épaisses. [Elles m'aident] à garder ma paix dans l’adversité.
Le méchant à des pensées des plus abominables pour empoisonner le monde entier et empêcher la réalisation du Royaume de Dieu.
Tu ne tueras pas dit la Bible (Luc 18/20, Exode 20/13, Deutérome 5/17).
Dieu a promis à ceux qui croient et font le bien  un pardon et une récompense sans limites (Coran v/9).
Ne semez pas la corruption sur terre ! (Coran II/11)
Une sœur De Bretagne sud.


18jul13  146C3  
Le lien entre vos trois entrées [145, 146 et 147] me semble évident.
Le didaché que je mentionne dans un commentaire pour l’entrée145 (cf. n° ) montre bien que la priorité du prophète juif Yéchou était d’abord dans une certaine tenue spirituelle, une beauté comportementale dans l’observance d’un enseignement et non dans l’observance rigoureuse de rites, qui n’ont d’utilité que tant qu’ils stimulent l’envie d’être bon ou pénitence, mais qui deviennent contre productifs dès qu’ils deviennent exigence première, culte, pratique répétitive, non évolutive, incantatoire, qui occulte la recherche réelle du Fond en soi.
En créant une identité religieuse, culturelle, certes respectable mais non sacrée, et pernicieuse quand elle s’oppose en tant que vérité à d’autres identités culturelles, certes tout aussi respectables mais elles aussi non sacrées, les hommes sont passés à côté du vrai ou pratique de la vertu, la recherche de l’intelligence du cœur qui passe par l’amour de tous les hommes, y compris ses ennemis ce que précisait bien Jésus pour faire comprendre toute la portée insurgeante de l’amour évangélique, différent de l’amour des siens ou de ses fidèles.
Si les hommes avaient multiplié leurs yeux comme les anges qui en portent tout autour de la tête pour ne pas quitter Dieu du regard (Rév d'Arès 36/02), s’ils avaient porté leur foi prioritairement sur la recherche du bien en eux et non  sur l’observance de règles et de cultes, nous n’apprendrions pas ce genre de crime de la part de frères bouddhistes au mépris des meilleures traditions qu’ils aient pu conserver comme la non violence.
Vous êtes le prophète du Vrai (Rév d'Arès xxxiv/01).
Dans quelques générations après vous et nous vos frères, un reste conséquent d’hommes se sera rendu à l’évidence que la foi et le culte seuls ne sauvent personne, que seule sauve la recherche constante de Dieu en soi-même, ou pénitence, mue par une foi et une volonté dynamiques, une "discipline" qui ne nécessite ni "exercices spirituels" particuliers et difficiles, ni lieu ni temps spécifiques  parce qu’elle se pratique dans la vie de tous les jours, dans ses rapports d’amour avec les autres, dans le temple sacré bâti au fond de chaque homme où l’attend son Dieu : son cœur.
Claude (Ile de France)


Reply :
Dans ma réponse 145C8 j'ai corrigé ce que vous dites à propos de la Didaché.
Votre dernier paragraphe est juste: "Seule sauve la recherche constante de Dieu en soi-même, ou pénitence, mue par une foi et une volonté dynamiques, une "discipline" qui ne nécessite ni "exercices spirituels" particuliers et difficiles, ni lieu ni temps spécifiques  parce qu’elle se pratique dans la vie de tous les jours.
Justement, ce que vous dites ici s'oppose à ce que dit la Didaché, texte ecclésiastique, primitif mais ecclésiastique.


24jul13  146C4
Dans votre entrée de blog, le moine bouddhiste Wirathu prêche ouvertement et librement la violence et plus personne ne semble s'en inquiéter. Récemment, je voyais un reportage télévisé au journal du "vingt heures" où un iman prêchait la violence envers les occidentaux sous encadrement policier. La scène filmée en Angleterre laissait supposer que la police protégeait le prêcheur plutôt qu'elle le surveillait. Le monde à l'envers !
Oui, tous ceux qui prêchent la haine de l'autre doivent nous faire prendre conscience du danger de la passivité et de l'indifférence face au mal. Car tôt ou tard les paroles deviennent des actes. Et comme vous dîtes, les exemples ne manquent pas.
La semaine dernière, rangeant mon bureau, je tombe sur un vieux journal local laissé par mon prédécesseur parti à la retraite. L'article date du 6 aout 2012 :
"Fusillade dans un temple sikh aux Etats-Unis. Un homme blanc d'une trentaine d'années a ouvert le feu hier dans un temple sikh à Oak Creek (Wisconsin, Etats-Unis). Selon la police, au moins sept personnes sont mortes, dont le tireur. Trois autres auraient été transportées à l'hôpital dans un état critique."
Cette retranscription de l'évènement, en dernière page, sur cinq petites lignes passe quasiment inaperçu. Cela montre la banalisation du mal et de la violence dans notre société entrainant une indifférence générale.
Cette conscience du danger de l'indifférence à ce qui ne nous touche pas directement avait amené le pasteur Martin Niemoller à écrire :
"Lorsque les nazis vinrent chercher les communistes, je me suis tu : je n'étais pas communiste.
Lorsqu'ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je me suis tu : je n'étais pas social-démocrate.
Lorsqu'ils sont venus chercher les Juifs, je me suis tu : je n'étais pas Juif.
Lorsqu'ils sont venus chercher les catholiques, je me suis tu : je n'étais pas catholique.
Lorsqu'ils sont venus me chercher, il n'y avait plus personne pour protester."
Je me souviens d'avoir lu quelque chose de similaire attribué à André Gide. Mais André Gide écrivit également : "Toutes choses sont dites déjà ; mais comme personne n’écoute, il faut toujours recommencer."
Merci pour ce rappel, frère Michel. Oui, un travail gigantesque nous attend !
Philippe C. de Provence-Alpes-Côte d’Azur


24jul13  146C5  
"J’ai beau connaître le péché du monde, je ne peux m’empêcher de crier ma douleur " (Frère Michel)
Frère Michel, avec vous, Je partage cette douleur qui est celle de tout humain persécuté, physiquement ou moralement:
En Birmanie des bouddhistes assassinent leurs frères musulmans,
mais combien d'hommes, de femmes , d'enfants, assassine -t-on, chaque jour, physiquement ou moralement ?
La Birmanie
La Birmanie est située dans la péninsule indochinoise au Sud Est de l'Asie.
Elle est entourée au Nord par le Tibet (Chine),
l'Inde, à l'Ouest et le Bengladesh sur le coté limitrophe,
la Chine au Nord Est et  le Laos et la Thaïlande au Sud' Est
Au Sud la Mer d'Andaman et le Golfe de Siam et à l'Ouest par l'Océan Indien, le Golfe du Bengale.
Elle est formée d'une fédération d''anciennes colonie anglaises et d'Etats non Birmans : les Etats des Chans, des Kharens ( Kawthooleis), des Arakans(Ouest), des Kachins et des Kayahs, et le territoire autonome des Chins, l'Etat Môn.
Les sept divisions administratives Birmanes sont Rangoon, Irrawaddy, Mandalay, Sagaing, Tenasserim, Magway, Pegou.
Après une période féconde où les différentes ethnies vivent en bonne entente, ce pays vit des secousses importantes, après la colonisation anglaise, envahissement du pays par les japonais. Sous pression britannique, puis japonaise, elle finit par connaitre une période d'accalmie, période fragile qui dure quatorze ans  à partir de son indépendance en 1948. ;Puis la prise en main d'un pouvoir militaire très autoritaire, ferme ce pays aux étrangers.
La Birmanie constitue un pays où les groupes ethniques sont nombreux parmi lequel environ 23% sont minoritaires où l'on parle le shan, l'arakan, le karen, le kachin, le chin, le karenni, le môn, le rohinga... le groupe le plus important c'est la Birmanie proprement dite, qui parle la langue Birmane c'est à dire le sanskrit et le pali ( les deux langues sacrées du bouddhisme).
Trois des ethnies ont souvent fait parler d'elles par des mouvements de révolte contre le régime birman existant. Dans ce pays très varié, il y vit aussi un nombre important de chinois et d'indiens.
Les langues principalement parlées sont donc: le Birman, l'Anglais, le Chinois et le Thaï.
Une politique linguistique a été fixée en 1974, supposant un statut différencié à l'égard des minorités.L'administration au départ militaire n'utilisait que le Birman et l'anglais, c'est cette langue qui sert de communication entre les diverses ethnies dans le pays, mais l'instruction dans les écoles est faite surtout en birman, l'anglais est la seconde langue.
"Les Rohingyas*
Les Rohingyas vivent le long de la frontière birmane avec le Bengladesh, ils sont aussi appelés "les Bengalis" parce que l'on souhaite qu'ils appartiennent au Bengladesh (c'est nom de leur dialecte).
Ce peuple est devenu un peuple sans patrie, car il ne sont pas considérés comme faisant partie des minorités ethniques reconnues par le pouvoir, bien que ceux-ci réclament la reconnaissance de leur appartenance historique à la Birmanie.
En effet les Rohingyas revendiquent leur présence en Arakan, ancienne de plusieurs siècles; mais le gouvernement dit qu'ils appartiennent au Bengladesh. En effet, ils sont arrivés en Birmanie, à partir de 1824, au temps de l'Empire britannique.
Après 1948, la présence des musulmans a été limitée; alors que 135 groupes ethniques étaient reconnus officiellement, la loi 1982 a exclu les Rohingyas, les rendant ainsi apatrides sans possibilité de retourner au Bengladesh. D'autre part un des états --- l'état Ratkhime- très  pauvre lui aussi, s'oppose avec une grande violence à leur présence.Les Rohingyas vivent dans une extrême misère, sans soin ---, même primaires pour désinfecter une plaie: blessures dues aux combats, pas de médecine -  dans des camps . Le dernier camps étant bouclé par des barbelés. Certains d'entre eux n'ayant plus rien à perdre ont décidé de fuir par la mer. 
Une estimation par l'O.N.U les dénombre à environ 800000 ; mais, dernièrement un autre chiffre donné aux informations télévisées était de 5 millions.Ils sont considérés par les organisations comme "les plus persécutés de la planète", insultés et vus par les Birmans comme immigrés illégaux";"ils sont traités d'envahisseurs et de terroristes"
Que se passe-t-il dans ce pays? Quelles sont ses ressources économiques ?
Ce que l'on sait c'est qu'une grosse partie du budget était destiné à l'armée. Amnesty Internationale donne une version plus affirmée, où l'on parle de la drogue où les droits de l'homme y sont bafoués, où la torture est pratiquée dans les prisons.
Sur le plan religieux il y a un tel fossé tel entre ce qu'enseigne le Bouddhisme et la religion musulmane et la réalité sur le terrain que l'on se demande quelle raison peut justifier de de tels actes de barbarie, si ce n'est le manque ou la peur, ou l'avidité.
L'Inde et la Chine ont des besoins qui se développent, projet d'ouverture, mais cela n'a rien à voir. Un si petit nombre d'homme et de femme avec leurs enfants se contenterait de la bienveillance, d'une terre et de quoi s'épanouir.
Je ne juge pas. La première démarche au fond de son âme étant d'apaiser mon âme et de réfléchir. Mais si la tristesse m'envahit face à la fréquence de décision arbitraires entrainant une chaine de violence, une destruction de la paix , je sais que c'est le péché de chacun donc y compris le mien qui est la cause du mal sur cette planète.
Gandhi, qui, par une longue action pacifique en Inde face aux anglais, enseignait qu'il se sentait pécheur et donc il disait: "Je n'ai jamais tué, mais je me sens le frère de tous les assassins".
Bien souvent la violence en l'homme nait avec la soif de pouvoir, un désir démesuré d'avidité de possession (tanhā) , avec la jalousie et la recherche de jouissance.
Le semeur (Rév d'Arès 5/1) a parlé aux frères d'Abraham --- juifs, chrétiens et musulmans ---,  mais Il a aussi parlé  aux frères de Zoroastre. Il est passé par là, sur cette terre où le bouddhisme s'est développé. Nous devons mettre la paix en nous, aimer pardonner, être libre de tout préjugé, de toute peur
Certains de ces hommes ont la Vie, comme le juif, le chrétien, le musulman, pour y trouver la Paix.
La faculté de la retenue, le pouvoir d'entrer en soi pour y trouver la Voie du Bien afin d'accomplir leur karma.
Dieu Seul est Saint [Rév d'Arès 12/4]. Seul Dieu est l'Absolue Sainteté, par Sa Puissance, Sa Volonté et Sa Sainteté, nous les petits nous pouvons apporter au monde la Vie. L'homme, qui est son Enfant, a cette faculté en entrant en lui même par sa Volonté, de s'unir à Celle du Père pour freiner le feu dévastateur du mal en faisant le Bien. Chaque acte de Bien, d'où qu'il vienne, participe à la Vie. Si telle communauté pacifique se recommande de l'enseignement de son prophète Muhammad, et telle autre de l'exemple de renoncement, de bienveillance et d'Amour: Bouddha, alors c'est Merveilleux. Inversons les pôles!
"Tant qu'il y aura des hommes fut un réquisitoire contre la brutalité et le délabrement moral de l'humanité."
J'ai essayé de m'imprégner en visualisant quelques scènes de ce que ce film relate; une période sanglante me marque, c'est la période où les japonais attaquent  Pearl Harbor, et autre "délabrement  moral". Au cœur d'une de ces scènes un acteur connu intervient en homme fort, en justicier et nul ne la ramène!
Bien sur cet homme est un militaire!
Et notre Créateur ne crée par cela, la hiérarchie des pouvoir autoritaires, mais en certaines circonstances, il est nécessaire d'arbitrer, d'amener avec fermeté, les protagonistes à la raison sans jugement.
"Mais tant qu'il y aura des hommes, ne verrons-nous que mensonge, injustice, violence, jusqu'à ce que le dernier disparaisse de la terre?
Je ne le souhaite pas, Non, nous devons à la Vie d'une toute façon, nous lever et transmettre la Lumière Que nous puisons à la Parole à Arès, ce Feu  de la Force et de l'espérance.
Frère Michel, je comprends que lorsque parlant au Père, vous espériez qu'un prophète puisse intervenir sur cette terre,  qui n'est pas le champ de notre Moisson.
Je souhaite que votre vœux soit entendu du Père, du Père Qui git en l'homme.
Sans attendre aimons comme le Père nous aime afin que cet Amour s'étale sans fin au delà des Mers et des Océans que cet homme se lève lui aussi comme vous .
En prière et en effort avec vous.
Danièle du Nord


05aou13  146C6  
Les violences de masse en Birmanie, bouddhistes contre musulmans, sont une illustration sanglante de ce que vous dites dans l'article "Pénitence" ("Et Ce Que Tu Auras Écrit" Le Pèlerin d'Arès 1993-96 pp. 53-54) :

"De no jours les religions sont encore plus ou moins préhistoriques : mythologiques, superstitieuses, dogmatiques, parfois mégalomanes, confinées à la distribution de consolations, d'assurances, de pardons, à l'organisation de la prière-demande et de la prière-glorification, parfois à l'excitation de sentiments partisans, raciaux, nationaux [...]".

C'est aussi une illustration des conséquences imprévisibles, interminables des vengeances sans fin (Rév d’Arès 27/9) qu'engendre le péché sous toutes ses formes, le péché des populations locales comme le péché des occidentaux.
Dans cette région du monde comme sur presque toute la planète, les colonisateurs occidentaux ont apporté des armes sophistiquées, une logique de pouvoir centralisé, politique et religieux, attirant toutes les convoitises. Ils ont attisé les rivalités ethniques pour mieux dominer et l'argent des occidentaux finance tous les trafics comme celui de la drogue en Birmanie, premier producteur mondial d'opium dont les recettes réelles dépassent toutes les autres exportations officielles, alimentent les mafias et corrompent les politiciens locaux (la Birmanie est 176e sur 178 dans l'échelle mondiale de la corruption où la concurrence est pourtant vive!).
Lors de mes premiers voyages sac à dos en Birmanie dans les années 70, j'avais été frappé de la profonde religiosité de ce peuple et de l'impact positif qu'avait le bouddhisme sur eux, leur amabilité et leur hospitalité, j'avais pu aller au fameux pèlerinage de Kyaiktiyo (théoriquement interdit aux touristes à l'époque), un rocher sensé tenir en équilibre grâce à un cheveu du Bouddha et recouvert d'or par les fidèles et constater la ferveur populaire. Mais dans les années 80, j'ai pu en passant par la Thaïlande aller de l'autre côté de la façade et j'ai vu un tout autre visage de la Birmanie, dans ces zones tribales montagneuses, ravagées par la guerre civile entre l'armée birmane et les indépendantistes, rivalisant pour le contrôle des divers trafics et surtout du trafic de drogue. J'ai vu des villages d'un dénuement extrême, coupés du reste du monde, aux familles décimées par la guerre.
Il est difficile de savoir réellement ce qui se passe en 2013 en Birmanie qui se relève à peine d'une interminable dictature militaire et de sa censure omniprésente, mais ni un héritage bouddhiste dévoyé, ni la confrontation entre religions ne peuvent expliquer ces violences.
Il faut analyser le contexte local. L'histoire de ce pays est faite de violences incessantes. Une position géographique stratégique pour le commerce entre la Chine et l'Inde, les deux grands empires asiatiques, a suscité tout au long du deuxième millénaire des guerres interminables entre ethnies rivales : Les très "bouddhistes" Thaïs et Birmans se sont entretués pour le contrôle de la terre. Puis le colonialisme est venu et a imposé son ordre militaire comme Rome l'avait fait en Gaule. Après plusieurs guerres tout au long du XIXème siècle, les anglais victorieux ont imposé leur "pax britannica" consistant comme en Inde à exploiter toutes les ressources naturelles et humaines et à attiser les divisions ethniques.
On connaît le drame qui en a résulté en Inde, la partition entre musulmans et hindous et son cortège de violences et de vengeances. En Birmanie, ces Rohingyas qui font l'actualité sont des populations musulmanes exportées du Bengale par les anglais pour travailler dans les plantations et chantiers coloniaux birmans. Leur sort après la décolonisation n'a guère préoccupé les occidentaux, mais la situation était explosive : Sans terres, considérés comme des envahisseurs, voire même des collaborateurs, d'aspect physique, de langue, de culture et de religion très différents des autres birmans, totalement délaissés par l'État, apatrides, sans éducation, sans soins, avec de maigres revenus, ils subissent des préjugés populaires pires que les plus racistes des français en ont à l'encontre des Roms (eux aussi venus d'Inde mais par migration lente).
Après l'indépendance, ce pays hétéroclite subit la pression des insurrections et trafics des zones périphériques et l'armée prend le contrôle en 1962 avec un discours de socialisme non aligné masquant la dictature impitoyable de Ne Win, relayée par une junte militaire en 1988 qui commence à lâcher du lest depuis peu en se donnant une façade démocratique.
Mais la réalité des luttes de pouvoir entre militaires et leurs alliés et de l'oppression des minorités a peu changé. De plus, 50 ans de dictature, de trafics et de décadence économique ont conduit à un affaiblissement général de l'éducation et de l'intelligence spirituelle d'une population cherchant à survivre au jour le jour. D'après certains observateurs, à partir d'une dispute commerciale bénigne dans cette société divisée où la barbarie resurgit vite, les violences ont été organisées par des groupes paramilitaires qui ont armé et probablement payé quelques excités pour enclencher le cycle de la violence et rendre indispensable le recours aux forces de l'ordre. Cette stratégie classique a été utilisée en Europe à l'époque fasciste, il lui faut seulement trouver des boucs émissaires. Or parmi les 130 ethnies birmanes, les Royingyas [musulmans] sont le bouc émissaire idéal, faciles à attaquer et honnis par les masses birmanes.
La souffrance de nos frères Rohingyas comme celle des innombrables opprimés de la planète est restée longtemps hors de l'écran radar des media, qu'elle ait été causée par le mépris ou la haine au quotidien de leurs concitoyens ou par la violence arbitraire dans les geôles obscures des pouvoirs militaires. Elle est maintenant l'objet de l'attention des media occidentaux, parce que les violences de masse sont plus visibles. En Asie, dans beaucoup de pays, ce sont les musulmans qui sont opprimés quand ils sont minoritaires, en Thaïlande mais surtout en Chine, en raison des hasards de l'histoire qui a placé des peuples de religion musulmane sous la coupe d'autres peuples dominant l'État nation auquel ils ont été rattachés. La situation est très différente de celle de nos frères sémites du Moyen Orient où les tensions peuvent être davantage expliquées par la confrontation de croyances religieuses.
Les violences contre les musulmans birmans sont donc très peu liées au bouddhisme largement majoritaire. Elles doivent être plutôt rapprochées d'une part de l'Amérique Latine avec son cocktail de culte du héros armé, de trafic de drogue, d'omniprésence d'armes de toutes sortes et de rivalité entre groupes paramilitaires et révolutionnaires, d'autre part de l'Afrique avec ces pays dessinés par le colonisateur en regroupant artificiellement des ethnies rivalisant depuis la décolonisation pour contrôler le pouvoir central ou s'en détacher, ces clivages ethniques étant accentués par des religions différentes. Les violences de masse dans ces régions, sont atroces et relèvent parfois du "nettoyage ethnique".
Le "bouddhisme" birman comme celui des pays voisins est très éloigné de l'enseignement et de l'exemple de Bouddha, car il s'est diffusé dans un contexte social très différent de celui de la vallée du Gange où enseignait Bouddha. La non violence était largement reconnue dans la société indienne et fut portée à son apogée par Mahâvîra, le fondateur du jaïnisme, dans le contexte d'une société où la violence était monopolisée par la caste des guerriers avec leur éthique chevaleresque, sans commune mesure avec les violences de masse incontrôlables qui émergent dans les sociétés contemporaines policées en surface mais où la barbarie guette.
Le bouddhisme birman s'est aussi amalgamé avec des superstitions locales, la numérologie qui est une des obsessions des pouvoirs militaires et religieux birmans et le culte des esprits répandu dans toute l'Asie du Sud Est où les pagodes ont leurs autels pour les esprits. Les croyants s'y prosternent devant la statue du Bouddha en espérant que cela leur portera argent et bonheur, attitude typique de la religion préhistorique. L'enseignement du Bouddha y est très mal connu et se limite à quelques principes de base, de plus, le bouddhisme birman a subi la décadence générale de cette société sous le joug militaire. C'était un des pays les plus éduqués et riches d'Asie au moment de l'indépendance en 1948.
Dans un contexte social qu'on espère en amélioration, se libérant progressivement de l'emprise des violents et des corrompus, il reste en Birmanie un fond populaire bouddhiste, en particulier grâce à l'action de la Sangha, la communauté monastique, très active dans l'enseignement, bien intégrée dans la société jusqu'à s'impliquer dans les luttes sociales comme la révolution de safran en 2007 partant du mécontentement populaire sur le prix des carburants et transports. La Sangha est beaucoup moins hiérarchisée que dans d'autres religions (à part dans le bouddhisme tibétain, très particulier), mais avec la complicité des media, elle permet aussi l'émergence d'agitateurs devenant stars de la haine interreligieuse comme le moine Wirathu qui ose se réclamer de Bouddha. Comme le titre le quotidien Irrawaddy du 22 juin : "moines et militaires, même combat!". La Révélation d'Arès dit en x/7 : roi noir et roi blanc (sont comme) corne et dent..
Sur toute cette planète bleue, la restauration de la vie spirituelle est bien un travail de titans, de géants des temps anciens (31/6).
Antoine B. d'Aquitaine.


Reply :
Un grand merci à vous, frère Antoine, pour ce remarquable commentaire, qui nous explique la situation historique passée et présente de la Birmanie, pays que vous connaissez.
Vous soulignez particulièrement l'action perturbatrice et néfaste de l'ancien colonisateur, la Grande Bretagne, qui introduisit en Birmanie des Rohingyas du Bengale (Bengladesh actuel). Par là vous expliquez bien la présence historiquement récente de Musulmans (4% d'après les statistiques) au milieu d'une population (frustement) bouddhiste à 70%, qui n'a pas depuis lors cessé de détester ces intrus. Mais ces intrus, si j'ai bien compris votre commentaire, ne forment en fait qu'une sorte d'abcès de fixation sur quoi les pouvoirs en présence, militaires + religion, dirigent un mécontentement populaire dont ils font ainsi oublier les vraies causes: hétérogénéité de la population, intérêts contradictoires, etc. Vieux truc politique, comme vous dites, pour détourner l'attention.
Votre commentaire m'a incité à ouvrir sur l'Internet le site de Wikipedia consacré à Manmyar ou Birmanie, pays que je connais peu. Ce n'est pas "Le Pont sur la Rivière Kwai", pour fameux qu'ait été ce film, qui peut beaucoup nous renseigner .
Tout en me méfiant de que raconte "l'encyclopédie" Wikipedia, dont j'ai constaté plusieurs fois combien elle peut s'écarter des réalités, je me suis rendu compte que ce pays n'est en fait que le ramassis politique d'ethnies et de langages fort divers: Shans, Môns, Karens, Karenni, Chins, Kachin (Jingpo), Rakhine (Arakan) + beaucoup de sous-ethnies. L’hétéroclisme de cette population est à l’origine de nombreux heurts intercommunautaires, notamment les attaques des forces de sécurité et de leurs complices civils infligées aux musulmans face à un silence international quasi total "en particulier en 2012".
Cette hostilité des "Bouddhistes" contre les Musulmans était donc donc connue, mais je l'ignorais.
La Birmanie, mais beaucoup d'autres pays de même, France comprise, est la démonstration de l'urgence de redonner aux petites nations — les nations reviendront vers Moi  (Rév d'Arès 28/21) — que j'appelle aussi "petites unités humaines" leurs indépendances, leurs droits de se gérer comme elles le feraient naturellement si un pouvoir politique "unificateur", en fait expansionniste, extérieur ne s'imposait pas à elles.
La fin de la politique, laquelle étant l'art de prendre le pouvoir et de gouverner est expansionniste par nature, et le retour aux petites unités humaine est une des conditions de la paix et du bonheur dans le monde. L'ONU ne devrait pas être composé de 193 nations, mais de 1.930, 3.000, 10.000... unités humaines.


05aou13  146C7  
Je fais suite à votre réponse à Antoine [147C6] dont la conclusion est qu'il faut laisser le monde se replier sur des "petites unités" ou petites nations naturelles pour que règne plus de justice dans le monde et que des hommes désirant se gérer d'une façon plutôt que d'une autre puissent de regrouper et surtout discuter entre eux de la bonne manière de se gérer, ce qui est impossible dans un pays comme le France (65 millions d'habitants), comme l'Allemagne (82 millions) ou comme la Birmanie (50 millions).
Peu de gens y pensent, mais vous avez absolument raison.
J'en veux pour preuve une nouvelle d'actualité, celle qui fait état d'une analyse faite par le Club Praxis qui constate que les politiques sociales traditionnelles françaises héritées du RMI n'ont conduit qu'à des usines à gaz sans efficacité dans la lutte contre le chômage.
Voilà l'idée: Le revenu de solidarité active (RSA) n'ayant pas fait, loin de là, tout le bien espéré, le député socialiste Christophe Sirugue de Saône et Loire a eu raison de proposer de le remplacer par une prime d'activité. Pour faire bonne mesure, il préconise également la révision de la prime pour l'emploi (PPE).
La réalité est que tous ces programmes sont actuellement un mélange baroque d'aides (héritées du RMI  et donc à fort parfum de solidarité-charité publique mal foutue et humiliante)  et d'obligations (devoir de rechercher un emploi, de suivre  une formation, etc.). Ils ont entraîné la création d'une véritable fiscalité parallèle, puisque les personnes concernées ne paient pas l'impôt sur le revenu, avec délais de paiement, opacité, complexité, effets de seuil et surtout ce sont des trappes à inactivité.
Une réforme vraiment radicale serait de transformer ce cocktail peu attrayant en un système d'incitation clair, rapide et prédictif. Un moyen simple? Un impôt négatif remplaçant tous les programmes d'assistance.  Son fonctionnement équivaudrait au système progressif actuel, mais  le taux de la première tranche serait négatif. Cela veut dire que pour tout contribuable, tout euro gagné — jusqu'au seuil de la deuxième tranche — conduirait à une prime versée par l'État au lieu d'une ponction. Puisqu'encore une fois les bénéficiaires du RSA ne paient en général pas l'impôt sur le revenu, pourquoi ne pas agrandir l'assiette fiscale à tous les contribuable en abolissant la plupart des abattements. Les contribuables plus fortunés ne seraient pas pénalisés, mais verraient essentiellement les divers abattements dont ils bénéficient remplacés par la tranche négative d'impôt. La réforme de la fiscalité  ne doit en effet pas être seulement guidée par des considérations de simplification, mais aussi par l'efficacité.  Moins d'exceptions, de niches et de seuils, qui vont dans le sens de la justice et d'un meilleur cadre incitatif. Et si, effectivement, on remet  les choses à plat, rien n'empêche  par exemple de ponctionner l'impôt  à la source, ce qui rendrait un impôt négatif encore plus attractif  puisque le versement serait versé immédiatement par le Trésor.
Voilà un exemple de cadre simplifié, sans connotation de charité publique, une incitation non fixe mais proportionnelle aux revenus perçus et versée immédiatement,  voilà le vrai "Travailler plus  pour gagner plus".
Mais le gouvernement français, gouvernement de 65 millions d'habitants, a le souci (électoraliste) de conserver à toute une tranche de fonctionnaires, qui s'occupent actuellement de ce système compliqué et inéfficace, leur emploi. Pour cette raison purement électoraliste le gouvernement ne suivra probablement pas cette proposition simple, juste, efficace.
Mais ce serait possible dans une petite unité où ce système de solidarité serait soumis à la discussion et à l'approbation de la population, chose impossible en France où les bêtises ou les arrière-pensées d'un gouvernement, autrement dit de quelques uns, s'imposent aux dépens du bon sens et d'une énorme population qui n'y peut mais.

Jeanick F. du Canada


Reply :
Il est curieux qu'une Canadienne se préoccupe d'un problème financier français !
Mais, sauf erreur, le Club Praxis dont vous parlez est américain, pas très loin de chez vous.
Je n'ai pas très bien compris votre explication, mais je ne suis pas un expert financier ou fiscal.
Quoi qu'il en soit, oui, c'est un de ces problèmes qui peuvent être considérablement simplifiés et rendus efficaces dans une petite nation, une petite unité humaine, mais il y a d'autres problèmes beaucoup plus importants, fondamentaux, vitaux — voir la Birmanie (146C6) — qui peuvent être résolus dans un cadre humain limité à un nombre de citoyens ou de membres, qui ne sont pas que des statistiques dans des bureaux de ministères, mais qui sont connaissables et consultables.


12aou13  146C8  
Louis Massignon, chercheur d'absolu, disait que le judaïsme était la religion de l'espérance, le christianisme la religion de l'amour, l'islam la religion de la foi.
Et on est arrivé au cours des siècles à cette horrible réalité :
Au nom de l'espérance en la promesse Divine, des juifs ont massacré des "païens",

au nom de l'amour du Christ des chrétiens ont massacré des "hérétiques",
au nom d'Allah, des musulmans ont massacrés des "infidèles".
N'est-il pas temps pour l'homme de dépasser ses divisions, issues de nos traditions, et qui constituent pour tant d'humains le principal obstacle à la recherche de la vérité ?
La Révélation d'Arès, sous la lumière de son prophète Mikal, appelle à l'accomplissement du dépassement des religions. L'homme, par sa pénitence et par sa mission, au sens que le Créateur lui à redonné à Arès, non seulement, ne massacrera plus personne mais il contribuera à la restauration d'Éden.
PS: le début du texte n'est pas de nous, il avait été trouvé dans un petit bouquin et avait servi pour faire une affiche. Que l'auteur de ce texte nous en excuse, nous ne retrouvons plus le livre.
Arièle et Philippe des Alpes du Sud


Reply :
Louis Massignon, un fameux orientaliste pour lequel nous avions, quand j'étais jeune homme, grande admiration toutefois teintée d'incompréhension, ne suscitait surtout qu'un intérêt intellectuel à son époque.
Aujourd'hui nous voyons qu'il était pour ainsi dire prophète et discernait déjà les problèmes concrets qui ont causé le drame du 11 septembre 2001, qui bouleversent l'Islam et créent une profonde incertitude sur l'avenir des peuples que leurs religions divisaient en ethnies qu'on croyait définitives.
Or, tout commence à bouger.
On peut dire la même chose de La Révélation d'Arès. Celle-ci en 1974 parla de Muhammad le plus, écouté le plus sage (2/9) et les gens haussaient les épaules. À présent cette Parole fait question, très sérieusement, et c'est probablement une des raisons qui font qu'en haut lieu on feint partout d'ignorer La Révélation d'Arès.
La Lumière prophétique de La Révélation d'Arès est de plus en plus évidente. De ce fait, l'étouffement se fait de plus en plus insistant, voire acharné. Peu d'événements dans l'Histoire ont provoqué comme celui d'Arès une telle conspiration du silence. Comment un livre maintenant répandu à quelque 320.000 exemplaires (je ne connais pas le chiffre excat), objet d'une mission qui parcourt les rues de France et d'autres pays francophones depuis quelque 37 ans, peut-il être comme effacé de la mémoire publique sans une volonté commune des pouvoirs, quels qu'ils soient (religion, politique, media, etc.), de le cacher, de l'escamoter à tous prix ?
De là une grande difficulté pour notre mission. De là aussi la gloire de notre mission.
Courage, volonté, obstination ! Ne dételons jamais ! Nous sommes la Voix du Créateur.


00Xxx00  146C9
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