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2 septembre 2009 (0098)

stigmates

Comme la mouette ne fait pas la mer,
le stigmate ne fait pas Jésus,
le démon ne fait pas le péché,
Marie ne fait pas le salut.

mouettes

L'édition 2009 de La Révélation d'Arès a éveillé chez quelques lecteurs des doutes sur mon honnêteté. À propos de Marie, des démons ou du tentateur, des stigmates et j'en passe.
Par exemple, certains trouvent improbable que le Père ait envoyé Jésus à un témoin aussi peu attentif à l'emplacement des stigmates sur le corps de ce messager.
Dans le liminaire de 1974 je situai les stigmates "dans les poignets" ; dans l'introduction de 2009 je les situe "au milieu de l'avant-bras". Cette imprécision me vaut d'être accusé d'erreur suspecte et, par voie de conséquence, La Révélation d'Arès devient pour certains suspecte d'inexactitude ou même d'inauthenticité.
Voilà la réponse que je fis, le 22 août, à l'un des soupçonneux :

Je sais combien dans ce monde moderne schizophrène le goût du géométrisme, l'inflexibilité de pensée, l'importance donnée à des points sans importance vitale sont devenus grands, et je sais combien, à l'inverse, je suis insuffisamment attentif à les satisfaire, mais ce défaut que j'ai de ne pas m'arrêter ou m'attarder à des points sans importance est ici la seule explication.
La précision des détails physiques de Jésus n'a pas plus été mon souci en 2009 qu'en 1974. Mon seul souci , l'objet de tous mes soins, en 2009 comme en 1974 a porté sur ce qui était important, ce qui conditionne le salut de l'homme et du monde : La Révélation d'Arès elle-même. C'est accomplir la Parole de Dieu qui sauvera l'homme, mais pas des détails anatomiques concernant Jésus.
Les stigmates n'étaient ni "dans les poignets et dans les pieds", comme je l'écrivis en 1974, ni — quoique moins inexact — "au milieu des avant-bras et à mi-tibia" comme je l'ai écrit en 2009.
Comme chacun sait, en plaçant les stigmates dans les poignets, j'avais fait protester les physiologistes et autres professions médicales dès 1975 : "Impossible ! Le poignet est une articulation complexe qui éclaterait traversée par un gros clou… Cela formerait un point de rupture… Le corps lourd tomberait… Etc." J'avais écrit "poignets et pieds" en mai ou juin 1974 (moment où fut rédigé le liminaire) par réflexe ecclésiastique. J'étais alors un prêtre, théologien de la tradition, qui comme toute la chrétienté qui se fonde sur Luc 24/39 et Jean 20/25-27 parlait de mains ou de pieds comme on dit qu'on a mal au cœur quand on a en fait mal à l'estomac. Façon de parler. Néanmoins, en disant poignets, pour inexact que cela fût, au lieu de mains, j'avais quand même signalé que les Évangiles (Luc 24/39 et Jean 20/25-27) étaient erronés : Ce n'étaient pas les mains qui avaient été percées.
En rédigeant l'introduction 2009, je me suis dit : Bon ! Je vais en profiter pour rattraper tout ça.
Je me souvins des médicaux, qui avaient protesté: "Impossible ! Le poignet est une articulation complexe qu'un gros clou briserait," et de moi qui avais dessiné grosso modo de mon index droit sur mon bras gauche la zone où j'avais vu le stigmate et d'eux qui alors s'étaient exclamé :
"Mais ce n'est pas le poignet, ça ! C'est l'avant-bras."
Moi : 'Oui, mais plus près du poignet que du coude !"
Eux : "C'est quand même l'avant-bras."
Moi :"J'aurais donc dû dire : Dans l'avant-bras plus près du poignet que du coude ?"
Donc, rédigeant l'introduction de 2009 j'écrivis d'abord : "Un (stigmate) dans chaque avant-bras nettement au-dessus du poignet." Las ! L'édition ne devait pas dépasser 160 pages. Donnant toute priorité et tous mes soins à la Révélation elle-même, je rognais sans trop de soucis dans les paragraphes et les phrases de l'introduction pour gagner de la place. Je réduisis à "Un (stigmate) au milieu de chaque avant-bras," entendant par "au milieu" que ce n'était ni dans le poignet ni dans le coude. Cela me paraissait bien suffire.
Qui donc se damnerait parce qu'il ignorerait où se situaient exactement les stigmates de Jésus ? Personne. Pour moi une seule chose importera perpétuellement dans La Révélation d'Arès : La Révélation d'Arès elle-même quand elle est accomplie, à savoir, accomplie par la pénitence et la moisson des pénitents.
Mais ne voilà-t-il pas que les "chasseurs de stigmates" succèdent aux "chasseurs de barbe" !
Les "chasseurs de barbe" ? Je rappelle que, dès l'année 1975, je reçus ici et là les visites de soupçonneux que turlupinait l'aspect extérieur du Jésus dont j'avais été témoin. Entre autres questions — couleur des yeux, etc., auxquelles je ne répondais pas de façon plus satisfaisante — ils me posaient celle-ci : "La barbe du Jésus que vous prétendez avoir vu était-elle longue ou courte ?" Comme je n'avais pas plus mesuré ou scruté la barbe que les stigmates de Jésus, dont la haute stature, la lumière, le regard et le port nobles et surtout le Message m'avaient autrement plus impressionné que ces détails, je répondais en toute sincérité :
"Ni longue ni courte," ou d'autres choses comme ça.
Les soupçonneux s'écriaient alors : "Si cet homme ne sait même pas si la barbe de l'apparition était courte ou longue, il n'a rien vu (ou il a vu Satan)" et ils s'éloignaient de moi, convaincus d'avoir démasqué un imposteur (ou un sataniste).

Il est des points de Vérité que vous ne pouvez trancher. Seule votre intelligence (Rév d'Arès 32/5) spirituelle ranimée vous permet de dépasser leurs imprécisions, leurs contradictions, leur dichotomie.
J'étais suspendu aux lèvres de Jésus, non à ses stigmates. Je les voyais ; je ne les regardais pas. La seule Vérité qui valût était que les stigmates existaient bien, qu'on avait bien tué Jésus en le clouant sur une croix, qu'il était donc bien ressuscité et que donc tout humain qui pareillement par la pénitence mettra ses pas dans les pas du Père (Rév d'Arès 2/12) ressuscitera.
Quant à l'équivoque autour de Marie dans La Révélation d'Arès, qu'importe qu'on la voit comme une femme qui parcourt la terre en implorant pitié (Rév d'Arès 33/13) pour les hommes ou qu'on la voit comme la face maternelle du Créateur ! La seule Vérité qui vaille est que la force qui miracule vient du seul Créateur, car tout miracle est création ou recréation et jaillit du Père de l'Univers (Rév d'Arès 12/4), le Miracle-Source par quoi tout existe ou ré-existe.
On peut en dire de même des démons. Qu'importe que le tentateur vienne du dehors ou soit tout bêtement l'homme lui-même, la seul Vérité qui vaille est qu'il faut résister à la tentation d'où qu'elle vienne, faire pénitence. C'est la seule voie de salut.
Il est temps que nous sortions de l'antique superstition (Rév d'Arès 21/1) et trouvions la maturité spirituelle !
Que Jésus dans sa chair transfigurée vous soit envoyé par le Père, je vous assure que vous ne rationaliserez pas l'événement ! L'énergie motrice de la Vérité, celle qui met en marche votre cœur et votre humanité spirituels, n'est pas dans votre attachement aux détails, dans le décorticage des mystères ou la mesure au centimètre, en bref, le filtrage des moucherons (Matthieu 23/24). Elle est dans votre foi, dans votre confiance.
La pression sur ma bouche du pouce de Jésus — pouce droit ou gauche ? je ne me souviens même plus… les soupçonneux soupirent : improbable témoin ! — créa entre lui et moi un lien spirituel plus durable, profond et fort, plus vrai, que mon souvenir visuel du pouce, dont je ne peux dire s'il était long ou court, bien manucuré ou non. J'aperçus juste les sillons de sa peau lumineuse et je sus ainsi la seule Vérité qui vaille, à savoir qu'il était bien de chair et que donc, à mon tour, un Jour, longtemps après ma mort, je retrouverai ma chair moi aussi.


Copyright2009

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Commentaires:

02sep09 98C01
Chacun a le droit de croire ce qu’il veut, mais apporter la calomnie est tout autre chose. La polémique, la rumeur, le mensonge sont le caviar de nos médias, un immense os à ronger, qui ne nourrit pas, mais qui nous perfore le cœur et tue l’âme.
Vous, frère Michel, me diriez que ce message a été inventé par vous pour toutes les raison du monde que je ne pourrais y croire !
Je vous ai connu suite à la lecture de ce livre [La Révélation d'Arès], qui, étant d’une telle profondeur — car tous aspirent au Vrai, à la Vérité absolue — m’a montré une autre humanité.
Cela ma renforcé dans l’immense respect que j’ai pour vous le prophète.
Moi-même, je suis comme vous, je ne fais pas du tout attention aux détails, je ne me rappelle pas de la couleur ou des yeux des personne à qui je parle, mais plutôt à ce qu’elles font ou dise... et encore !
Pauvre humanité qui surf sur le détail comme sur le net, sans prendre le temps de sentir et de comprendre l’autre, voir la vie qui est là. Tout est apparence, préjugé.
Pourquoi vous, les détracteurs, mes frères et sœurs du monde, embêtez un homme qui a donné sa vie pour ce Message sublime, au service de tous  sans exception ? N’avez-vous pas compris qu'appeler à faire le bien, à aimer, à pardonner, à retrouver la liberté spirituelle, nous sortait des commérages, de la polémique et de tout ce qui fait mal à l’autre, les insultes, suspicions, les regards de travers ?!
Comment pouvez vous douter de cet homme ? Sans le connaître, sans connaître le Message qu’il nous livre.
Regardez sa droiture, lisez ses écrits et réfléchissez ! Où est le mal ? Je n’y vois que le Bien dans ce qu’il nous livre, la voie droite !
Mikal, l’ami (Rv d'Arès xxxix/16)
Parole de Mikal Ma Parole (i/12)
Alain J.


02sep09 98C02
À la simple lecture du Coran, il semble au regard de mon faible et insignifiant esprit que le Coran n'apporte pas à première vue une confirmation de ce dont vous avez été le témoin:
Sourate 4, « Les femmes », verset 157:
...et à cause leur parole : "Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le Messager d'Allah"... Or, ils ne l'ont ni tué ni crucifié; mais ce n'était qu'un faux semblant! Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l'incertitude: Ils n'en ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures et ils ne l'ont certainement pas tué.

C'est un réel problème que vous ne devez pas escamoter car automatiquement ce verset contredit la réalité même de ce que vous dites avoir vu effectivement (que ce soit vrai ou faux d'ailleurs), peu importe l'emplacement de ce que seraient des stigmates.
Nicolas.


Réponse :

Vous m'invitez à "ne pas escamoter ce réel problème". Voilà qui a un petit son de défi... ou d'ignorance.
Je devine là quelqu'un qui n'est pas des nôtres, en tout cas pas depuis longtemps, car la question que vous soulevez à propos de Coran 4/157 m'a été posée, depuis 1974, depuis 35 ans, depuis la première édition de L'Évangile Donné à Arès, des milliers de fois et j'y ai répondu des milliers de fois. Rendez visite à notre mission la plus proche (je ne sais pas où vous habitez) et l'on éclairera.
Au cours des années 70, 80 et 90 cette question du crucifiement et la question du sceau des prophètes, ces deux questions m'étaient posées si souvent que j'avais un imprimé tout préparé pour la réponse que je glissais dans l'enveloppe avec une lettre courtoise, toujours courtoise même quand la ou les question(s) étai(en)t posée(s) de façon sévère ou brutale.
Pour moi il n'y a pas de problème. C'est plutôt pour mes frères musulmans qu'il y a un problème. Jésus qui m'a visité en 1974 portait, j'en suis certain, les cicatrices du clouage sur le croix, qu'on appelle stigmates.
Le Coran dit en effet qu'il ne fut pas crucifié. Alors, de deux choses l'une:
Ou bien, comme je le dis parfois, des hadiths (déclarations personnelles de Muhammad) se sont glissés dans le texte du Coran au moment du rencensement de la mémoire verbale, et alors la recommandation que m'a faite le Créateur: Tu écarteras les livres d'homme (Rév d'Arès 35/12) se justifie bien,

Ou bien, comme des musulmans eux-mêmes me l'ont dit à diverses reprises, il s'agit d'un passage (Coran 4/157) textuellement peu clair et/ou ambigu en arabe.

De toute façon, que ce passage soit clair ou moins clair en arabe, le salut d'un croyant, musulman, chrétien, juif, Pèlerin d'Arès ou autre, n'est pas attaché au fait que Jésus fût crucifié ou qu'un autre homme fût crucifié à sa place. Ce n'est donc pas "un réel problème", parce que le seul "réel problème" est celui du Salut par le Bien et du retour du monde au Bien.


02sep09 98C03
Dear Nabi,
No worries about the doubters. They will filter out and diminish gradually with time and your message will supersede all other schools of thoughts (as you give us not a Religion, but a dynamic and active belief in The Eternal Loving Father). On a personal note, I saw the Revelation of Ares amongst the pages of the Quran. The Father has pre-programmed your coming, yet very intelligently hidden it from dogmatists in order to preserve your message purity.
You speak the truth. You saw the Truth.
The Prophet of God - MIKAL - is a benchmark of Truth.
Dr D.H. [UAE]

Traduction:
Cher Prophète,
Pas de souci à avoir à propos des incrédules. Ils vont s'éliminer et se réduire peu à peu avec le temps et votre message supplantera toutes les autres écoles de pensées (puisque vous nous donnez non une religion, mais une croyance dynamique, active dans le Père Aimant Éternel). D'un point de vue personnel, J'ai vu La Révélation d'Arès parmi les pages du Coran. Le Père a pré-programmé votre venue, cependant cachée des dogmatistes afin de préserver la pureté de votre message.

Ce que vous dites est la vérité. Vous avez vu la Vérité.
Le Prophète de Dieu — Mikal — est un point de référence (ou repère) de la Vérité.

Dr D.H. [Émirats Arabes Unis]


Réponse :

I was deeply touched last night seeing you appear in my mailbox as the second commentator on entry #0098us on the very day of its posting.
Which shows that you have forever remained heedful of my blog.
I am most grateful for your faithful attentiveness.
Brother, I put your mind at ease. I do not worry about the doubters. I am just concerned about lighting the way for them. It is my duty to do so.

God bless you, brother!

traduction:

Je fus très touché hier soir en vous voyant apparaître dans ma boîte de réception comme second commentateur de l'entrée #0098us, le jour même où elle fut affichée.

Ce qui montre que vous ne cessez pas d'être attentif à mon blog.

Je vous suis très reconnaissant pour cette solicitude fidèle.
Frère, je vous rassure. Je ne me fais pas de souci à propos des incrédules. Je suis juste soucieux de leur apporter la lumière. Il est de mon devoir de le faire.

Que Dieu vous bénisse, frère!


03sep09 98C04
La leçon infligée [par votre entrée 0098] aux faibles lumignons, aux moucherons immatures que nous sommes, est juste, sévère, et on sent la  souffrance du juste prophète, même si son amour et son humour sont toujours là.
Cette leçon-réponse est bonne aussi pour ceux qui ne se posaient pas forcément ces questions-là, car elle ne peut que ranimer l’intelligence, enrichir la pénitence par un degré de plus de déculturation et satisfaire au questionnement possible  dans la mission (moisson).
Encore et toujours merci.
Élisabeth


03sep09 98C05
J’ai suivi vos échanges sur internet. J’avais mal de vous voir malmené par des contradicteurs. Mal, parce que à quoi réduisait-on le prophète et donc à travers vous à quoi réduisait t-on le Créateur, la Vérité, la Parole rappelée encore et encore ?
Je me disais: Comment puis-je vous aider ? Mais, bien sûr, la véritable réponse ne peut venir que d’une assemblée existante, se levant comme un seul homme, comme la bâcle (Rév d'Arès iii/4) pour protéger et sauvegarder la Vérité que vous incarnez et que nous devons tous, nous Pèlerin d’Arès, incarner par notre pénitence, notre piété, notre moisson !
Encore une fois, vous vous levez seul et vous vous en sortez grandi.
Mais je me dis que ce ne sont que les prémices de ce qui arrivera à l’avenir quand l'Appel (Rv d'A 28/14) que nous allons répercuter se fera plus fort et sera plus fortement entendu par le monde.
Et un jour vous ne serez plus de chair pour faire entendre votre voix et à travers elle la Voix de la Vérité et ce sera à nous de le faire. Vous traîner dans la boue c’est traîner dans la boue tous ceux qui vivent pour accomplir cette Vérité, cette Parole, c’est traîner dans la boue notre image et ressemblance divine (Genèse 1/27), c’est traîner dans la boue l’espérance d’un monde changé.
Pour moi c’est comme si on vous clouait [sur la croix] à l’image de Yëshou (Jésus) que l’on a cloué, parce qu’il dérangeait le pouvoir. À travers ce petit fait où l’on répand sur vous la calomnie c’est tout un Monde que l’on détruit.
Que ce soit le pouvoir des églises, de la politique ou encore celui de l’ego, du rationalisme et de la susceptibilité, c’est un pouvoir qui nous enchaîne intérieurement et qui ne veut pas ployer le genoux (Rév d'Arès 12/9) et acquérir l’humilité, l'intelligence du cœur.
Internet et ses forums sont à l’image du monde que nous créons chaque jour, emplis de bruits, de mensonges, de roueries. Peut-être même est-ce pire que dans la vie courante, car les personnes ne se voient pas yeux dans les yeux et les duperies, les mensonges sont plus faciles.
Je me demandais s’il n’était pas plus prudent de se tenir éloigner de ce genre de forum ?
Je pensais aussi à tous ceux qui dans notre assemblée se disent Pèlerins d’Arès et qui continuent encore et encore à relativiser vos propos, à les discuter ou à les ignorer. Cela est pour moi aussi une manière de vous clouer au pilori, de clouer la Vérité que vous incarnez.
Je souhaite de toutes mes forces que nous, Pèlerins d’Arès, parvenion à nous attacher à vos pas, mais pas comme l’écorce au cœur (Rév d'Arès xLiii/8), et que nous formions une assemblée Une (Rév d'Arès xxiv/1) et Unis (Rév d'Arès xLv/19) autour de vous, autour du Père.
Yaël


03sep09 98C06
Voici, Frère Michel, ce que les derniers évènements avec C.D. que je découvrais pour la première fois au moment où elle a vrillé ont évoqué pour moi. Je cherche aussi à travers ce texte à m'adresser à nos frères chrétiens, ceux qui ont été troublés par le revirement de cette femme.
Il est évident, Frère Michel, que vous n'êtes pas un homme totalement parfait, même dans votre témoignage de témoin, puisque seul le Père est parfait [ou saint, Lévitique 19/2, Rev d'Arès 12/4]. La perfection reste pour nous les humains, une tension vers Dieu, une direction, comme les fleurs tendent vers ce soleil qu'elles n'atteindront jamais, sauf que nous si[, nous pouvons k'atteindre], c'est possible puisque le Père de l'Univers nous y encourage — Soyez parfaits comme votre Père est parfait (Matthieu 5/48; Lévitique 19/2).
Alors votre "imperfection" d'homme, Frère Michel, n'invalide pas pour moi l'authenticité du témoin de Dieu que vous êtes, [n'invalide pas] Dieu que vous avez vu à travers Jésus puis à travers Dieu Lui-même, Dieu présent dans cette Parole redonnée à Arès qui nous transforme, qui nous métabolise légers au-dessus de notre nature animale quand nous acceptons enfin d'ouvrir notre vie, notre veine au Tout Autre et à Sa Volonté de sauver cette humanité qu'Il aime.

Changer fait peur, mais quelle merveille !  Ce chemin-là Frère Michel, cette nouvelle façon de me sentir exister, sans vous,  l'homme imparfait qui est pourtant la Maison de Dieu (Rév d'Arès xvii/15), je ne l'aurais jamais trouvé!
Alors qu'importe ce que disent les discuteurs, les chamailleurs de toutes sortes qui, à la moindre occasion, masquent de leurs cris leur peur de changer ! Je vois seulement qu'ils refusent de mettre un pied dans l'Eau, cette Eau infinie Qui commence dès maintenant en nous...petits hommes si médiocres, si imparfaits.
Qu'importe, me dis-je, et pourtant étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie et il y en a peu qui les trouvent. (Matthieu 7/14).
Il me pèse alors que les éclats de ces crieurs effraient, détournent l'esprit ou le cœur d'hommes et de femmes qui  commencent à peine à s'ouvrir à la Lumière revenue à Arès, ces frères et sœurs dont l'avenir et l'humanité ont besoin, car ils perçoivent déjà dans cette Révélation la solution de bonheur authentique, difficile mais réaliste et réalisable pour la race humaine: Changer totalement pour le Bien et toutes les perspectives nouvelles qui en découlent.  ...
Que votre lumière brille aux yeux des hommes, afin qu'ils voient vos bonnes œuvres et qu'ils glorifient votre Père qui est dans les cieux (Matthieu  5/16)!
Moi, Frère Michel, c'est cette Présence qui se dégage de vous qui m'a un jour converti à ce Message qui me troublait, m'inquiétait même. C'est cet exemple d'humanité porteuse de Dieu que vous êtes devenu et que je souhaite un jour devenir.
Aussi ai-je mal pour vous, Frère Michel, quand je vois de quelle manière certains esprits vous font la morale, vous médiocrisent, vous salissent ou vous déchirent. Je sais intimement que s'ils pouvaient vous tuer ou du moins vous faire disparaître autrement que par les mots, ils le feraient.
Seigneur, me dis-je, ils ne savent pas ce qu'ils font (Luc 23/34), à qui ils parlent.
La même terrible histoire se répète.
Pourquoi fuyons-nous toujours l'Appel d'En-Haut ou du Fond d'en dedans de nous? Mais c'est finalement votre condition de juste prophète (Rév d'Arès xxxvii/2/3), Frère Michel, que d'accepter de vous rapetisser et de serrer, serrer comme le clou (Rév d'Arès ii/21) pour rester au niveau de cette humanité barbare à l'intelligence débile, dont je fais partie. Vous me répondrez: "Je le sais, que vous aussi vous en faites partie et que c'est elle qu'il nous faut sauver..." [Vous me répondrez] que c'est à nous, qui endossons la Parole de Dieu d'avancer dans le changement en Bien pour donner à cette humanité l'envie de suivre un chemin de Beauté!
Changez, mes frères, changez vraiment... Le salut du monde en dépend !
Alors je compte bien avancer, encore et encore, jusqu'à me retrouver sans honte à la Face du Père.
Et, pour commencer, faire le pas de nouveau vers les frères et sœurs [de ma ville], plus par devoir que par envie, fuir cet individualisme plus subi que voulu car ma pénitence, cette tension dynamique vers le meilleur de moi-même a aussi besoin de la pénitence des autres pour continuer à se développer.
C'est un peuple de Fils et de Filles dont le Père a besoin, pas de héros solitaires.
Cette lente transformation de conscience de mon être biologique vers mon être spirituel, cette laborieuse naissance de l'homme déjà né qui s'engendre lui-même en une vie infinie (Rév d'Arès 17/3), c'est une joie que j'aimerai partager avec le monde entier.
Il va me falloir trouver la façon de leur donner envie. J'espère que les frères et sœurs [de ma ville] auront, entre autres, le même besoin. 
Morya


03sep09 98C07
L'affaire des stigmates ne m'étonne pas. Je me trouvais là, une année 70 ou 80, quand un détracteur dans l'exèdre vous dit que le poignet ne pouvait pas avoir été percé par un gros clou sans éclater comme du verre et même détacher la main. Vous avez répondu qu'on vous assommait avec cette histoire depuis le début et que vous aviez dit "stigmate dans le poignet" d'une façon "nominale" (c'était votre mot, je crois), pour dire que c'était dans le bas et non dans le haut du bras.
Par contre, vous aviez à cette époque édité une "Adresse à Marie" qui était une prière composée de divers passages de la Bible et de L'Évangile Donné à Arès, dont vous recommandiez la récitation et que vous récitiez vous-même. Vous avez donc bien cru vous-même que Marie était la Marie que prient les chrétiens et qui est apparue à Lourdes et dans d'autres endroits.
S.M.


Réponse :

Aujourd'hui encore, quand on me demande si on peut toujours récoter "L'Adresse à Marie" que j'avais je crois, publiée dans "Le Pèlerin d'Arès" trimestriel, je réponds:
"Mais oui, pourquoi pas?
"L'homme n'aura pas avant des générations le moyen spirituel de concevoir la phase maternelle du Créateur comme il en conçoit la phase paternelle. Dichotomie impénétrable pour nos cerveaux dans notre état actuel. Énorme poids étouffant de la culture et étroites limites de nos cerveaux qui ont besoin de catégories pour comprendre ! De toute façon, cette adresse ne va pas aux oreilles d'une femme supposée tourner autour de la terre avec des pouvoirs supposés extraordinaires ou exerçant une influence considérable sur Dieu.
"La Marie des églises est un concept païen ou superstireux, une idole abattue par La Révélation d'Arès. Elle n'existe pas comme entité indépendante. Votre "adresse à Marie" va au Créateur lui-même qui, n'ayant aucun sexe, est tout à la fois Père, Mère et d'autres choses encore. Cette adresse revient donc sur vous-même, vous qui êtes image et ressemblance du Créateur (Genèse 1/27), vous-même qui, si vous êtes pénitent ou pénitente, êtes la source même de la grâce dont vous avez besoin pour créer votre âme et faire votre salut. Oui, en quelque sorte, cette adresse s'adresse à vous-même, votre prière sollicite vos propres pouvoirs que recrée peu à peu votre propre changement de vie (30/11), vos propres pouvoirs dont vous n'avez idée et dont La Révélation d'Arès vous redonne conscience."
Et j'ajoute, quand j'en ai le temps :
Si le Créateur nous invite lui-même à converser avec lui et avec la femme (Marie) élevée au-dessus de l'Orient qui l'a enfanté... (Rév d'Arès 33/13), c'est  parce que, dans sa Sagesse immense, le Créateur sait qu'il nous est impossible, diminués comme nous sommes par le péché, de le concevoir omnicient, ainsi que dit le Coran, c.-à-dire de concevoir Celui qui sait tout, qui peut tout, qui est universel, capable de tellement de choses et de tellement de phases créatives comme affectives en même temps que si nous ne séparons pas, dans nos pauvres cerveaux de pécheurs, certaines de ses capacités nous ne pouvons les concevoir sans prendre le risque de refaire de lui un dieu à trois tête (Rév d'Arès 23/7) ou un Janus à deux têtes, bref, une sorte de figure païenne. Dans sa Sagesse il nous recommande de ne pas nous aventurer dans des concepts qui nous dépassent dans cette génération. Quand le Créateur dit que la femme élévée au-dessus de l'Orient l'a enfanté, il explique par cette parabole qu'il est lui-même le propre produit éternel de son propre Amour de Père trop aimant.
J'ai assez longuement expliqué cela lors de mon enseignement à l'Espace des Peupliers à Paris en 1996, mais j'admets que, dans cette génération, ce n'est pas un concept facile à assimiler.
J'ai moi-même dû évoluer pour mieux l'expliquer. Voilà pourquoi j'ai toujours dit: La vraie foi ne repose pas sur des dogmes intangibles; la vraie foi est évolutive: chaque matin vous croyez différemment que vous croyiez la veille et si ce n'est pas le cas, vous devez vous reprendre en mains.
Vous devez, à tout le moins, avoir confiance en moi.
Tout cela vient de ce que mes frères et sœurs m'ayant laissé tout seule dans mon coin pendant 35 ans et ne faisant quasiment jamais appel à moi, comme s'ils avaient tout compris d'avance, se sont privés d'un enseignement qui ne pouvait se faire qu'au cours des décennies, les yeux dans les yeux, de ma bouche aux oreilles. Mon enseignement ne pouvait qu'être imparfait de façon écrite, car on peut toujours écrire des dogmes ou des lois, mais on ne peut pas toujours écrire facilement et brièvement la Vérité, qui est autre chose, qui tient de l'imprégnation, mais non de l'explication, comme un enfant s'imprègne de la langue qu'il entend tous les jours sans qu'on ait à la lui expliquer.


03sep09 98C08
Qu'elle est dure, cette société ! Qu'il est triste et englué dans sa petitesse, cet homme que l'étroitesse d'esprit rend plus futile que la pierre, ou la fourmi, ou l'oiseau, qui eux sont encore en lien permanent avec LE PERE.
Que savons-nous du Règne qui nous attend et nous tend les bras ; un règne d'Amour et de Subtilité... Bien loin de nos histoires de preuves, de détails, de superstition "moderne" qui nous rappelle étrangement une autre époque, celle de l'inquisition.
Et pourtant que nous demande-t-on dans cette Révélation  d'Arès que vous, Frère Michel, prophète de notre temps avez eu le courage et la générosité de nous transmettre ?
On nous demande seulement d'accomplir le bien et de changer.
Frère Michel, vous avez derrière vous des frères et des sœurs qui ont confiance et qui ne voient pas d'autre issue de secours pour ce pauvre vieux monde que cette certitude et cette volonté.
Dans l'amour du Père, Merci.
Catherine P.R.


03sep09 98C09  
Devant l’écran de mon ordinateur à l’instant précis où vous avez mis en ligne votre nouvelle entrée, j’ai trouvé une réponse au courrier que je vous ai envoyé récemment. Je m’y inquiétais du passage "abrupt" des annotations sur Marie dans l’édition bilingue à celles de l’édition 2009, je craignais dans la mission le "vertige" qui pourrait saisir le lecteur devant la dichotomie dans  vos annotations — J’invite chacun à ouvrir son dictionnaire pour vérifier la grande exactitude de ce mot par rapport au sujet. 
J’ajoutais: "Je ne trouve pas honnête de leur dire seulement:  Parole de Mikal, Ma Parole  (Rév d'Arès i/12), en entendant par honnête: connaissant la difficulté d’accepter d’emblée votre charisme.
C’est pourtant la seule réponse à faire, en les invitant à lire Le Livre, où le Créateur vous adoube en des termes sublimes comme son prophète. La seule réponse à faire au vu et au su de tout ce que vous avez écrit, pensée haute, qui nous mène loin, très loin de la raison raisonnante, bien différente de la raison raisonnable à laquelle vous nous appelez, qui prend en compte d’abord le rappel du Père à l’amour, la paix, le pardon, la liberté et l’intelligence du cœur.
Cela, je l’ai bien compris et accepté il y a longtemps, de même que je comprends l’injonction du Créateur d’abattre les idoles de l’esprit (23/8). Quand on entre par exemple dans une église au sud de l’Espagne, on voit à quel point le culte de Marie peut devenir idolâtre.
Vous nous demandez quand même quelque chose de difficile pour la mission, mais il va falloir inviter chacun à sauter à pieds joints et avec confiance dans la connaissance retrouvée du Père de l’Univers, Un, Simple, Saint, vision qui trouve une intime résonnance  en chacun de nous.
Il faut accepter de se déculturer avec confiance, "passer à un autre niveau d’existence".  Ceci est un rappel d’une note prise au cours de la retransmission de votre enseignement, donné aux frères parisiens en 1996-97. Il y a dans ces notes que j’ai relues une  grande, très grande profondeur de vue, vous avez essayé de faire passer déjà quelque chose de l’essence même de notre être.
Je voulais juste vous demander une sorte de gué, la Parole est ce gué.
Chantal F.


Réponse :

Je suis en déplacement, je vous répond sur mon portable loin de mon bureau, mais, si j'ai bien compris votre commentaire, une lettre de vous m'attend, qui risque de me paraître dure. Vous l'adoucissez et même l'annulez ici-même.

Merci, un grand merci.

En somme, mon entrée 0098 a répondu d'avance à vos questions.
J'en suis heureux. Je vous aussi invite à lire, si vous ne l'avez pas déjà lue, ma réponse à S.M. (98C07).


03sep09 98C10
Frère Michel, je vous félicite d'ouvrir une entrée pour les soupçonneux: compte tenu de ce que vous avez vécu, vous seriez en droit de les mépriser. Déjà, dès les premières éditions de la Révélation d'Arès, vous vous épanchiez pour eux dans d'interminables liminaires. Fallait-il agir ainsi ? Trop de détails noient l'essentiel au point que les soupçonneux avides de détails ne pouvaient plus voir l'essentiel qu'ils découvrent aujourd'hui. On sent que cette question du détail est présente en vous depuis le départ et que vous tentez de chercher un juste équilibre entre le souci de tout dire et le souci d'être sobre pour justement mettre l'essntiel en valeur. Mais le fait de modifier ses notes n'est-il pas source de doute. Je n'ai pas compris pourquoi vous nous avez offert une prière pour Marie dans l'édition de 1984 et pourquoi vous l'avez supprimée
dans l'édition de 1986.
Contrairement à ce qu'on pense, il n'est pas si simple d'être bon témoin: il est rare de trouver quelqu'un qui dise tout en peu de mots, de façon incontestable. En Novembre 1977, tandis que vous rencontriez le Père, j'étais embauché dans une société d'assurance ( la Maaf ) pour analyser des témoignages: au début, j'ai cru que la plupart des témoins étaient malhonnêtes. On m'a expliqué qu'en fait, lors d'évènements traumatisants, les témoins mélangeaient leur vécu personnel aux éléments factuels qu'ils décrivaient. Pour palier à cette difficulté, on me conseillait de procéder à des recoupements de témoignages. C'est à partir de certains détails factuels que l'on peut rebâtir la vérité.
Or cette technique ne peut s'appliquer dans votre cas. Pour vous, il existe une autre technique qui est celle de la cohérence qui étudie la nature même du témoignage. Quelqu'un de bonne foi garde la même homogénéité d'un bout à l'autre de son témoignage : c'est évidemment votre cas comme celui de votre interlocuteur. C'est ce qui m'a frappé quand j'ai lu la Révélation d'Arès pour la première fois en Août 1988.
Le hasard veut qu'à la même époque, je m'intéressais également à la Révélation de Dozulé où Madeleine Aumont avait rencontré le Christ de 1972 à 1982 et avait parlé également de ces fameux stigmates. La difficulté dans son cas est que son
témoignage est rapporté par des personnes extérieures, proches de la religion catholique. Pour les soupçonneux, il aurait été intéressant de comparer les deux témoignages.
Comprenez, Frère Michel, que nombre d'entre nous ne peuvent plus accéder à l'essentiel et que seul un détail peut encore servir de lumignon d'espoir.
Jacques P.


Réponse :

Votre analyse répond à certaines apparences, mais pas à la réalité.
J'aurais en effet probablement procédé comme vous le dites "dans les premières éditions de La Révélation d'Arès," si les soupçonneux, les détracteurs, les ennemis et même les assassins (en ce temps-là je recevais par la poste des petits cercueils) avaient été dénombrables, je veux dire, si je m'étais adressés à eux "dans d'interminables liminaires." Ils étaient bien trop nombreux et variés pour que je m'adresse à eux ou même que je tente de m'adresser à eux.
Même "interminables," mes liminaires n'auraient pas répondu aux soupçonneux, aux détracteurs, aux ennemis, parce qu'à cette époque pour un humain qui croyait en moi, cent et davantage non seulement n'y croyaient pas, mais encore exprimaient leur incrédulité de façons si variées que vous ne sauriez avoir idée de cette variété.
C'était le temps où, comme je le disais, "chacun apportait à Arès son panier repas comme à l'auberge espagnole": Les catholiques leur panier catho, les protestants leur panier huguenot, les bouddhistes leur panier bouddhhiste, les marxistes leur panier marxiste, les innombrables variétés d'ésotéristes leurs paniers ésotériques etc., etc.
Aussi, ce que vous appelez mes "interminables liminaires" n'étaient que des exposés de ma façon de voir La Révélation d'Arès pour les générations futures de théologiens et métaphysiciens qui l'étudieraient, parce que j'avais très bien compris que, dans le présent, répondre à toutes les objections était impossible et je n'en avais pas souci. Comme je sortais de l'église, je m'exprimais de la seule manière que je connaissais alors, dans des termes adaptés à la vision religieuse, qui est toujours vétilleuse et demande des développement. De là l'impression d'interminabilité que vous avez eue.
Par contre, c'est vrai, dans mon courrier ou dans des échanges au coup par coup, il m'arriva de répondre de façon plus spécifique à des questions très spécifiques.


03sep09 98C11  
La forme ou le Fond :
En lisant cette entrée une image me revient, celle d'un sage qui tendait son doigt vers la lune et demandait à son interlocuteur:
"Que vois-tu ?"
Celui-ci lui répondit:
"Un doigt."
Vous, frère ainé, vous  ne vous arrêtez pas à ce doigt, n'en mesurez ni la longueur ni l'épaisseur, ni ne vous préocuppez de savoir s'il a un ongle long ou court. De toute façon, les formes sont variables et dépendent de l'angle de vision.
Combien d'entre nous, par exemple, seraient capables de se rappeller du numéro de plaque de bus de transport qu'ils prennent chaque jour, sans trop m'avancer je dirais aucun, et je les comprends. Quel intérêt ?
J'espère de tout mon cœur que toutes ces âmes potentielles élargiront leur champ de vision et se concentreront sur le Fond que vous, frère ainé, nous avez merveilleusement fait comprendre, et que l'emplacement des stigmates n'a aucun intérêt sur le devenir de cette humanité.
Bernard C.


04sep09 98C12
Ce commentaire est publié dans son intégralité
sauf les noms de personnes et les titres de sites internet qui sont masqués [...]


Frère Michel, moi je vous tire mon chapeau, parce que vous avez été tout seul, une fois de plus, pour répondre aux frères et sœurs critiques ou agressifs sur les sujets cités par votre blog 0098. Je ne connais pas tous ceux et toutes les occasions: lettres téléphone, messagerie, etc., engagés dans ces critiques et ces attaques, mais je connais au moins un pèlerin d'Arès (quelqu'un qui prétendait l'être en tout cas) qui a déclaré avec fracas son départ de notre assemblée de France en invoquant, entre autres motifs, la différence entre ce que vous dites des stigmates dans l'édition de 1974 et celle de 2009.
Voilà, après l'exposé de ses griefs, la conclusion à laquelle est arrivée cette personne:

"Pour moi, M. Potay n'a jamais eu la carrure d'un prophète universel (même dans les limites du champ), ni le comportement d'un prophète. Ses dernières interventions sur le forum [...] me le confirme. Outre le fait qu'il disait des choses fausses à mon encontre (vous disiez qu'elle n'était pas pèlerin d'Arès), il a soudainement encensé ce forum alors qu'il n'y a pas si longtemps, il le critiquait fermement et cessait toute participation tant il se sentait en décalage avec lui.
Non, pour moi, M. Potay n'a jamais eu le comportement d'un prophète universel. Qu'a-t-il fait ou que fait-il pour changer le monde ? Rien, à part écrire ses livres, répondre à son courrier, tenir son blog, encaisser la demi-dîme, et faire des travaux de réfection du lieu saint à Arès. Travaux de réfection qui ont commencé après l'affaire du mensonge Jabboune/Potay. Sans doute se sentait-il en perte de vitesse après cette affaire et a trouvé cette solution pour remotiver ses frères. Mais en tant qu'aîné de ses frères et sœurs, ne devrait-il pas montrer l'exemple ? Alors où sont ses actions concrètes pour changer le monde ? À ma connaissance, il n'y en a pas.
Alors si M. Potay n'est pas un prophète de Dieu, la Révélation d'Arès ne vient pas de Dieu, mais de lui, tout simplement. Pour autant, tout n'est pas à jeter dans ce livre car comme dans d'autres livres parlant de spiritualité ou de vie spirituelle, il y a de très bonnes choses dedans. Dire le contraire serait malhonnête de ma part, mais je pense que M. Potay, à l'époque, n'avait pas d'avenir professionnel et qu'il fallait qu'il trouve un moyen pour gagner sa vie...
Pendant des années, je me suis persuadée que M. Potay était un prophète, mais aujourd'hui, je ne pense plus et vu sous cet angle, beaucoup de choses s'expliquent, oui, vraiment beaucoup.
Si M. Potay est un réel prophète, il doit être sûr de lui et ne pas se rabaisser à moi qui suis insignifiante, car tout ceci n'est que mon avis, mais c'est ce que je pense sincèrement. Je développerai tout ça dans mon témoignage..."

Voilà à quelles extrémités peuvent conduire une petite différence dans l'emplacement des stigmates sur le bras de Jésus et le clash (ce que [...] appelle "mensonge Jabboune/Potay") sur le web entre des frères et le site d'un ennemi juré de La Révélation d'Arès, un clash déjà ancien en 2005, dans lequel vous, Frère Michel, n'étiez pour rien (vous étiez à l'hôpital).
Je trouve ça triste et lamentable et pour vous dire mon sentiment, je pense que ce ne sont que des prétextes pour vous quitter sans perdre la face en vous mettant sur le dos toute la responabilité ou peut-être même pour "se payer le prophète" si je peux dire.

Bien que vous n'ayez pas été sur le forum de cette personne, vous avez eu connaissance de cette déclaration et vous avez répondu sur un autre forum ceci que je trouve parfaitement sympa et digne (Je ne sais pas si vous le publierez):

"C'est ce matin seulement que je trouve un moment pour lire en entier ce message de [...].
Hier soir j'avais juste lu le premier § et rappelé que je n'avais pas reçu "l'Email de masse" de [...]. J'en ai eu connaissance pour la première fois par [...] ainsi qu'il l'explique dans son dernier message ici. Ensuite, d'autres m'en en font part.
Ceci dit, je suis bien d'accord avec Cécile D. que je n'ai "jamais eu la carrure d'un prophète universel (même dans les limites du champ)". Comme je l'ai toujours dit et écrit: Pourquoi Dieu est-il venu chercher un bonhomme aussi peu qualifié et capable que moi? Mystère.
Quant à savoir si je n'ai "pas le comportement d'un prophète", cette opinion est celle de [...], opinion qui est son droit. La seule chose dont je sois sûr dans ce domaine, c'est que ce n'est pas [...] mais seulement l'Histoire qui dira, avec le recul nécessaire pour en juger, si j'ai eu ou si je n'ai pas eu "le comportement d'un prophète" dans les circonstances de résistance et d'hostilité considérables du monde.
Qu'est-ce que c'est que cette "affaire du mensonge Jabboune/Potay"? Ma curiosité est d'autant plus grande que je ne vois pas de rapports entre "les travaux de réfection des saints lieux à Arès" et une "affaire de mensonge". Les travaux de réfection à Arès commencèrent dès que L'Œuvre du Pèlerinage d'Arès, association Loi 1905, fut enfin inscrite à la Préfecture de Bordeaux en 1990 après des années d'une difficile lutte que j'avais menée seul pendant les années 80 contre l'administration qui en avait refusé le dépôt. L'Œuvre du Pèlerinage d'Arès étant enfin devenue propriétaire des lieux, des travaux purent être entrepris à partir de 1991 (aménagement de la Maison de la Révélation: accueil, salle de conférene, reconstruction du clocher de la Maison de la Ste-Parole, pavage de la cour, etc.), puis, quand les économies réalisées (nous ne sommes pas riches, les demi-dimes (Rév d'Arès 34/6-8) dont parle Cécile sont rares, il nous faut être bons gérants) le permirent, ils purent être poursuivis au cours des années jusqu'à 2009. Je ne vois pas de relation entre ces travaux de longue haleine et une "affaire de mensonge Jabboune/Potay".
[...] est d'opinion que "si M. Potay est un réel prophète, il doit être sûr de lui et ne pas se rabaisser à moi [...] qui suis insignifiante," et je suis bien tenté moi aussi de penser de même que, si je m'intéresse à une personne insignifiante, si je participe une un forum insignifiant comme [...], c'est que je suis moi-même un bonhomme insignifiant. Peut-être me trompé-je en m'égarant ainsi, peut-être traîné-je encore des restes de mon ancienne culture ecclésiastiqu qui suit l'Evangile Biblique où il est dit: Quand une brebis s'est égarée, le berger ne laisse-t-il pas là tout le troupeau pour aller chercher la brebis?
Ceci dit, votre syllogisme, [...], qui conclut que "M. Potay n'ayant pas un comportement de prophète", La Révélation d'Arès qu'il prétend avoir reçue de Dieu ne peut pas être de Dieu, paraît bien léger. De qui ai-je reçu alors ce magnifique livre? De moi-même? Admettons, mais comment un bonhomme aussi insignifiant pourrait-il concevoir une Parole aussi prodigieuse? Votre syllogisme en soulève beaucoup d'autres qui, j'en ai peur, peuvent être des sophismes, mais c'est votre droit de l'exprimer. Vous n'êtes d'ailleurs pas la première à l'exprimer et ne serez sûrement pas la dernière. C'est votre ressenti et ce qu'une personne ressent ne se discute pas.
J'atteste que j'ai bien reçu La Révélation d'Arès telle que je l'ai transmise et dans les conditions que j'ai décrites. C'est improuvable. La foi est la confiance mise dans l'improuvable. Vous ne l'avez pas, je n'y peux rien. Il demeure que, "insignifiante" ou pas, si vous êtes une personne d'amour, de pardon, de paix, d'inteligence spirituelle et libre de tous préjugés et de toute domination des idées du monde, vous serez plus justifiée que moi, qui ne suis qu'un pécheur."


Je vous redis, frère Michel, tout mon attachement et ma tristesse de ne pas être à la hauteur pour vous défendre dans les moments où vous êtes attaqué. J'ai un peu suivi cette triste affaire dans le silence et je n'en suis pas fier. Je vous en demande pardon. Attaquer le prophète, c'est attaquer La Révélation d'Arès. J'aurais dû réagir, mais est-ce que nous sommes capables de réagir comme vous avec tout le calme nécessaire?
Vraiment, que de conséquences à une petite inattention de votre part entre stigmate dans le poignet et stigmates dans l'avan-bras !
M.F.


04sep09 98C13
Quelques uns, plutôt rares, ont eu dès leur première lecture de La Révélation d'Arès le sentiment d'un message d'une dimension prophétique. D'autres, comme moi, ont eu une approche plus lente, ce n'est pas celle du doute mais celle d'une incapacité à reconnaître cette dimension prophétique dans l'immédiat. Cette dimension apparaitra progressivement au fur et à mesure que la conscience et la connaissance s'éveilleront.
D'autres, sûrement beaucoup encore aujourd'hui, abordent La Révélation d'Arès avec une approche très critique. La moindre suspicion, la moindre ambiguïté, et leurs sens se focalisent sur le doute qui vient de naître, au point de les freiner ou de les arrêter dans leurs démarches de réflexion. Alors ils attendent, oubliant que cette vie est courte (Rév d'Arès 36/23), ou bien exigent des explications et déçus par la réponse repartent vers d'autres horizons. Vers d'autres déceptions?
La personne qui s'attarda sur les stigmates écrivait en juin 2009 sur son forum ceci:

Cette édition 2009 dépasse de loin celles de 1989 et de 1995. Frère Michel nous tire vers le Haut et nous montre, par la même occasion, que la foi et l'intelligence sont évolutives. Moi qui ai pourtant l'habitude de la Révélation d'Arès, il m'arrive en pleine lecture de cette édition 2009, de la fermer tant les annotations du frère Michel sont puissantes et n'ont, parfois, plus rien à voir avec le texte d'origine. Je la ferme pour réfléchir à ce que je viens de lire mais aussi parce que cela me touche au plus profond de mon être. S'il y a bien une édition à lire, c'est celle-là. La culture religieuse chrétienne est résolument dépassée. Des thèmes comme Marie ou la Mère sont enfin expliqués clairement et prennent une dimension spirituelle nouvelle. C'est spirituellement génial. Cette édition ne pourra vous apporter que clarifications donc évolution. Lisez-la !

Elle s'émerveilla sur Marie mais bloqua sur les stigmates et ce fut le doute de trop, au point d'en rejeter quelques semaines plus tard La Révélation d'Arès et son prophète, qu'elle qualifiera de menteur.
Devant cet événement je n'ai jamais aussi bien mesuré combien il nous faudrait de l'humilité, beaucoup d'humilité pour acquérir la lucidité et d'amour, beaucoup d'amour évangélique pour ranimer notre intelligence spirituelle.
Merci, frère Michel, juste prophète (Rév d'Arès xxxvii/2), pour cet enseignement.
Philippe C.


Réponse :

"La personne qui s'attarda sur les stigmates écrivait en juin 2009 sur son forum" est la personne même dont parle le commentateur M.F. (98C12), mais ce n'est pas la seule qui a soulevé le point des stigmates. Il y en a eu d'autres.
Celle dont vous parlez se distingue seulement des autres parce qu'elle a fait beaucoup de bruit.

Elle a rompu avec moi "avec fracas", ainsi que M.F. (98C12) le rappelle, mais cette personne n'était pas un Pèlerin d'Arès. Son départ n'est donc qu'une sortie formelle, une sortie de théâtre, mais non une sortie de fait. Vous savez mieux que personne, mon frère, qu'elle ne participa jamais à la mission de votre région et ne mit même jamais les pieds dans vos locaux, je crois.

Néanmoins, elle a fait en juin 2009 cette déclaration enthousiaste que vous publiez dans votre commentaire à propos de l'édition 2009 de La Révélation d'Arès, mais, étant une personne probablement soumise à un va-et-vient intérieur attirance/répulsion, il fallait peu de chose pour qu'elle bascule de l'attirance à la répulsion. Sa foi était sûrement fragile, de toute façon, soumise aux déchirements de la rationalisation.

Perdre la foi est respectable et des questions de foi on ne peut discuter.
Ce que je trouve moins respectable chez cette personne, c'est l'ensemble de motifs qu'elle s'est cru obligée d'invoquer publiquement pour nous quitter. Mais peut-être se sentait-elle en dette morale et spirituelle envers moi et envers les Pèlerins d'Arès et cherchait-elle des raisons morales et spirituelles de rupture pour ne plus se sentir en dette de quoi que ce soit à La Révélation d'Arès et à son témoin ? Ce genre d'idée bizarre peut venir à une personne solitaire, enfermée en elle-même ou qui ne prend pas conseil. Elle n'a finalement trouvé que des raisons très récusables. Je m'en sens vraiment peiné pour elle. De toute façon, on peut essayer de comprendre, mais on ne peut juger. Où qu'elle aille, je lui souhaite d'y faire le bien, parce que le bien seul sauve!


04sep09 98C14
Mon intérêt pour La Révélation d'Arès a d'abord été attiré par les propos et l'exemplarité — eh oui ! bonté, recul, intelligence, souci pour l'humanité, etc. — de personnes présentes à Arès. Avec évidement les propos et l'intelligence de solutions donnés par vous, Michel Potay.
Apres quelques vérifications sur l'honnêteté des événements survenus à Arès — comme des renseignements auprès d'anti-sectes, par exemple —, ce qui m'a définitivement converti a cette Parole est la beauté, la grandeur de l'utopie a réaliser.
Connaissez-vous un idéal qui propose de façon aussi poussée la foi en l'homme ? C'est le seul que je connaisse qui appelle chaque être humain — image et ressemblance du Père — à se réapproprier sa pleine conscience et responsabilité afin d'accomplir chaque jour le monde auquel il aspire.
Résister au mal — bêtise, mensonge, vol, hypocrisie, etc. sources de malheurs — pour créer des nœuds de lumière auxquels d'autres pourront s'agripper et se hisser, voilà de quoi occuper, penser, organiser, accomplir sa vie.
De plus la beauté de la Parole des prophètes est universelle et intemporelle. "Aimer son prochain comme soi-même" qui date du Lévitique, donc commun aux religions monothéistes, n'est-ce pas plus digne, d'une densité plus complète pour accomplir au quotidien plutôt que de s'arrêter a des détails surnaturels ou des droits de l'homme ?
bonhomme


04sep09 98C15
Je découvre la nouvelle page de votre site et les nombreux commentaires qui suivent.
Alors je suis tentée de témoigner aussi.
J’ai réagi en son temps et ne souhaite pas me réjouir ou m’indigner des évènements récents.
Puis-je formuler un vœu ?
Je formule l'espoir que cessent les divisions, les tensions, les emportements.
Cela n'a aucun sens et ça fait deux mille ans que ça dure.
La lecture de votre entrée [0098], frère Michel, est un appel au Grand Rassemblement et je l’accueille de toutes mes forces, de toute mon âme : La vie des hommes est si douloureuse de l’absence de Dieu.
La Révélation d’Arès vient à peine d’entrer dans ma vie et j’ai cinquante ans.
Un demi-siècle d’une existence sans Lui, ignorante de Lui, et plus grave, je ne savais pas qu’il me serait un jour permis d’accueillir Sa Parole, Sa Vérité.
Pas autorisée [à accueillir sa Parole]... Comprenez-vous ce que cela peut signifier ?
Il ne m’a jamais été permis d’évoquer, de prononcer le nom de Dieu. "Foutaises !" [me criait-on.]
Et aujourd’hui encore, je vis cet évènement le plus discrètement possible pour ne pas contrarier l’ordre établi.
Je ne peux appeler le Père de l’Univers à haute voie, je chuchote mes prières…
Mais dans quel monde vivons-nous ?
Quelle chance vous avez, vous qui êtes libres d’exprimer votre foi.
"Unissons nos pas," dirais-je à tous les pélerins. Qu’ils résonnent au rythme de vos pas, Frère Michel !
Vous nous ouvrez la voie, vous nous tracez le chemin. Essayons de vous suivre sans faillir à la nôtre de parole.
Vous m’avez dit un jour un mot merveilleux frère Michel, vous m’avez dit le mot: Confiance!
J’ai confiance et j’avance. Doucement et trébuchante la plupart du temps, mais j’avance.
J’avance dans la paix, parce que je suis sur la bonne route enfin, et cela m’apporte une force incroyable.
C’est une force qui transcende la vieille peur qui m’habitait, ce sentiment qui faisait de moi une femme prisonnière de la vie et de ses folies.
Plus jamais !
Merci Frère Michel, merci pour cette invitation toujours renouvelée à vivre libre [Rév d'Arès 10/10].
Fabienne


04sep09 98C16
N'est-ce pas dommage, frère Michel, que le Messager Jésus, lorsqu'il vous visita en 1974, ne vous ait pas laissé un morceau de sa tunique, car, prouvé scientifiquement souillé par des partiCULES intergalacTIQUES et précieusement conservé par vos soins, l'objet comme preuve incontestable des Apparitions aurait peut-être permis à quelques sceptiques récalcitrants, de se mettre en marche vers le Bien actif et la Moisson des âmes.
Est-ce une lacune du Ciel ? Le saura-t-on jamais?
Dominique F.


Réponse :

Ne croyez pas que ce genre de preuve scientifique puisse convaincre plus que des arguments de pure foi.
Jésus le disait déjà il y a 2.000 ans dans la parabole "Le mauvais riche et le pauvre Lazare" (Luc 16/19-31):

Même si quelqu'un ressuscite d'entre les morts devant leurs yeux, ils ne seront pas convaincus.
Je vous parie que des scientifiques auraient de la "fausseté" de ce "morceau de tunique" couvert de particules intersidérales une explication scientifique qui conviendrait très bien au incrédules, car il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre ni plus aveugle que celui qui ne veut pas voir.


04sep09 98C17
Bonjour Frère Michel
Vous dites: "L'homme n'aura pas avant des générations le moyen spirituel de concevoir la phase maternelle du Créateur comme il en conçoit la phase paternelle."
Les sociétés qui ont décidé de Dieu au masculin étaient patriarcales, alors que tous les mythes fondateurs parlent de la Mère.
Mais, si on regarde bien, le féminin de Dieu est connu. En Inde, le Divin est vénéré à la fois sous les formes masculine et féminine. L’univers entier est l’union de ces deux principes masculin et féminin. Les éléments masculins sont l’action, la pensée rationnelle, l’audace, la compétition, jusqu’à l’agressivité ; les éléments féminins sont la pensée intuitive, la patience, l’amour, l’empathie. Ces deux pôles doivent être équilibrés et unis pour que l’être atteigne l’épanouissement.
La Bible nous présente un Dieu dont les aspects sont aussi maternels ; j'en  prends deux exemples qui me paraissent convaincants.
Au psaume 111, verset 4, deuxième moitié, il est écrit : "Le Seigneur est bienveillant et miséricordieux", littéralement : "Le Seigneur (est rempli) de sollicitude paternelle et de tendresse maternelle."
Au livre du Deutéronome, chapitre 32, verset 21, Moïse adresse ce reproche à Israël : "Tu as oublié le Dieu qui s'est tordu de douleur en te mettant au monde."
En tout cas, quand on lit les Évangiles selon Marie, selon Philippe et même selon Thomas, on y trouve, non seulement, cette idée de nécessaire réconciliation entre le féminin et le masculin de l’humain, mais aussi, entre l’homme et la femme.
En revanche, l’Église est misogyne. Jésus, au contraire, s’opposait à l’optique du Judaïsme de l’époque selon lequel la femme était confinée à la maison. D’ailleurs Jésus fut vilipendé par les premiers évêques, comme Irénée de Lyon au 2ème Siècle, qui dira que les gnostiques acceptent dans leurs rangs des prostituées, ces femmes qui se promènent avec eux, qui font de la prédication, qui enseignent. Le Jésus que l’on découvre dans ces textes gnostiques est profondément humain, différent. Il réconcilie donc l’homme et la femme, mais aussi le corps et l’esprit.
En ontologie le masculin est représenté par le conscient et le féminin le subconscient.
Maryse


Réponse :

Les images de Marie ou de la mère élevée au-dessus de l'Orient dans La Révélation d'Arès me suffisent pour rappeler que le Créateur n'a aucun sexe et qu'il peut être ainsi considéré Père et Mère tout à la fois, mais aussi pour rappeler que ce concept n'est pas accessible à notre intelligence intellectuelle, mais seulement à notre intelligence spirituelle, car en fait il n'est ni Père ni Mère, il est autre chose, il est le Créateur, pour la conception asexuée, extra-naturelle, unique en son genre duquel il manque une catégorie dans notre système de pensée.
Je ne suis pas hébraïste, mais je ne suis pas sûr que vous ayez raison concernant la traduction de Psaume 111/4 et je lis votre citation du Deutéronome comme simplement métaphorique. La Bible, ancien comme nouveau testament, a de Dieu un concept absolument mâle.
Néanmoins, l'ensemble de votre commentaire est intéressant. Je vous en remercie.


04sep09 98C18  
L'oeil du dehors compte les stigmates
L'oeil du dedans voit les stigmates [paraphrase de Rév d'Arès ii/10]
Jean-Pierre B.


04sep09 98C19
[...]
Il n'y a rien d'étonnant à ce que les tièdes et les nullités sous n'importe quel prétexte quittent le mouvement, où ils ne faisaient déjà que de la figuration..
L'année 2009 est une année jubilante et même triomphante! Une nouvelle édition, superbe, de La Révélation d'Arès! Des travaux et des embellissements superbes et importants à la Maison de la Sainte Parole à Arès! Vos 80 ans triomphants, alors que certains attendaient déjà votre fin pour provoquer les chamailleries de la succession ! Vous ne laissez plus le moindre espoir aux minables et aux [...] de se faire enfin remarquer, de sortir de leurs containers. Tous les prétextes sont bons pour quitter le navire! Je ne sais plus qui disait sur son site internet que le mouvement des Pèlerins d'Arès était en déclin. Ils découvrent qu'il est en bonne santé. Ils se carapatent.
Le prétexte des stigmates, de Marie  des démons, c'est du pipeau !
Mais sûrement autre chose vient aider à la carapate!
Ces figurants ne missionnaient pas, ne priaient pas, ne participaient pas, ils ne lisaient même plus La Révélation d'Arès, bref, ils ne foutaient rien que bavasser, quand ils bavassaient... Par quoi vouliez-vous qu'ils finissent par se sentir liés à vous et à la mission? Par rien. Ils sont comme ces couples qui vivent chacun de son côté, qui ne partagent plus rien et qui finissent par divorcer et là tous les prétextes sont bons.
Moi, je ne fais plus grand chose depuis longtemps, je sais. Mais je ne prétends pas être un haut défenseur de La Révélation d'Arès. Je suis un inactif et un propre à rien, mais j'en assume la responsabilité. Au moins, quand je voudrai revenir à la mission et m'y remettre à fond, je ne serai pas dans la situation où viennent de se mettre quelques uns sous des prétextes plus qu'insignifiants. Comment feront-ils quand ils s'apercevront qu'ils ont agi par connerie et crânerie?
TH


Réponse :

Veuillez pardonner ma censure de votre commentaire, surtout la première partie que j'ai totalement escamotée. Vous y portiez des jugements très durs, quasi insultants, à l'égard de certains. Je ne peux accepter cela dans mon blog qui n'est pas une tribune de juges accusateurs ou de pamphlétaires méprisants et moqueurs.
La seconde partie de votre commentaire, que je publie ici, apporte une hypothèse intéressante: le départ de ceux que le marasme ou la défaite arrangeaient, mais que la victoire déçoit. Hypothèse qui est, de plus, présentée de façon tout à fait acceptable, qui contraste avec la première partie.

Il y avait longtemps que je n'entendais plus parler de vous et je suis heureux de retrouver votre signature.
Je vous souhaite de "revenir à la mission et de vous y mettre à fond," comme vous dites.

Votre évocation des "travaux et embellissements à la Maison de la Sainte Parole" me laisse penser que vous êtes venu au Pèlerinage cet été. C'est bon signe.


04sep09 98C20  
Rentrant de vacances, fin août, je reçois le coup de téléphone d'une personne m'informant des échanges que vous avez eu, cet été, concernant les stigmates. Cette personne me disait: "Tout cela est très important. Frère Michel est en pleine contradiction."
Cela m'a attristé de voir que, seul et sans aide, vous avez dégagé du temps et de l'énergie pour répondre à une personne mettant en demeure l'homme de Dieu de se justifier!
Je ne m'explique pas comment on peut attacher autant d'importances à ces détails, surtout pour chercher à confondre le prophète!
Pourquoi s'acharner ainsi vous raser la tête, le menton (Rév d'Arès xi/1) ?
La seule hypothèse que je puisse faire, c'est qu'il est insupportable pour certaines personnes de ne pas vous voir tomber.
Vous êtes la preuve vivante que l'accomplissement de la Parole est possible, visible. J'imagine vos contradicteurs, ayant au fond d'eux une conscience qui les appellent au changement et à la pénitence. Cette conscience les interpelle: "C'est possible! Regarde le frère Michel, il y arrive bien !"
En pleine confusion, ces personnes aimeraient vous voir chuter, car alors elles n'auraient plus de bonne raisons de
se lever à vos côtés.
Cette entrée 0098 sur les stigmates est un rappel que la Vérité ne dérange qu'accomplie. Pas dans un livre ou dans de
bonnes intentions... mais accomplie !
Jérôme SM


04sep09 98C21
Soyez assurés  de toute notre confiance et de notre amour.
Lorsque je lis les annotations de Mikal, prophète intègre de Dieu dans Rév d'Arès 37/1 [edition 2009]: "Jésus, l’envoyé du Créateur, annonce au témoin qu’il sera bientôt soulagé des intenses émotion et fatigue que lui cause l’expérience surnaturelle qu’il doit vivre depuis le 15 Janvier 1974. De plus, écrire sur le vif le Message sorti des lèvres de Jésus, qui ne dicte pas mais qui parle assez vite, est une pénible épreuve pour le témoin,"
je  suis en compénétration avec le prophète malgré mes insuffisances et comprends aisément que, dans ce contexte, la description de certains faits ne soit pas d’une précision horlogère et que certains points, si merveilleux soient-ils, n’apportent pas la Vie. Le Message reçu et transmis dans son intégralité à Arès, lui, oui! Il apporte la Vie.
Oui, "il est temps que nous sortions de l’antique superstition (Rév d’Arès 21/1) et trouvions la maturité spirituelle!" Elle a manqué à Judas ; elle me fait défaut souvent. Pourtant, sans cette maturité je ne puis acquérir la liberté spirituelle.
Merci Frère Michel de continuer à nous ramener inlassablement à l’Essentiel, avec  patience, amour et détermination. 
Crie partout: […] Écoutez la Parole Que j’aie reçue et sauvez-vous! (Rév. d’Arès 36/23)
Nicaise


04sep09 98C22  
À l'instar du Frère Michel je témoigne d'avoir vu les plaies de Jésus:
Mon corps transpercé, le Sang versé de Mes Plaies, Je Les livre aux regards et aux mains de tous les pénitents, tant que tous pécheront contre Moi, comme on montre leur crime aux parricides, comme on met de force dans leur bouche la chair et le sang du père qui git sous les coups de ses fils, pour raviver leur remords, pour leur arracher larmes et cris de repentir (Rév d'Arès 8/4).
Tout comme lui j'aurais du mal à dire d'où le sang partait exactement. Ce qui vient à l'esprit ensuite, c'est surtout que de sévères changements s'imposent si l'on ne veut plus voir cela.
Cela me rappelle il y a quelques temps un collègue de travail qui s'était fait un peu broyé le bout de l'index dans les engrenages d'une rotative d'imprimerie après quoi tout ceux qui avaient vu son doigt discutions fort sur la taille de la blessure alors qu'il était entre les mains des pompiers et cela me frappa d'entendre chacun donner une version différente, car l'on avait surtout vu... du sang couler.
Pierre C.


04sep09 98C23
Bonjour Frère Michel qui a perdu son chat, ah non pardon, c’est la mère
Ne prenez pas ce début de commentaire comme une attaque mais comme plutôt comme
Un rappel à l’humour et à notre esprit d’enfant, qui manque désespérement dans nos sociétés, qui a force de vouloir tout formater et expliquer (y compris Dieu) en oublie de rire sur elle-même et je crois malheureusement que personne n’échappe à ce sérieux et à cette tristesse, y compris les Pélerins, pélerins d’Ares.
Retrouver Dieu, c’est aussi retrouver son rire et sa joie.
L’être humain étant créateur, libre à lui de parler de choses sérieuses et grave en gardant de l’humour et de la joie.
Je ne suis pas Pèlerin, pèlerin d’Ares (comme Cécile si l’on en croit votre opinion) et ne le serait sans doute jamais, mais bon! il ne faut jamais dire fontaine je ne boirais pas de ton eau!
Alors comment expliquer que je crois à 100% que la parole que vous avez reçu de Jésus et de Dieu lui-même en chair et en os (c’est de l’humour) est véridique et que je cherche à l’appliquer dans ma vie quotidienne ? Comment expliquer que je suis votre blog avec intérêt ? Mystère et boule de gomme, disait-on dans mon enfance.
N’allez pas croire que je ne vous aime pas, bien au contraire, je vous aime pour le courage que vous avez eu d’abandonner votre confort d’ecclésiatique et d’avoir osé dire: "Jésus et Dieu m’ont transmis un message pour vous les êtres humains."
Bref, dès fois j’accepte ce que vous dîtes, vos commentaires sur la parole et d’autre fois non. Donc pour être plus clair j’aime l’homme Michel inconditionnellement, mais pas toute sa création verbale.
Il semble que pour certain pèlerin d’Ares se soit un crime de lèse-majesté que de rabaisser le prophète au rang de simple mortel, car bien évidemment il est difficile de se débarrasser de cette tendance à l’idolâtrie que nous avons héritée de notre culture.
Pourtant je continuerai dans cette voie: Celle de ne pas prendre à la lettre la parole de Dieu qui dit: parole de Mikal ma parole (Rév d'Arès i/12) dans un certain contexte et non dans le sens où désormais tout ce qui sortira de la bouche de Mikal sera Ma Parole, car il me semble que parfois votre verbe vous entraine sur la voie d’un despote ou d’un gourou spirituel.
C’est mon sentiment actuel et je tenais à le verbaliser dans ce commentaire.
Peut-être ne publierez vous pas ce commentaire, c’est votre liberté de blagueur... pardon ! de blogueur, car il peut vous paraître hors sujet par rapport aux stigmates de Jésus où vous semblez vous offusquer que certain esprits notent ce détail de leurs positions. Pourtant, il me semble au contraire salutaire et logique que votre parole soit passée au tamis de l’analyse et de la rationnalisation, de même que la Parole de La Révélation d’Arès le sera inévitablement un jour ou l’autre, car à mon avis, c’est Dieu qui nous a créé ainsi, avec une raison et un imaginaire, mais c'est toujours la raison qui a le dernier mot. La preuve, le message de Jésus est très rationnel .
Patrick R.


Réponse :

Votre commentaires m'interpelle et j'en accepte la leçon en vous demandant toutefois quelques précisions.
"Parfois mon verbe m'entraîne sur la voie d'un despote ou d'un gourou spirituel"? Je suis un pécheur, j'en suis bien conscient, et je suis sans cesse occupé à traquer mon péché afin de devenir meilleur pénitent que je ne suis. Montrez-moi mon péché! Soyez assez bon pour me citer des exemples, concrets, de mon "verbe de despote ou de gourou spirituel." Vous me rendez service. Merci.
Vous "croyez à 100% que la Parole que j'ai reçue de Jésus et de Dieu lui-même en chair et en os est véridique et vous cherchez à l’appliquer dans ma vie quotidienne?" Je vous dis sans arrière-pensée combien je suis heureux de recevoir de vous ce témoignage. Soyez seulement assez bon pour m'expliquer le distinguo que vous faites, je parle des limites de l'acceptable et de l'inacceptable selon vous, entre la parole du prophète qui est la Parole du Créateur (Rév d'Arès i/12) et la parole du prophète qui n'est pas la Parole du Créateur. Autrement dit — je ne parle pas du Fond dont la définition est ma mission prophétique spécifique —, quand abusé-je de ma parole en la faisant passer pour la Parole de Dieu? Ce service que je vous demande ici rejoint le précédent.
Je ne vous connais pas et je ne sais pas si vous œuvrez pour la moisson au sein d'un de nos groupes locaux. Je n'ai jamais entendu parler de vous et — ceci n'est qu'une hypothèse — c'est peut-être la raison pour laquelle vous ignorez que les Pèlerins d'Arès aussi ont beaucoup "d’humour et à un esprit d’enfant" tout comme vous.
Avez-vous appris que nous manquions "d'humour et d'esprit d'enfant" de la bouche de quelques uns qui prétendent que nous sommes une assembée sclérosée ou bien l'avez vous expérimenté vous-même au milieu de nous?
Avez-vous vous-même également rencontré des Pèlerins d'Arès pour qui il est "un crime de lèse-majesté que de rabaisser le prophète au rang de simple mortel..." pour lesquels il semble impossible "de se débarrasser de cette tendance à l’idolâtrie que nous avons héritée de notre culture"? Leur avez-vous parlé? Pour ma part, je n'en connais aucun. Je ne connais personne qui m'idolâtre et même il eut peut-être été bien utile qu'il y en eût quelques uns pour m'aider à créer, par exemple, la Maison des Faucons, plutôt que de me tourner le dos et de me laisser me débrouiller tout seul depuis 35 ans.
Votre commentaire éveille donc en moi beaucoup de curiosité, vous voyez. Pour cette raison, non seulement je n'ai pas hésité à le publier, mais j'ai pensé sa publication nécessaire.


04sep09 98C24  
Depuis 1974 vous êtes seul à vous démener pour faire admettre l'impossible: La Révélation d'Arès à laquelle personne ou à peu près personne ne croit.
Ceux qui vous quittent pour une histoire de stigmate font bien du bruit — du bruit pour rien — pour aller rejoindre les milliards qui ne croient pas en vous. Ça ne vaut même pas d'être noté.
Je ne comprends pas que vous perdiez votre temps à un épisode aussi peu significatif pour quelqu'un qui comme vous fait sa traversée du désert depuis 1974.
Dans le désert il est normal de rencontré des scorpions et des serpents. Il n'y a au aucun mouvement prophétique qui n'ait pas été marqué par de multiples trahisons. Pour Jésus ce fut Judas, le reniement de Pierre, le jeune homme riche qui s'enfuit plutôt que tout abandonner pour suivre le prophète, etc.
Vous ferez jusqu'au bout votre traversée du désert. Acceptez-le!
Joe


Réponse :

J'ai accepté depuis 1974 ma traversée du désert. Cette traversée est de tradition prophétique depuis toujours.
Mais vous, vous me demandez en somme de l'accepter en silence, de marcher dans le désert sans rien dire, sans agir, sans comprendre. Cela, je ne l'accepte pas. Traverser le désert, oui ! Ne pas tirer les leçons des tribulations de la traversée, non !
Dans la Bible, le désert est un lieu de purification, de purification de la chair, de l'esprit et de l'âme (Rév d'Arès 17/7), d'apprentissage de la liberté et de découverte de soi. À condition d'y être sans cesse sur le qui-vive pour tirer leçon de tous ses dangers, de ses pièges, de ses brigands, et de savoir y prendre la mesure de sa faiblesse comme de sa force.
C'est ce que je fais ici. Je ne traverse pas le désert dans la résignation à laquelle vous m'invitez.
Je fais du désert une source de richesse pour mon âme et mon cœur et pour tous mes frères et sœurs. Je n'oublie pas, comme vous semblez l'oublier, vous un lecteur (je suppose quotidien) de La Révlation d'Arès, que le Créateur parle du désert comme du lieu qu'il nous faut fouiller comme une mine pour y retrouver la Vie (Rév d'Arès 24/4).


05sep09 98C25
Au début, je ne voulais pas intervenir sur votre blog, mais au fil des commentaires, j’y vois quand-même peut-être un intérêt.
Je suis l’administrateur du forum, où le frère Michel s’est défendu, (ce n'est pas lui qui a attaqué, je précise). Je voudrais répondre à ceux qui se plaignent en disant: “Snif, snif, frère Michel, vous avez été encore seul. Snif, snif, pourquoi l’assemblée ne s’est-elle pas levée comme un seul homme ? Snif, snif, l’aînée se trouve attaqué nous faisons quoi ? Snif, snif, soyez assurez de tout notre amour… etc."
Des plaintes, le Père n’en veut pas et le prophète non plus d’ailleurs.
Non, pour une fois le prophète n’a pas été seul, nous étions deux ou trois, trop peu nombreux pour lui servir de rempart (Rév d’Arès 29/2). Là, j’ai pleuré, non pas de voir le prophète attaqué, car je sais qu’il est assez grand pour se défendre tout seul. J’ai pleuré car j’ai vécu sa solitude un instant. Car lui vit cette solitude depuis plus de trente ans.
Il sufisait seulement de peu de chose, pour me remplir de joie dans ces moments là, il sufisait de venir sur le lieu même des attaques et dire: Frère Michel, nous ne pouvons répondre à votre place, mais nous répondons présent, que le monde sache que vous n’étes pas seul !
Non, le prophète ne sera plus jamais seul, quand on l’attaquera, tout du moins dans ces conditions là. Car là aussi j’ai compris qu’il sufisait de dire à ses détracteurs: "Ok, vous avez le droit d’attaquer le prophète, vous avez le droit de le salir, c’est votre liberté, mais sachez une chose, quoi que vous disiez ou fassiez, vous pourrez mourir mille fois, que nous serons toujours là:
Les frères ont la main en-haut vers l'enseigne. Le faucon iche là-haut, le faucon qui ne dort pas (Rév d’Arès xvi/14).
Americo


Réponse :

Merci, Americo. Je rappelle quand même que c'est le co-fondateur de votre forum qui a sur ce forum ouvert la porte à l'attaque que j'ai subie, à laquelle je ne m'attendais pas du tout et devant laquelle je ne pouvais pas me retirer sans laisser penser que l'attaquant avait raison et que je me sauvais la queue basse. On m'accusait de mentir, de manipuler, de fuir les questions, etc. Bref, vous aviez lâché les chiens sur moi et le moins que vous puissiez faire était quand même de ne pas prêter à cet accablement en invitant l'attaquant principal et les autres à plus de modération. Merci de l'avoir fait.
Ceci dit, s'il ne s'était agi que de l'échange sur votre forum et des accusations que j'y ai subies de quelqu'un qui n'était même pas pèlerin d'Arès, je n'aurais pas écrit cette entrée de blog 0098.
Si je l'ai écrite, c'est parce que d'autres, parmi lesquels des vieux compagnons, dont la méfiance à mon égard subitement révélée m'est beaucoup plus pénible que l'hostilité que j'ai essuyée sur votre forum, m'ont annoncé leurs doutes et, pour certains, leur éloignement.
C'est un phénomène d'hostilité ou de détraction d'ensemble qu'a répondu mon entrée #0098.
Dans un sens et dans plusieurs cas cela a été probablement été un mal pour un bien, car je ne pense pas que les raisons invoquées pour s'éloigner de moi et/ou de La Révélation d'Arès (stigmates, Marie, tentateur, etc.) soient la cause profonde des troubles. Chez certains du moins la cause était certainement plus profonde: la foi devenue incertaine, la tiédeur qui a peu à peu refroidi le cœur, le manque de piété, l'éloignemet de moi, etc. On ne peut discuter des raisons de la foi, mais les prétextes pour la perdre sont parfois légers.


05sep09 98C27
Je vous envoie ce mail par ma messagerie, car je n'arrive pas à me connecter par l'adresse portée sur le blog.
 
Ce qui précède m’amène une réflexion inattendue et bizarre ! Une multitude (ce n’est pas de Mme Royal), celle que citent La Révélation d'Arès de12/7 à 12/9, a cru en la parole du Jésus de l’an zéro. Une autre multitude a cru en la parole de Mouhamad. Or, après 2.000 ans ou 1.370 ans, ça n’a pas changé grand chose dans le cœur des gens, car la justice, la paix, le partage, le pardon, etc. font un tel silence qu’on en est abasourdi.
Un petit reste — appelé aussi les "beni-oui-oui" — croit en la parole du Jésus de 1974 et à celle donnée par le Créateur en 1977 et idiotement (d’après certains) commencent à expérimenter, dans leurs groupes, la vie collective sans chef. Sans chef car personne n’a obligation, sauf par sa volonté propre, de vous écouter et de mettre en œuvre vos conseils. Ces beni-oui-oui ne sont pas plus extravagants que les intellectuels français qui, dans les années 50 ou 60, voyaient en Staline "le petit père des peuples", alors qu’il massacrait des milliers de personnes]… Ce que vous ne faîtes pas, évidemment !
L’histoire récente (Vietnam, Algérie, Afghanistan, etc.) nous a rappelé que c’était les minorités actives et utopiques qui finissaient par faire bouger l’ordre établi par les princes. Les beni-oui-oui, un jour par leur persévérance, scieront la branche sur laquelle les incrédules et critiqueurs de toutes sortes sont assis (aïe ! ça fera mal) et alors le Jour de Dieu viendra.
Je pense qu’on peut mieux exprimer cette idée, mais je n’ai jamais fait de philosophie.
Berni Zacharie


Réponse :

Il arrive assez souvent que, comme vous, des commentateurs ne puissent pas m'adresser leurs commentaires par "Rédigez un Commentaire pour 00XX... Cliquez sur webmaster@freesoulblog.net". Ils utilisent alors mes différentes adresses de messagerie, mais là certains commentaires tombent automatiquement dans les spam ou ne suivent pas la voie du "POP & forwarding". Il va me falloir regarder ça de plus près.
Moi-même, en le testant récemment à la suite de certaines plaintes comme la vôtre, je ne suis pas arrivé à faire fonctionner ce format automatique de rédaction de commentaire. Ma fenêtre de de rédaction d'Email s'est ouverte, j'ai bien vu inscrit dans la case du destinaires: webmaster@freesoulblog.net, mais quand j'ai cliqué sur "Envoyer" j'ai eu une fenêtre d'avertissement me disant: 'Vérifiez l'adresse du destinataire!"
Quelque chose a dû s'altérer dans mes scripts, mais je n'ai pas encore eu le temps de regarder ça de plus près. Je suis seul, je ne suis pas informaticien (je suis un bon débrouillard, c'est tout), je n'ai pas d'informaticien sous la main et je manque de temps.
En attendant, vous avez bien fait d'utiliser la voie normale de messagerie.


05sep09 98C28
Depuis, le début de votre mission, frère Michel, vous n’avez pas cessé de vous déculturer parce que vous êtes un grand priant, un grand pénitent et un grand prophète. Vous vous êtes débarrassé de votre vieux manteau (d’ecclésiastique, de religieux) pour revêtir le manteau neuf (Rév d'Arès1/1) de l’homme spirituel.
Cette  image du pénitent devant nos yeux est l’exemple à suivre ainsi que votre enseignement comme celui de Jésus était à suivre sans se focaliser sur sa mort, ses stigmates.
Votre vie spirituelle, que vous nous transmettez, nous aide à notre tour à nous déculturer. Vous ne laissez pas cette Parole se flétrir, se figer,  elle est vivante.
Cette entrée nous montre, une fois de plus, votre hauteur de vue annoncée dans le Livre:
Ton œil (a) le Feu, l’homme (qui te suit) voit l’île Bleue (au) loin (Rév d'Arès xiv/13).
Depuis longtemps vous nous appelez à faire ce travail de déculturation pour préparer notre mission de déculturation religieuse notamment, envers le monde. Récemment, avec un frère de Bordeaux nous avons échangé sur un travail que vous aviez entamé dans cette assemblée pour déculturer les mots et les notions courantes à la lumière de la Parole, la notion de  pénitence en est un fameux, auquel vous redonnez tout son sens spirituel.
Comme ma sœur Chantal [98C09] j’avoue avec humilité que vos commentaires sur Marie dans la nouvelle édition 2009 m’ont bousculées, même si déjà vous aviez dit, pendant votre cycle d’enseignement à Paris [de 1995 à 1997], beaucoup de choses dans ce sens. Cela m’a fait faire encore un pas pour me détacher de mes guenilles religieuses.
Merci, frère Michel, de nous mener vers les Hauteurs et d’entraîner tous ceux que vous pouvez comme Dieu vous l’a demandé. Vous accomplissez votre mission jusqu’à votre dernier souffle, [c'est évident pour] qui a des yeux pour voir et des oreilles pour entendre !
Je citerais à [nom d'un des transfuges à cause des stigmates]: Plus tu videras ta tête des sciences vaniteuses sous Mon Souffle dans l’éclat de l’Esprit  plus tu discerneras Mes Merveilles, c’est pourquoi J’ai dit soyez comme les enfants ! (Rév d'Arès 33/8).
Fafa Rendol


05sep09 98C29
Que d'énergie et de temps gaspillés à expliquer des faits qui ne reflètent que la forme des choses et non le fond, comme ces histoires de stigmates !
Que de temps passé à chercher la petite bête et la faille chez vous ou chez l'autre... tout çà pour avoir le sentiment éphémère d'avoir raison et "d'étaler" son intelligence !
Voilà où en est l'homme moderne si fier de son savoir, réduit à se chamailler[, à se disputer] les chaises du "Titanic" alors que le bateau est en train de couler!
Faudra-t-il  boire le calice de la vanité jusqu'à la lie avant que l'homme prenne en dégoûts ses propres bassesses ?
Alors qu'il faudrait un tant soit peu de confiance en l'autre et de compassion pour que les choses aillent beaucoup mieux.
L'autre, c'est le prophète, mais c'est aussi l'homme et la femme que je croise dans la rue, que je connais ou ne connais pas encore.
Car comment puis-je avoir confiance dans le prophète, si je me méfie du premier inconnu qui croise mon chemin ? Si je mets en doute sa parole sans entendre ses arguments ?
C'est évidemment tout bonnement impossible.
Après tout, ses arguments valent sûrement les miens... avec toutefois la limite bien marquée qu'il n'essaye pas d'imposer son point de vue ! Car à partir de ce moment là, il se met automatiquement sur le Trône du Créateur, Trône qui ne revient à aucun homme bien sûr.
Mais ça, je pense que c'est évident pour tout le monde, il faut l'espérer en tous cas.
Olivier G


Réponse :

Comment pourrais-je "imposerer mon point de vue"? Dans l'assemblée des humains libres (Rév d'Arès 10/10) qui croient dans La Révélation d'Arès, qu'ils s'en inspirent en totalité ou en partie, il n'existe aucun organisme décisionnaire dans les débats duquel je puisse trancher sur les autres points de vue et imposer une direction comme un chef d'état, un chef de parti ou un pape peut le faire.
Je dis ce que je crois et ceux qui ne partagent pas ce que je dis ou ce que je crois simplement ne le partagent pas, puisqu'on ne peut pas se retirer d'une assemblée qui n'est que virtuelle et qui le demeurera à jamais pour la raison simple — que mon entrée de blog #0098 rappelle — que le salut n'est pas attaché à une appartenance ou à une obéissance, mais à la pénitence.
Ceux qui ont décidé de me faire totalement confiance et de travailler concrètement dans la direction qui est la mienne sont ceux que j'appelle Pèlerins d'Arès ou petit reste, mais leur décision de me suivre est libre et ceux qui ne me suivent pas font autrement et seront sûrement, s'ils sont amour, pardon, paix, intelligence et liberté spirituelle, plus justifiés que moi qui ne suis qu'un pécheur qui a bien du mal à mettre ses pas dans les Pas de son Créateur.
Je ne sais pas qui vous êtes, mais il y a déjà un moment que je vois votre nom au bas de commentaires et donc vous suivez mon blog et j'imagine que vous devriez savoir cela, mais le Père me dit: Ne te lasse pas de leur parler !


05sep09 98C30  
Ce que veut dire votre entrée de blog [0098], c'est que vous poser des questions comme par exemple sur les stigmates, sur Marie ou sur les démons, c'est un outrage à votre personne ou comme dit Patrick R. [97C23] un "crime de lèse-majesté.
Vous trouvez ça inacceptable, mais moi je trouve ça normal.
Quand quelque chose semble anormal dans ce que vous dites ou écrivez, il est légitime de vous demander des explications.
Vous vous prenez pour le Bon Dieu, ma parole!
L'Assonant


Réponse :

Je ne vous connais pas, L'Assonant, mais si vous m'écriviez ou suiviez ce blog depuis longtemps ou si vous aviez participé à des réunions de travail ou à des causeries avec moi, vous sauriez que depuis 35 ans je passe ma vie à répondre à toutes les questions qu'on me pose.

Non, je ne fuis jamais les questions.
Je vous invite à lire plus attentivement l'entrée de blog #0098 où, selon vous, je m'indignerais de ce qu'on me pose des questions. Vous y verrez que je ne m'indigne d'aucune question, que je ne me plains guère d'être interrogé, mais que je regrette que l'édition 2009 ait "éveillé des doutes sur mon honnêteté à propos de Marie, des démons ou du tentateur, des stigmates et j'en passe" et que mon "imprécision me vaille d'être accusé d'erreur suspecte et que, par voie de conséquence, La Révélation d'Arès devienne pour certains suspecte d'inexactitude ou même d'inauthenticité."
Il va sans dire que mon regret s'adresse à des personnes qui
soit d'elles-mêmes, directement en lisant l'édition 2009 de La Révélation d'Arès et sans poser de questions, ont conçu de la méfiance à mon égard ou ont rejeté ma personne,
soit m'ont posé des questions, mais ont été insatisfaites de mes réponses et ont rejeté La Révélation d'Arès et son témoin.


Si je publie votre commentaire, ce n'est pas tant pour vous faire remarquer que vous m'avez mal lu que pour observer à travers vous, L'Assonant, l'apparition d'une génération nouvelle, qui a récemment ouvert pour la première fois La Révélation d'Arès et commencé de lire mon blog, probablement sans contact direct avec une mission de Pèlerins d'Arès, une génération qui ne me connaît pas, qui n'a rencontré personne qui me connaisse, et qui n'a d'autre ressource que de se faire des idées sur moi et qui avance tant bien que mal dans le difficile dédale de ses impressions faute d'informations plus solides sur moi et sur les innombrables sujets qui hantent les pensées d'un néophyte..
Cela éveille mon attention sur la façon plus attentionnée avec laquelle je devrais écrire mes entrées de blog, que je tends à adresser à l'assemblée que je connais et qui me connaît en oubliant celle qui maintenant sort de l'ombre de la masse, qui ne me connaît pas. Cette nouvelle génération, je ne la connais malheureusement pas plus qu'elle ne me connaît, une génération que je me réjouis de voir apparaître dans le sillage de La Révélation d'Arès, mais avec laquelle le vieil homme isolé que je suis n'est pas vraiment en phase mentale, surtout avec les plus jeunes.
Les anciens et les nouveaux ont des ressentis différents, nul doute. Il y a là, sinon un dialogue de sourds, du moins un problème. J'en ai tellement conscience. que cet été, pendant la seconde et la dernière quinzaine du Pèlerinage, je me suis ouvert à un groupe de jeunes — sur le tème de la piété, mais j'aurais pu choisir un autre thème —, afin qu'ils me connaissent mieux, car moi-même quand j'étais jeune je considérais plutôt les vieux comme des antiquités étanches, des vieux machins que je craignais un peu et auxquels je ne comprenais pas grand chose.
Cette situation vient aussi de ce que notre moisson s'est toujours organisée d'instinct et a ainsi elle-même vieilli, en s'improvisant, surtout inspirée par sa foi et ses propres impressions, parfois aléatoires, et oubliant trop souvent la psychologie et la sociologie générales du moment. Bref, nous n'avons pas assez travaillé, pas assez préparé notre rencontre avec les générations nouvelles, pas assez prévenu ses perplexités. Notre mission manque totalement — et cela depuis trop longtemps — d'une centrale de travail et de formation missionnaires capable de se faire mieux comprendre et mieux connaître de la population.
Cette carence est le prix que nous avons payé à notre liberté spirituelle, mais nous tenons à cette liberté. Nous avons craint et continuons de craindre, non sans raison, qu'en laissant naître une centrale missionnaire de réflexion et d'organisation nous laissions naître une nouvelle autorité religieuse, autrement dit, une nouvelle religion, ce que nous voulons éviter à tout prix. Cela vient, bien sur aussi, d'un manque de confiance entre nous, manque de confiance qui nous a empêchés de voir qu'il existe en notre sein des frères et sœurs capables d'assumer ces réflexion et organisation dans un bénévolat total, sans s'imposer comme autorités, mais c'est un concept nouveau dans cette société et ses réalisations concrètes ne se feront jour qu'assez lentement et graduellement.
Ceci dit, L'Assonant, oui, on peut me poser des questions et, dans le mesure du temps dont je dispose (je suis seul à assumer un très gros travail) et pourvu que les questions soient de ma compétence, j'y réponds.


05sep09 98C31  
Il y a un plusieurs mois que je suis ce blog et que j'ai lu ce qui y avait précédé l'intérêt que je lui porte maintenant, mais en lisant cette entrée 0098 "stigmates" je me suis d'abord dit: "C'est une affaire intérieure aux disciples de La Révélation d'Arès, je n'ai pas qualité pour m'en mêler. Pas encore, en tout cas."
Ensuite, à la réflexion, je me dis que pour un homme qui s'intéresse à l'événement surnaturel et à la Parole d'Arès, il n'y a qu'une logique à suivre, celle du témoin de cette Parole. C'est une recommandations que Dieu donne, en toutes lettres, au lecteur, d'ailleurs. Tu fixeras la mesure avec laquelle Mes Livres seront proclamés (Rév d'Arès 32/10), parole de Mikal Ma Parole (Rév d'Arès i/12) et une grande quantité d'autres invitations faites par le Seigneur de se fier à ce que dit son témoin.
Je ne décèle aucune contradiction, contradiction que j'emploie ici dans le sens d'opposition, dans ce qu'a dit par le passé le témoin concernant Marie, le tentateur, les stigmates. Je n'y vois que rectification ou évolution. Le témoin, dont c'est ici le blog, a raison de souligner que ces rectifications et évolutions sur des sujets qui ne sont pas cardinaux ou principaux, ne peuvent expliquer un rejet de La Révélation d'Arès et de son témoin. Il y a forcément des causes latentes plus profondes. Il y a notamment,je pense, une cause qui n'a pas été ou pas encore été soulignée dans ces commentaires: On idéalise l'homme témoin d'un pareil événement surnaturel à tel point que l'on peut être décu quand on s'aperçoit qu'il est un homme et non un surhomme et une image religieuse, un reliquaire bien poli et bien astiqué.
Une femme qu'on n'aime pas, on a beau coucher avec elle, on voit tous ses défauts et la rupture n'est jamais loin. C'est ce que voient les critiques du témoin dans le témoin. Ils le fréquentent mais ils ne sont pas amoureux. Critiques bien légers, j'insiste sur ce point. La rupture n'était pas loin, de toute façon.
L'aventure du prophétisme et de l'Écriture depuis la Genèse est l'aventure d'une transmission. Il n'y a qu'à relever toutes les contradictions ou seulement les divergences à l'intérieur de la Bible elle-même, des Évangiles eux-mêmes, et alors on n'y croit plus, si on s'attache à ces détails.
Aucun prophète n'a vécu son prophétisme aussi longtemps que Michel Potay, sauf peut-être Isaïe, mais le Livre d'Isaïe a au moins trois auteurs ou rédacteurs (tous les philologues et linguistes sont formels sur ce point) et donc le seul vrai Isaïe ne va probablement pas plus loin que le chapitre 39. Pour moi Isaïe n'a pas exercé son prophétisme plus de 20 ans, plutôt moins. Jésus n'a vécu le sien qu'une seule année. Muhammad a vécu le sien vingt ans, Michel Potay en est, quant à lui, à sa trente-cinquième année. Il a lui-même évolué, il s'est transmis à lui-même, comme une Bible à l'intérieur d'elle-même, ses propres souvenirs et ses propres évolutions avec toutes les nuances et différences qu'elles impliquent d'une étape à l'autre. Il faut être idiot, borné ou de mauvaise fois pour ne pas comprendre ça. Si Dieu donne une vie très longue à Michel Potay, je parie qu'il aura encore fait évoluer son témoignage et son enseignement dans les dix ou peut-être vingt ans qui viennent, s'il devient centenaire. Mais le fil rouge, le fil conducteur du témoignage global de Michel Potay est d'une constance et d'une rectitude que je qualifie de remarquable et même de miraculeux.
De ce fait, Michel Potay restera perpétuellement le socle, la base incontournable; de tout ce qui se dira de La Révélation d'Arès et probablement, après lui, de toutes les Révélation qui l'ont précédée. Le socle de la Vérité. Ce qui va être très précieux au cours d'une ère où vont se manifester des forces d'athéisme et de négation spirituelle d'une intensité jamais connue jusqu'à présent. Ceux qui quittent Michel Potay et La Révélation d'Arès ne savent pas ce qu'ils quittent: la Lumière !
À mes yeux et à mon cœur, si la Sainteté et la Puissance sont à Dieu, c'est Michel Potay, l'homme Michel, Mikal, témoin de Dieu, qui est pour nous sa Lumière (Rév d'Arès 12/4). Ceux qui le quittent sont des aveugles. Mais eux le quttent et moi, je vais de plus en plus me rapprocher de lui, car je suis devenu curieux et donc amoureux de son témoignage et de son enseignement qui nous arrachent à ce qu'il appelle à juste titre "l'antique superstition."
Jacques Q.


05sep09 98C32
Wawww, le gel Dop que te passe Jacques Q. (plutôt cucul... un pède, ça se voit) [98C31] va te faire une grosse tête.
Tu vas plus passer par les portes!
J'en ai rien à foute que tu n'affiches pas mon coup de gueule.
T'es qu'un truquiste de plus.
Je le dis.
Tu devrais te faire embaucher chez Nitendo.
T'as trouvé ton petite bizeness.
Rien à foute que Jésus a eu les tigmates aux bras, à la q... ou au cul!
Ceux qui ont compris que t'es un truquiste qui a créé son petit jeu d'écran t'ont parlé des stigmates, mais ils n'en ont rien à foute.
Ils veulent tout juste dire que t'es un faiseur.
Belfess


Réponse :

Je me suis quand même permis d'apporter un minimum d'orthographe et de grammaire. Les fautes nuisaient à la bonne compréhension du commentaire. Sans rancune.


05sep09 98C33
Dans tout ça, la Vérité est qu'il n'y a pas de place chez les Pèlerins d'Arès pour les traditionnalistes et les esprits étroits.
On n'est pas spirituel, on n'est qu'un religieux et même un religieux myope, quand on perd la foi dans La Révélation d'Arès ou dans Mikal pour quelques centimètres entre poignet et avant-bras, ou pour quelques nuances entre Marie intercesseuse auprès de Dieu et Dieu lui-même, ou quelques nuances entre démon qui tente le pécheur et le pécheur lui-même. Voilà, à moins d'être borné, virgule, de la bondieuserie aveugle, point.
Vous dites "superstition antique", frère Michel, vous êtes trop gentil.
À moins, comme dit Jacques Q. [98C31], qu'on soit de mauvaise foi.
Je ne connais pas les personnes que ces questions de détail ont éloignées de vous, sauf une, que je connais de nom. On dit que, pendant un temps, elle a attiré du monde sur son forum. Cette personne (l'attaquante dans Americo 98C26 et Philippe C. 98C13) a fait beaucoup de bruit autour de tout ça pour se faire une grande réputation d'intégrité morale — pensez donc! elle arrachait de la face du frère Michel le masque de l'imposteur — mais elle ne mérite même pas d'être mentionnée. C'est le genre qui n'existe qu'en critiquant et en accusant et qui accuse davantage pour exister davantage, mais qui n'a rien à donner par soi-même.
On m'a dit que vous vous êtiez personnellement attaché, par le passé, à enseigner cette personne pendant un assez longtemps à Bordeaux vers 2002 ou 2003. Je devine que vous vous êtes attardé à lui répondre en 2009, six ans après, parce que tout vrai maître, dans la poitrine de qui bat un cœur, voit l'élève comme le père voit l'enfant.
Je devine que vous ne vous seriez pas attardé à moi dans les mêmes circonstances. Peu de choses nous attachent personnellement, sinon le foi dans La Révélation d'Arès et une vingtaine de lettres.
Je pense que ceux qui s'éloignent de vous sur des motifs aussi futiles retournent, selon le cas, à leur traditionnalisme ou à leur athéisme, deux attitudes de pensée bien vues en société, qui les aide à briller, alors que la foi arésienne qui est absolument "insurgeante", qui balaie toutes les idées reçues, est une peau dans laquelle il n'est pas facile de vivre. J'en sais quelque chose, mais je tiens le coup.
Vous ne dites pas que Dieu n'existe pas, mais que vous ne savez plus "qui il est et ce qu'il est" depuis les Théophanies [1977, Le Livre]. Vous identifiez, depuis lors, Dieu à l'image et ressemblance qu'il a dans l'homme. À partir de là, vous dites, en vous appuyant sur la Parole que vous avez surnaturellement reçue à Arès, que l'homme est par la pénitence, soit donc par son retour à l'image et ressemblance du Créateur, le "producteur de sa propre grâce."
Vous le disiez déjà autrefois, mais pas avec le radicalisme très fort que vous avez acquis aujourd'hui, qui éclate dans vos annotations de l'édition 2009.
J'ai soigneusement noté tout cela et pas besoin d'être grand clerc pour voir que ça révolutionne plus fortement que jamais toutes les idées reçues. Des gens comme votre attaquante sur le forum ne peuvent plus tenir face à leurs invités à moins d'avoir l'extraordinaire force de foi, de conviction et de persuasion, qui est la vôtre. Vous avez, sans le vouloir, par votre seul rayonnement, radié ces gens de l'existence indépendante qu'ils voudraient garder au sein du mouvement arésien où ils cherchaient à se faire une place, une réputation de maîtres à penser, mais ils en sont bien incapables. Alors, la seule solution de survie pour eux, c'est de vous détruire pour tout ramener à leurs minables dimensions et briller à nouveau. Vous en verrez d'autres.
Gaby


05sep09 98C34  
Cher Prophète,
J'ai lu dans "stigmates" [#0098} que certains perdraient la foi pour des broutilles.
Alors, j'ai décidé de vous dire que je n'ai pas perdu la foi.
Je n'étais pas au Pèlerinage cet été, car je vis maintenant aux Philippines avec ma nouvelle épouse.
Je vous embrasse très fort comme on embrasse un père bien-aimé.
Cédric P.


Réponse :

Si l'on m'avait dit que Cédric s'en serait allé vivre un jour de l'autre côté de la Terre avec une épouse philippino !
Je vous souhaite à tous les deux beaucoup de bonheur.
Je suis heureux d'apprendre que vous gardez la foi. Profitez de votre nouvelle vie dans les îles de corail (Rév d'Arès 5/6) pour vous y faire moissonneur d'âmes! La foi arésienne est la foi dans la pénitence comme voie du Salut et la pénitence ne se fait pas sans travail à la moisson des pénitents.

Vous avez beaucoup missionné en France, vous avez une certaine expérience de l'apostolat.
Si vous le souhaitez, je pourrai vous faire adresser quelques exemplaires un peu usagés de La Révélation d'Arès bilingue (beaucoup de Philippins lisent l'anglais) pour votre mission.
Je prie avec vous, je vous embrasse de toute mon affection fraternelle, vieux compagnon !


05sep09 98C35  
Gaby a peut-être raison [98C33]: À 80 ans, vous devriez être allongé dans votre lit de vieillard ou dans votre tombe, mais au lieu de ça vous êtes debout tout droit et vous faites de l'ombre à ceux qui voudraient une place prophétique dans le courant arésien. Vous leur êtes devenu insupportable. On ne vous pardonne rien. Vous êtes suspect de tromperie ou de perfidie au moindre écart de parole: "avant-bras" au lieu de "poignet" et zou! vous êtes un perfide menteur.

J'opte plutôt pour l'autre version: Vous décevez ceux qui voient un prophète comme un saint sur les images de première communion, c.-à-d. un saint qui ferme sa gueule et qui ne peut pas décevoir puisqu'il ne fait rien. Il est sage comme une image. Il a donné son Message une fois et puis on l'a enfermé dans un couvent ou il s'est fait ermite au fond d'un bois et il a laissé les autres (la religion, l'église, les théologiens, les psychopompes, les webmasters de forums) interpréter à leur guise son Message. Vous, au contraire, vous bougez beaucoup, vous vous exprimez beaucoup — il n'y a qu'à lire ce blog: c'est une mine fantastique de parole de Mikal (Rév d'Arès i/12) — et fatalement votre voix parfaitement autorisée couvre les autres voix, beaucoup moins crédibles. Vous êtes devenu insupportable là aussi. On ne vous pardonne rien dans ce cas non plus.
Finalement, les deux hypothèses en viennent au même résultat.
À qui la faute? À toute l'assemblée qui n'a pas voulu vous faire une voix et qui, en vous laissant tout seul, vous a mis dans l'obligation de vous exprimer par tous les moyens possibles à la disposition d'un homme seul: l'écriture, le courrier et maintenant l'internet. Il y a fort à parier que ceux qui vous trouvent suspect de tromperie aujourd'hui et qui s'éloignent étaient hier parmi ceux responsables de votre solitude. À votre place, sans leur souhaiter du mal, je ne les regretterais pas.
Je m'empresse de dire que, pour ma part, je vous aime exactement comme vous êtes. Continuez comme ça.
Marc


05sep09 98C36  
La Révélation d’Arès vient du Créateur sans aucun doute.
Cette Parole se prouve comme véridique par elle-même, par sa Force, sa Puissance, sa Sublimité, sa Vérité, son Intelligence, sa vision transcendante de l’homme et du monde.
Aucun esprit humain, affaibli par le péché, emprisonné dans sa culture d’origine (somme des préjugés du moment), et encore moins un ecclésiastique (même un rebelle) vénérant la trinité aurait pu inventer et donner au monde ce que La Révélation d’Arès lui donne.
Il y a dans ce livre de quoi méditer et accomplir pour au moins mille ans, tellement il est dense de Vérité transcendante.
Ceux qui pensent que vous avez tout inventé ne regarde pas beaucoup ce que contient ce livre.
Il est vrai que votre personnalité a parfois de quoi étonner et que vous êtes quelque peu iconoclaste, voire même "rentre dedans" par moments !
Vous bousculez (genre Abraham qui balance les idoles par terre). Ce que vous dites bouscule plus encore et comme vous n’avez pas forcément le cadre propice pour développer votre pensée comme il faudrait, cela vous oblige à des raccourcis qui peuvent sembler contradictoire et qui suffisent à faire entrer en doute certains.
C’est dommage. J’espère qu’ils se donneront le temps de regarder les choses avec plus de recul.
Ce que vous avez accompli est un travail de géant (Rév d'Arès 31/6) qui prouve aussi votre authenticité: Votre propre conversion et votre évolution, l’édition de la Parole, "Le Pèlerin d’Arès", le Pèlerinage, le lancement de la mission en France et dans le monde Anglo-saxon, les dizaines de milliers de lettres, etc.
Votre Œuvre est déjà immense. Elle contient la Force de guider l’humanité entière dans la bonne direction, vers la transfiguration de l’homme et du monde.
Mais l’avenir dépend aussi de l’Assemblée et de ceux qui poursuivrons votre Œuvre. Soyons à la hauteur du défi qui est devant nous. Acquérons individuellement et collectivement la force et la grandeur qui sont nécessaires pour accomplir cette Parole !
Daniel C.


06sep09 98C37
Si vous dites un jour: "Les stigmates sont dans les poignets," et un autre jour: "Les stigmates sont au milieu de l'avant-bras", on voit bien là la preuve qu'il y a dans vos déclarations quelque chose de suspect et qu'on ne peut pas se fier à vous.
Maria


Réponse :

La preuve qu'on ne peut pas se fier à moi?
Pas du tout.
Si je disais un jour par négligence: "Les stigmates étaient dans les poignets," ce qui était faux stricto sensu, et qu'un autre jour, 35 ans plus tard, je redisais la même chose: "Les stigmates étaient dans les poignets," mais cette fois-là conscient de ma négligence précédente, je persisterais sciemment dans l'erreur et c'est dans cette persistance qu'il y aurait la preuve qu'on ne peut pas se fier à moi. Mais personne, sauf moi, ne connaîtrait jamais l'existence de cette erreur, laquelle en se confirmant deviendrait un de ces "témoignage irréfutables", un de ces mensonges sacralisés et dogmatisés sur lesquels la religion et autre "Légende Dorée" se sont fondées.
Par contre, en disant un jour, par approximation, que "les stigmates étaient dans les poignets," mais en ayant à cœur de rectifier cette approximation 35 ans plus tard en utilisant (faute de place pour être plus précis) une autre approximation moins inexacte, mais approximation quand même, je donne au contraire la preuve qu'on peut se fier à moi, parce que je suis capable d'avouer une erreur et capable de la rectifier.
C'est du moins ce qu'il me semble. Si tant est que la position exacte des stigmates ait de l'importance. Pour moi, je le répète, seule l'existence de stigmates était significative: Jésus avait bien été crucifié et s'il venait à moi, certes transfiguré mais en chair et en os, c'est qu'il avait bien ressuscité, preuve qu'un homme peut ressusciter.


06sep09 98C38  
Si nous accomplissons la Parole, les stigmates disparaîtront:
Que disparaisse le péché pour qu'il ne reste plus trace de Mes Plaies (Rév d'Arès 8/7) !
djd


06sep09 98C39
Les annotations de l’édition 2009 de La Révélation d’Arès nous éclairent, nous poussent incontestablement à aller plus loin, plus haut vers les Hauteurs Saintes (Rév d'Arès 36/19), elles rafraîchissent notre faible lumignon (Rév d'Arès 32/5), nous appellent à être de grands pénitents (Rév d'Arès 30/11).
Il est bien évident que cela ne plaît pas à tout le monde. La conscience est puissamment  réveillée, car tout est lié à la conscience. Je pense que pour tout être humble, lucide, honnête, il est fort difficile de faire marche arrière, lorsqu'il ou elle est  conscient(e). Alors, pour fuir certains se cherchent des excuses, sont de mauvaise foi, s'inventent des choses, des histoires.
Il y a aussi ceux qui ne comprennent pas tout de suite. Alors, pour mon cas, je suis l'enfant qui fait confiance à son père (Rév d'Arès xxxiii/14) et s'il est un homme sur cette terre en qui j'ai une confiance absolue, c'est le Frère Michel. Je témoigne qu'il est le prophète que Dieu a envoyer à l'humanité des XXème et XXIème siècle. Ceux qui se refusent de le reconnaître sont de mauvaise foi.
Nous sommes là pour trouver les pénitents, les héros (xxxv/10). J'aime beaucoup l'image du berger et de la brebis égarée que vous avez citez dans l'une de vos réponse: Si un homme a cent brebis, et que l'une d'elles s'égare, ne laisse-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres sur les montagnes pour aller chercher celle qui s'est égarée? Et, s'il la trouve, je vous le dis en vérité, elle lui cause plus de joie que les quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées (Matthieu 18/12 à 13)."
Tous ceux aux pas desquels le prophète c'est attaché, il est temps que vous preniez conscience de l'immense chance que vous avez d'avoir reçu tand d'attention, d'amour évangélique de la part du Frère Michel, qui a le souci, que nous accomplissions la Parole, que nous cessions de pécher, fassions notre salut, rétablissions Éden. Il nous appelle sans cesse à être de grands pénitents.
Je souhaite vraiment de tout mon cœur, de toute ma force, de toute mon âme, que tous ceux et celles qui ont déclenché tout ce bruit autour des stigmates, se reprennent, ravalent leur orgueil ("Pèlerin d'Arès 93/96" Pénitence, page74 et +) entre en humilité.
Frère Michel, votre image des mouettes et toute cette histoire des stigmates me font penser aux oiseaux qui virent et piaillent inutilement (Rév d'Arès 13/1). J’ai beaucoup de peine pour ceux qui font ou ont fait tout ce bruit. Au lieu de s’enfermer derrière du virtuel,  de se cacher derrière des pseudonymes pour certains qui n'assument pas leurs actes, il feraient bien de descendre dans la rue à la Moisson, de rejoindre humblement les groupes missionnaires, de prier plus et toutes ces choses inutiles ne se présenteraient pas.
Nous avons assez perdu de temps, nous devons nous unir autour de Mikal qui a 80 ans. Nous avons une chance incroyable et la possibilité d’aller plus loin dans notre pénitence du vivant de Mikal.
Dans sa réponse au commentaire du 05sep09 n°98C30  le Frère Michel écrit: "Notre mission manque totalement — et cela depuis trop longtemps — d'une centrale de travail et de formation missionnaires capable de se faire mieux comprendre et mieux connaître de la population." J’avoue que cela me manque aussi beaucoup, j’ai l’impression de ne servir à rien, de ne pas être utilisé, c'est une grande souffrance, etc.
Notre mission nous appelle à mettre en place des  actions "insurgeantes". Frères et sœurs à l’écoute de Mikal, donnons-nous les moyens de mettre en place une centrale de travail de son vivant et si Mikal dit qu’il "existe en notre sein des frères et sœurs capables d'assumer ces réflexion et organisation dans un bénévolat total, sans s'imposer comme autorités", nous avons le devoir de nous faire confiance et d’appeler Mikal pour nous y aider.
La confiance est le ciment de base entre nous, nous sommes une famille de consciences spirituelle.
Didier Br.


06sep09 98C40
La lecture de votre entrée #0098 et de certains commentaires confirme en moi ce constat: L’homme semble oublier sa nature "collective" et ce à quoi tous les humains sont destinés: Vivre ensemble.
L’homme semble oublier qu’il n’appartient qu’à une seule humanité ; une humanité sans condition de forme ; une humanité avec pour tout fondement l’amour, le pardon, le non jugement, la connaissance et reconnaissance de l’autre, le Bien en somme.
L’homme a-t-il perdu à ce point la volonté de se construire et d’agir pour cette même humanité ?
Comment peut-il plonger dans la polémique, le déni, le rejet, l’incompréhension volontaire, le cynisme, la facilité, le préjugé, sans s’apercevoir que cela ne mène qu’au malheur ? Que cela est contre-nature ? Que cela est suicidaire ? Comment ne peut-il pas voir qu’il s’anéantit lui-même lorsqu’il renforce les frontières, les murs, les fossés, les barricades par des "points sans importances" ? Comment croire encore que l’on peut exister par la négation de l’autre ?
Que de tristesse ! Plus grande encore est ma tristesse, parce que je sais que moi j’agis ainsi !
Mais quelle joie de savoir qu’en redoublant d’effort — non sans difficulté — je peux en sortir !
Et quelle joie de savoir qu’en invitant — non sans difficulté — à l’effort d’autres femmes et d'autres hommes, nous pouvons en sortir et entrer dans la Vie !
Merci pour l’intelligence que vous portez jusqu’à nous. Merci pour votre amour !
Merci d'avoir pris le temps de me lire.
Avec mon profond respect,
Christophe E.


06sep09 98C41
Ouhlàlà! Quelle importance capitale, la place des stigmates !
Si Yëchou avait été décapité, on vous aurait demandé l'angle d'inclinaison de la coupure. Ce qui démontre la futilité du doute. Quand mon père m'en a parlé, j'ai ouvert de grands yeux et j'ai souri: Certes, j'ai été élevée avec La Révélation d'Arès, mais je ne m'attarderai pas sur un détail pareil !
Quant à vous prendre pour un sataniste... Je suis aussi sataniste que vous, dans ce cas !
Même les adultes sont capables de bévues aussi énormes... Et ils déclarent que la voie qu'ils nous montrent est la bonne...
Sacha P.

P-S : J'ai été très honorée d'avoir pu vous parler cet été, et merci de l'Enseignement que vous nous avez transmis par l'intermédiaire d'A. et R. !


06sep09 98C42
Je viens de lire votre réponse à Maria (98C37) alors que je me préparais à vous envoyer ce commentaire.
Je vois que vous pensez, vous aussi, que varier dans des témoignages sans importance: la place des stigmates, surtout quand la variation vient par souci de rectification, n'a rien à voir avec la tromperie.
Je voulais vous dire que, pour moi, le fait que vous ayez varié — si l'on peut dire: car il n'y a pas loin entre le milieu de l'avant bras et le poignet —  à propos de la place des stigmates est au contraire une preuve de votre authenticité et de votre simplicité. Un mystificateur professionnel veillerait à dire toujours la même chose, à la virgule près. Pas vous !
Sauf le respect que je vous dois, je vous connais assez et depuis assez longtemps pour deviner sans risques de me tromper que vous vous foutez complètement de la place des stigmates sur le bras de Jésus, mais que vous ne pouvez pas le dire comme ça de peur que vos interlocuteurs, qui doutent déjà de votre sincérité, ne soient outragés de vous voir aussi irrespectueux envers le Christ ! Ce serait pour eux une preuve de plus de votre mystification, car c'est de mystification qu'on vous accuse, de fait.
C'est comme la longueur de la barbe ou des cheveux ou la couleur des yeux, qu'est-ce que ça pouvait bien vous faire ?!! Mais vous ne pouvez pas dire: "Qu'est-ce que vous voulez que ça me fasse!"
Tout le monde sait que vous n'êtes pas du tout irrespectueux à l'égard de Jésus.
Tout le monde comprend que ce qui vous tombait dans les oreilles et sur les épaules entre le 15 janvier et le 13 avril 1974 était tellement énorme et bouleversait votre vie tellement que vous aviez d'autres soucis que de noter l'endroit exact des cicatrices sur les bras de l'Envoyé de Dieu. Vous avez toujours dit que l'épreuve du surnaturel vous avait été très pénible, notamment que vous sentiez Jésus lire dans vos pensées et que vous vous sentiez "sale en dedans" et que avez alors "su ce que signifiait être un pécheur." On imagine facilement que vous aviez dans la tête et dans le cœur d'autres anxiétés que celle d'observer la place exacte des stigmates. Vous l'avez notée grosso modo, ça suffit.
Je suis sûr que vos détracteurs et juges à propos des stigmates savent très bien tout ça, mais soit sont des faiseurs d'histoire qui ont trouvé quelque chose pour se rendre intéressants, soit ont trouvé un prétexte pour quitter votre vaisseau amiral (Rév d'Arès V.17 & 18), où ils avaient déjà le mal de mer, dans un moment où vous reprenez fermement la barre en mains: La nouvelle édition 2009, qui relance l'énergie prophétique — et comment! —, les derniers agrandissements et améliorations apportés aux lieux du Pèlerinage qui font honneur à toute la communauté arésienne, votre entrée de blog 0097, Pèlerins d'Arès et pèlerins d'arès, qui mets les points sur les i, etc. Tout le monde sent que quelque chose bouge, que vous voulez hisser toutes les voiles. La manœuvre ne plaît pas à tout le monde ; ça fait peur ou ça gêne.
Jean-Pierre L.


07sep09 98C43
Je me dis comme vous l’écriviez en 1984 dans "Le Pèlerin d'Arès" trimestriel: "Dieu n’est pas venu à Arès pour ceux qui le refuseront toujours. Il est venu pour ceux qui Le reconnaîtront encore, même si ce n’est pas du premier coup d’œil."
J’ai suivi vos échanges avec [...] (que je n’ai jamais rencontrée) sur internet et j’ai pu voir combien vous êtes dépassionné. Combien rien de ce qui caractérise vos contempteurs ne vous habite ! Leur besoin de convaincre et/ou d’avoir raison pour humilier.
C’est pourquoi je ne fais pas "snif snif" comme dirait Américo (98c25).
Les irréfléchis jouissent d’un anonymat lâche qui les portent à dire absolument n’importe quoi sur internet.
On vous oppose parfois des arguments que je trouve ahurissants. Pourquoi, vous reproche-t-on avec malice et parfois méchanceté, de ne pas avoir pris une photo de Jésus? En sous-entendant que l’apparition de Jésus serait mensongère. Comme si dans l’état d’intense émotion de l'épreuve de 1974  face à l'Envoyé céleste il vous viendrait à l’esprit de dire (et en plus il vous aurait fallu faire preuve d’un sang froid hors du commun quand on sait que de son simple regard il vous en imposait) : "Tenez, M. Christ, ne bougez pas ! J’aimerais prendre une photo de vous. Vous comprendrez qu’il me faudra une preuve…" Franchement, ce n’est pas sérieux et on nage en plein délire. Jésus il y a 2000 ans, était mis à l’épreuve de la même façon par les Pharisiens, mais eux le faisaient à visage découvert.
Il n’y a aucun mépris chez moi mais ces attaques-là, dépourvues de véritables motifs, sont vraiment petites et dérisoires et y répondre systématiquement sans maîtrise du risque de polémique, sans protéger son cœur, peut s’avérer une grosse perte de temps — L’œil finira par voir trop bas.
Vous avez subi des attaques autrement plus sérieuses, je pense notamment à l’attitude de l’administration fiscale il y a deux ans je crois. Je conclurai en vous disant que vous me paraissez finalement relativement protégé du fait de votre prudence et de votre intégrité. Protection du Ciel, à n’en point douter (les références sont nombreuses dans le Livre) !
Jésus a quand même fini percé (Rév d'Arès xiv/5) et Mouhamad fut contraint par ses adversaires de lancer le fer (xiv/6) en dépit du message de miséricorde dont il était porteur.
Salah B.


07sep09 98C44
Bonjour, Prophète Mikal,
J'aimerais juste rappeler que les détracteurs et les dénégateurs qui préfèrent tenir compte de la forme et non du fond sont les mêmes qui depuis longtemps sévissent au sein de la communauté musulmane : Ceux là préfèrent s'attacher à la longueur de la barbe du prophète et à la couleur de sa djéllaba. Ils vous citent deux trois sourates et 10.000 hadiths en étant affalés sur des coussins en taffetas alors qu'ils oppriment leurs femmes et conseillent à leur fils de pratiquer la violence et la division dans la fratrie. Idem pour certains Juifs qui pensent que la réalisation du Sionisme est une volonté de Dieu parce que la Shoah est un signe et qui vivent dans une perpétuelle violence en pratiquant le mauvais pour le mauvais.
Dans quelque temps il y aura la commémoration du 11 Septembre. Les médias rappelerons cette date tragique comme un sordide anniversaire alors que tous les jours les populations irakienne et afghane vivent dans l'enfer.
Bref, ce sont ces stigmates du mal absolu, qui violent au quotidien l'innocence de millions de gens à coup de mensonge, d'hypocrisie et de spoliation, que La Révélation d'Arès nous demande de nettoyer.
C'est pourquoi, je demande à ces frères et sœurs qui préfèrent s'attarder sur des apparences: Que souhaitent-ils transmettre à leurs enfants et leurs petits enfants ? L'exemple des jeux de séductions des princes des cultes et des politiciens, un monde de plus en plus contrôlé, des résolutions de paix constamment remise en question et sans comper la famine et le chômage. Cette paresse spirituelle qui consiste à bondir sur les détails montre à quel point il est difficile de quitter son petit confort.
La Révélation d'Arès est un Enseignement (Rév d'Arès 16/11-14, etc.) qui pousse à agir pour que le monde change (28/7), pas pour rester couché sur son canapé.
Tout ce que je sais c'est que j'ai besoin du message Divin de La Révélation d'Arès pour me sortir de la solitude du néant et pour aider le monde à se rappeler qu'il vaut plus que les apparences que le système propose.
J'invite mes frères et sœurs à sonder leurs cœurs pour mieux saisir l'exhortation que le Père renouvelle depuis maintenant plus de 2000 ans.
Le Prophète Mikal est certainement le seul homme qui n'a jamais manqué à son devoir, il ne s'est pas dérobé (Rév d'Arès 2/16) avec lâcheté à l'appel du Père. La constance de son enseignement en témoigne maintenant et pour l'avenir.
Fidèle à vous,
Hakima O


07sep09 98C45
Votre courage et inépuisable amour envers nos frères humains est remarquable.
Combien de fois avez- vous été envoyé sur les roses ou traité de menteur?! Quelle honte !
Vous lire ou lire la Parole du Livre nous enlève immédiatement de la tête une telle éventualité. C’est authentique !
Pour être honnête, garder mon sang froid face à tant de médiocrité et de méchanceté gratuite me mettrait hors de moi. D’ailleurs, nous devrions prendre exemple sur votre paix et votre pénitence à toute épreuve pour faire des efforts, chaque jour, auprès de ceux qui nous exaspèrent.
Aussi, n’est- il pas plus facile d’ignorer son "ennemi" que de réussir à aimer ses proches sans jamais hausser la voix ? Parfois, il est très dur de pallier à ses pulsions négatives (agacement, énervement, fatigue…).
Cependant, l’homme est tellement loin du plan de Dieu que nous ne savons plus où nous en sommes !
Je vois, on a beau être jeune, avoir toutes les cartes en main pour réussir et faire pénitence, on est englouti par le monde et ses travers et en deux temps trois mouvements et d'un coup de cuillère à pot, nous voilà loin de l’Amour, de la Prière, de la Patience et de la Bonté !
"Seigneur, parle-nous encore et sans cesse !"
Nous sommes bien malades et désespérés (mais surtout désespérants).
Ne nous lâche pas Seigneur, on arrive ! C’est laborieux mais on s’accroche ! Notre prophète nous explique inlassablement que l’on dévie mais à force de vouloir passer par l’Éverest, un jour très prochain, on trouvera Arès ! Mais si, Arès ! Arès, la petite ville perdue dans la Gironde, en France, ce pays si loin de Dieu qu’il en fait fuir ses patriotes vers l’étranger…
Personne ne doit se sentir visé, je suis la première à dire que la France est invivable, mais bon… on retourne toujours là où on est attiré et pour moi en tout cas, peu importe là où la vie (le travail) m’emmènera, je sais que mon cœur et celui de beaucoup de nos frères humains, pèlerins et Pèlerins, sera tourné et inexorablement attiré par cette petite chapelle blanche d’Arès.
[...]
Tout cela pour dire : Prions et remettons si nous avons quelque chose contre quelqu’un. Embrassons tous nos frères humains, même ceux qui ont le pus à la lèvre ! Le jour où nous ferons cela, nous serons des petits Dieux, Créateurs de Bien !
Mes bien chers frères, mes bien chères sœurs, prions pour nous fortifier et devenir aussi pénitents que Notre Messager ! Courage et Bonne Année spirituelle à tous avec cette belle Edition 2009.
Myriam C


07sep09 98C46  
Je fais passer ce commentaire par l'intermédiaire de mon fils [...] qui a un ordinateur sur lequel je lis votre blog..
Quelqu'un qui s'offre à en faire la distribution m'a fait passer sur papier l'impression du dialogue que vous avez eu sur le forum [...] avec l'un de vos accusateurs à propos des stigmates et d'autres choses.
Sur ce forum l'accusateur était une accusatrice, une certaine [...] qui me fait l'effet d'être complètement paranonoïaque, en tout cas d'une méfiance colérique contre vous et même quelqu'un qui vous déteste et qui a voulu, comme dit un commentateur, "se payer le prophète". Elle a même envoyé un Email-masse pour annoncer qu'elle ne croyait pas que La Révélation d'Arès venait de Dieu à cause de vous, donc elle voulait "se payer le prophète" en public.
Elle vous accusait aussi de mentir parce que vous disiez que vous n'aviez pas reçu deux Emails qu'elle vous aurait envoyés en privé. Selon elle, vous les aviez reçu, mais vous ne saviez pas comment répondre à ses questions, notamment sur les stigmates. Vous étiez démasqué et vous vous cachiez! C'est en gros ce qu'elle voulait dire.
Bref, elle vous haïssait, c'est clair, et que peut-on faire contre quelqu'un qui vous hait? Cette femme est une folle ou une [...]. La connaissiez-vous bien? Saviez-vous à qui vous aviez affaire? Vous ne devriez pas vous aventurer à répondre à des gens dangereux comme cette femme qui cherchait évidemment à se faire une gloire devant ses fidèles (Rév d'Arès 34/2).
J.A.


Réponse :

Je ne juge pas la personne dont vous parlez. Je ne crois pas qu'elle me haïssait. Pourquoi m'aurait-elle haï? Nous n'avions plus de contacts depuis longtemps, mais, à ma connaissance du moins, nous n'étions pas en mauvais termes. Je proteste de sa santé intellectuelle. J'interprète votre qualificatif "folle" comme désignant un moment d'emportement et un manque de réflexion. Pour le reste, que j'ai masqué entre crochets [...], vous vous hasardez à des dépréciations où je ne peux pas vous suivre. Cette accusatrice se trompe à mon égard, mais elle se trompe peut-être avec sincérité malgré le petit ton théâtral qui, je pense, lui est venu par la pratique du forum sur l'Internet où les échanges écrits finissent par paraître tellement plats que le besoin de les épicer survient.
Pour répondre à votre curiosité, parce que vous êtes une déjà très ancienne compagne de foi, je dirai que je connus cette personne voilà environ six ans, peut-être un peu plus. J'avais personnellement procédé à son accueil à Bordeaux. Comme elle ne connaissait pas grand chose à La Révélation d'Arès, je l'enseignai assez longtemps.
Quoi qu'il en soit, quand se termina cet enseignement, elle n'avait pas créé de forum sur l'internet, elle n'avait peut-être même pas d'ordinateur. Depuis, nous nous sommes perdu de vue, graduellement au début, totalement ensuite.
Un jour je reçus sur mon ordinateur une invitation à participer à un forum qu'elle avait créé, apparemment depuis peu de temps, et qui comportait dans son en-tête: Bible, Coran et Révélation d'Arès, ces trois livres cités en gros corps gras sous un titre général de forum dont j'ai oublié le nom.
Je fus surpris qu'elle eût choisi un titre d'une telle ambition, parce que je ne lui connaissais pas de compétences particulières pour diriger des échanges sur la Bible, le Coran et La Révélation d'Arès. Grande ambition ! Mais après tout pourquoi pas? Par affection fraternelle pour cette personne, je m'enregistrai, mais je réalisai très vite que les participants comme leurs propos n'étaient pas à la hauteur d'un programme d'une pareille dimension, exigeant de considérables connaissances exégétiques — pour ne parler que de celles-là — sur trois terrains scripturaires extrêmement vastes, dont deux, la Bible et le Coran, à la source de trois religions d'étendue mondiale: le judaïsme, le christianisme et l'islam. Aussi, je participai très peu à son forum, mais, ne sachant pas vraiment quel plan éditorial s'était fixé la créatrice du site, je me dispensai de toute critique et même de tout conseil de prudence, qu'elle ne me paraissait déjà plus en mesure d'écouter — c'était sa liberté, après tout — et je cessai tout simplement de participer. Il faut aussi beaucoup de temps, que je n'ai pas, pour participer utilement à un forum; surtout un forum d'une pareille ambition.
Depuis des années, donc, je n'avais plus de nouvelles personnelles de cette personne et je n'avais eu avec elle que de rares contacts sur l'internet. Je sus qu'elle s'était installée dans une ville proche de Nice, mais on ne la vit jamais au local ou à la mission de cette ville. Pendant toutes ces années on ne la vit pas davantage au Pèlerinage d'Arès. Bref, elle était clairement sortie de l'assemblée, elle n'était plus ni pèlerin d'Arès ni moins encore Pèlerin d'Arès (petit reste, #0097).
Je n'ai ré-entendu parler d'elle que cet été, après le 15 août, dans les circonstances que vous connaissez sans doute aussi bien que moi. Sa rupture avec moi, il y a deux semaines environ, n'en a pas été une, en fait. Il y avait longtemps, comme je viens de le dire, qu'elle m'avait semblé fort loin déjà. Je pense qu'il ne lui a pas déplu de dramatiser un peu les choses. Parfois certains ou certaines ont besoin de cela pour rappeler qu'ils existent, qu'ils ont des idées, des opinions. C'est humain.

Mais, concernant les stigmates, ramenons cette personne à sa juste proportion:

Je l'ai déjà précisé ici, c'est elle qui a fait le plus de bruit, mais ce n'est pas elle, loin de là, qui me cause le plus de soucis dans le cadre des prétextes soudainement invoqués par quelques uns pour quitter l'assemblée, prétextes tous fondés sur une critique de l'édition 2009 de La Révélation d'Arès.


07sep09 98C47
Cher Frere Michel;
Your latest blog is astonishing!
The point is that Aramaic did not have words other than "arm" and "hand;" thus the nails in the "Hands."
It is the word "hand" that is plainly wrong, because the nails would have pulled out.
The Romans had found that it WAS possible to drive a nail through the wrist; what damage resulted was immaterial.
You were perfectly correct in the original; the "critics" are merely straining to find quibbles.
The peace of the Lord!
Brian

traduction:
Cher frère Michel,
Votre dernier blog est étonnant!
Le point essentiel ici tient à ceci que l'araméen [la langue que parlait Jésus il y a 2.000 ans] n'a pas d'autres mots que "bras" et "main", de là [l'expression] "les clous dans les mains."

C'est le mot "main" qui ne convient tout bonnement pas, parce que les clous se seraient déboités (de la main).
Les Romains avaient découvert qu'il était possible d'enfoncer un clou à travers le poignet sans grand dommage pour celui-ci.
Vous étiez donc parfaitement correct dans votre description originale; les critiques (de cette description) n'ont fait que chicaner.
La paix du Seigneur!

Brian (Bronxville, New York)


Réponse :

Thank you Brian for this piece of information on the distinctive characterictic of Aramaic which has no word for "wrist". It has only words for "arm" and "hand", which I did not know.
Nevertheless, although I never had a fixation on the stigmata for Jesus' 39 or 40 appearances and the radiance of his skin was not very bright, barely adequate for me to write down his word, I recall his stigmata being roughly between the sleeves of his tunic or shirt and his hands, say, in an area the center of which lay somewhat above the wrists. But I might have not seen them well.

The point is not the place of Jesus' wounds. The point is that he did have wounds, that is, he had really died through crucifixion, so that he had really risen from the dead.


traduction:
Merci, Brian, pour cette précision sur une particularité de l'araméen qui n'a pas de mot pour "poignet". Il n'a que les mots "bras" et "main", ce que j'ignorais.
Toutefois, bien que je n'aie jamais fait de fixation sur les stigmates pendant les 39 ou 40 apparitions de Jésus et que la luminosité de sa peau n'était pas très forte, à peine suffisante pour que je puisse transcrire sa parole, je me souviens de stigmates grosso modo entre ses manches et ses mains, disons, dans une zone dont le centre se situait plutôt au-dessus des poignets. Mais je peux ne pas avoir bien vu.
Le point essentiel n'est pas l'emplacement des plaies de Jésus. L'important est qu'il avait vraiment ces plaies, c.-à-d. qu'il était bien mort par crucifixion, de sorte qu'il avait vraiment ressuscité.


07sep09 98C48
J'ai peur que vous soyez aussi imprudent en défendant l'accusatrice [...] dans votre réponse à J.A. [98C46] que vous l'avez été en parlant de stigmates dans les poignets. J'ai peur qu'elle soit une personne très funeste, ne serait-ce que par instabilité, et que vous soyez un jour obligé de rectifier vos gentils propos à son égard.
Vous avez oublié ce qu'elle vous a dit et dans quels termes! Vous êtes vraiment un homme bon. On n'est plus habitué à ce genre de bonté de nos jours, ce qui paraît tellement incroyable que certains pensent que vous êtes le tartufe parfait, l'hypocrite au sommet de son hypocrisie
Je ne sais pas ce que vous ont dit les autres soupçonneux, mais je suppose que c'est proche de ce que vous a dit [...].
C'est dur; Comme vous dites parfois: le fils de l'homme n'a pas où reposer la tête.
Zoé


07sep09 98C49  
Je lis régulièrement votre blog, frère Michel.
Si je ne dis rien, c’est que je n’ai pas grand chose à dire (La Palice!)
Si ce n’est que cela m’étonnerait que les femmes et les hommes qui ont fait de La Révélation d’Arès leur vie, soient ébranlés dans leur foi par de tels points de détail: stigmates, Marie.
Je le comprends par contre chez celles et ceux qui discutent plus, sur forums ou d’autres façons, de La Révélation d’Arès qu'ils ne la vivent, comme nous pourrions parler d’une belle œuvre parmi d’autres belles œuvres mais sans qu’elle soit “la référence”.
J’ai de plus en plus de doutes à l’égard de ces échanges par claviers interposés qui ne favorisent pas forcément la pénitence, pour ceux qui se sont engagés dans cette voie. 
En pensant à cette sœur et à d’autres aussi qui communiquent plus par forum que les yeux dans les yeux, je me dis qu’Internet peut devenir une drogue qui nous affaiblit, s’il ne reste pas simplement un outil de travail.
Vivre La Révélation d’Arès (j’ai quand même pas mal de ratés) a tellement changé de façon heureuse ma vie, que m’en éloigner équivaudrait à un suicide.
Ce que vous dites de Marie dans l’édition 2009 est, pour moi, du même ordre que ce vous dites [mots illisibles] dans les précédentes éditions. À propos de Mets ta main sous Ma Main (Rév d'Arès iii/1), vous écriviez: "Que le prophète s’abrite en Dieu:". Dans l’édition 2009 vous écrivez: "Sois l’image de ton Créateur."
Moi, qui viens d’un milieu religieux où s’abriter en Dieu me convenait bien, en lisant “Sois l’image de ton Créateur”, c’est un peu comme si je m’étais trouvée poussée hors du nid et que j’allais devoir assumer ma responsabilité d’image du Créateur, et franchement j’ai trouvé cela super. Quant à ce que vous dites de Marie, c’est  le ciel qui s’ouvre un peu plus.
Merci.
Madeleine


08sep09 98C50
Vous êtes comme un explorateur racontant honnêtement ses voyages et ses exploits à des enfants émerveillés de l’énormité "exotique" qui écarquille leurs yeux et leur cœur.
Cette simplicité si authentique du voyageur courageux qui a réussi à franchir l’océan, qui a accompli l’impossible, fait rêver les enfants que nous sommes. Mais combien d’enfants sont assez fous pour rester des enfants et accomplir leurs rêves en suivant le voyageur et en devenant adulte ? Car seuls des adultes peuvent réaliser les rêves des enfants… En fait, très peu d’enfants sont assez fous pour dépasser le rideau de l’exotisme et les déconvenues qu’il cache : les humbles mais héroïques banalités de la pénitence quotidienne, l’absence quasi totale de gloriole et de reconnaissance, l’effort continu, la remise en question permanente, l’absence de résultat tangible, du moins jusqu’à ce frais matin d’espérance ou ce soir flamboyant d’amour où l’on sent que quelque chose à changé en nous et qu’un peu de bien a pris sa place dans notre cœur et notre vie.
Et puis ça recommence jusqu’à une prochaine étape.
Oui vraiment suivre cet homme pour une escalade sans rétribution est folie (Rév d’Arès 26/2) aux yeux du monde qui nous entoure, mais encore plus aux yeux du monde qui nous habite. Alors on cherche la faille du voyageur, la faiblesse du héros, le détail qui nous permettra de retrouver nos esprits, d’y voir clair enfin et de nous reprendre. Et on perd alors cette magnifique folie qui commençait à nous rendre vivant. Quel dommage au plein sens du terme, quel dommage spirituel !
Car c’est bien spirituellement fou de Dieu qu’il faut être, fou de vertu, fou d’amour, fou de joie devant les perspectives sublimes qu’ouvrent la Parole donnée à Arès et l’enseignement du prophète qui la porte, parce que cette folie est sagesse.
On voit bien devant le banquet d’intelligence de La Révélation d’Arès et de l’enseignement de son prophète qu’il n’ y a pas de détail à faire ; Ce serait comme remarquer la dragée qui manque sur la pièce montée d’un mariage de cent convives !
Il n’y a pas à tergiverser : Soit Michel Potay est un menteur ou un illuminé et La Révélation d’Arès est une texte poétique philosophique et mystique superbe, mais qui n’apporte rien de plus que "Le Prophète" de Kalil Gibran dont l’œuvre n’a pas amorcé de changement dans le monde, soit Michel Potay dit la vérité et tout, absolument tout change de sens !
Une nouvelle ère commence, l’humanité repart en exode si elle veut, et si elle veut, le bonheur perpétuel est au bout.
Or, la distinction entre vérité et mensonge ne se fait pas sur des détails, sauf dans les romans d’Agatha Christie ou de Conan Doyle qui, soit dit en passant, sont bien la manifestation, brillante sans doute mais désolante, de la victoire de la petitesse humaine qui fait de l’analyse des mobiles et des circonstance des crimes une réussite intellectuelle.
Devant l’énormité du message délivré à Arès, c’est de cœur à cœur que se cherche la vérité, entre le cœur du prophète et le cœur du néophyte ou du disciple. Et qui ne voit, qui ne sent que Michel Potay est sincère, honnête, vrai, authentique, désintéressé ?
Que celui (ou celle) qui ne sent pas (ou qui ne sent plus ?) cela aille chercher ailleurs sa voie de progrès, mais de grâce que cela se fasse avec honneur, avec grandeur !
Personnellement, Frère Michel, je suis très heureux de constater l’évolution de votre présentation des faits et de votre enseignement. Jj’y trouve une preuve vivante de l’évolution de l’intelligence et de la dynamique ascensionnelle que nous devons tous mettre en œuvre.
Je serais même plutôt enclin à me dire "À quand le prochain apport du Frère Michel ? Ses apports sont tous plus riches les uns que les autres."
D. Faber


08sep19 98C51
Ta parole est ma Parole (xL/5).
Ma confiance en votre penséee prophétique est totale, frère Michel.
Je crois que je peux me permettre de dire qu'elle est égale à celle que le Père a mise en vous. Vous, qui  avez toujours su vous effacer derrière Lui et mis votre vie à Son Service.
SANS CONFIANCE, il n'y a pas d'AMOUR. Que les soupçonneux méditent leur nature soupçonneuse !
En son temps, notre frère Jésus, aussi, a dû faire face aux soupçonneux qui essayaient à la moindre occasion de le coincer.
Votre réflexion sur les aspects maternel et paternel de notre Créateur, reçoit dans mon coeur un échos extraordinaire. Je n'avais jamais osé l'exprimer tout en le ressentant au plus profond de mon être.
Je me demande si, ici-bas, nous saisirons, un jour, l'infinitude de la plénitude de Son Amour.
Liliane Y.


08sep09 98C52  
Vous maltraitez vos lecteurs et auditeurs ou bien vous les enrichissez, mais dans les deux cas le résultat est le même : Certains en ont une indigestion et se sauvent.
Une sœur m'a dit qu'une année au Pèlerinage — c'était avant 2005, quand vous vous adressiez aux pèlerins présents dans la salle des théophanies chaque premier et chaque dernier jour de chaque quinzaine — elle vous avait écouté parler sur le même thème, mettons "L'Amour" (je ne me souviens plus du thème) du 21 juin au 15 août. Elle m'a dit: "À chaque fois Frère Michel parlait de façon différente, construisait son discours autrement, employait d'autres mots, d'autres images, et pourtant il disait toujours la même chose." Et elle a ajouté: "Mais ça pouvait être rébarbatif pour des pèlerins inattentifs qui l'entendaient deux ou trois fois et qui avaient l'impression que sa pensée variait. Pour d'autres comme moi c''était au contraire très enrichissant."
C'est comme ça que vous nous permettez d'échapper aux griffes du dogme !
Vous êtes comme ça, tellement sincère et vrai que vous parlez ou écrivez toujours de façon spontanée et que vous donnez plus que de la richesse, une extraordinaire fécondité à ceux qui vous lisent et vous écoutent. Les esprits étroits qui voudraient que vous décriviez toujours de la même façon les cellules sous votre microscope comme un scientifique ne comprennent rien à la fantastique générosité de votre verbe. Comme vous le dites vous-même souvent: "La langue humaine est insffisante pour dire la vérité. La Vérité est au-delà des mots!"
Même chose pour la Vérité à propos des plaies [stigmates] ou de Marie ou des démons.
Je me souviens d'un passage dans "Le Pèlerin d'Arès" (1991 ou 1996?) où vous disiez, parlant de votre amour pour sœur Christine, que chaque matin votre amour pour votre épouse rejaillissait et que vous lui disiez, en l'embrassant, "Je vous aime" mais jamais de la même façon, jamais sur le même ton.Une femme bête aurait pu penser que vous n'étiez pas sincère, que vos déclarations d'amour variaient parce qu'elles étaient artificielles, mais sœur Christiane savait que c'était (et que c'est sûrement encore) simplement parce que vous êtes en état permanent d'hypersincérité. Ce que vous ressentez pour elle est "au-delà des mots," comme vous dites.
Je suis sûr que le Père vous a choisi comme témoin parce que vous êtes comme ça.
Alors, ne vous arrêtez pas aux esprit et cœurs étroits qui n'arrivent pas à vous suivre. Là encore, vous montrez votre grande générosité: Vous restez à parlementer avec des gens incapables de vous comprendre, mais vous essayez quand même. C'est caractéristique d'un homme très bon qui n'hésite pas à passer pour un médiocre en s'attardant à des médiocres.
Il y a longtemps que la religion a compris qu'elle régnait mieux sur des médiocres que sur des gens intelligents et qu'elle s'évertue à garder le monde médiocre en lui disant toujours la même chose, les mêmes sottises: les dogmes.
V.B.


Réponse :

Je suis très touché par ce commentaire et je vous en remercie avec grande émotion.
C'est vrai que je ne dis jamais de la même façon à mon épouse que je l'aime. Je m'émerveille chaque matin de l'avoir à mes côtés, je la "transfigure" comme je dis parfois, et je rends grâce au Père de m'avoir donné une épouse qui m'est un tel réconfort (Rév d'Arès 38/6-9).
De même si j'avais à la décrire, je ne la décrirais jamais de la même façon, mais ce serait quand même toujours elle, toujours la même.
J'ai ri en vous lisant, parce que je ne prépare jamais, ou presque jamais, mes allocutions, et qu'exprimant la Vérité de façon primesautière — je dis souvent: les discours ou les sermons trop bien préparés manquent toujours de vérité — , ma façon de parler varie beaucoup, en effet. Mes descriptions et mes souvenirs peuvent de même varier dans les formes sans jamais varier sur le Fond. Néanmoins, je fais plus attention à ce que j'écris, ne serait-ce que parce qu'écrire est plus lent que parler et qu'on se relit et que, de ce fait, la réflexion s'arrête un instant sur les mots et les phrases. Mais pour autant je ne m'attarde pas à ce qui n'est pas essentiel. Alors, quand des annotations expriment aussi fortement l'essentiel que celles de l'édition 2009 de La Révélation d'Arès, que j'ai voulu très courtes dans un livre très court, ceux qui les lisent peuvent avoir l'impression que ma pensée a varié, que j'en prends à mon aise avec la Vérité.
Il y a aussi de leur part un manque de confiance en moi. La variation de mon expression est une invitation permanente à assouplir l'esprit, mais certains ne me suivent pas dans cette voie. Ils placent la rigueur dans la répétition sans voir que c'est la répétition qui a sans cesse arrêté la Vérité et que la vraie rigueur est dans le Fond, pas dans la forme. Le changement est mouvement continu; il n'est pas saut instantané et rigide d'un état dans un autre. Je suis très peiné de les voir demeurer en arrière, mais, pour ma part, je ne peux qu'avancer. Peut-être me rattraperont-ils !


08sep09 98C53
De l’entrée #0097 aux riches développements à l'entrée #0098 je passe d’une supernova à un trou de marmottes, tchattant devant leurs tunnels sur de probables risques de s’être fait avoir quant à l’invraisemblable histoire descendue de l’univers à un homme, lequel prendrait des poignets pour des bras. Marmottes, qui à peine sorties de leurs trous regimbent, confondant cloches et trous de fromage parce que c’est jaune, en découvrant la couverture de la magnifique édition 2009.
Au pays de la Gruyère, le fromage AOC est, à l’inverse de l’Emmental, celui de la vallée de l’Emmen, exempté de trou. À force de n’avoir que des ersatz caoutchouteux l'on finit par ignorer le goût d'un vrai Gruyère, d'un vrai Emmental, à fortiori celui de la Parole nourricière du Créateur. Les marmottes ayant la particularité d’être incapables de lever la tête vers le ciel, et du coup de disparaitre dans leurs tunnels, affolées dès qu’elles entendent le cri des milans dans le ciel, l’appel du ciel dont le prophète se fait l’écho, ne les effraie-t-il  pas en les exhortant à l’ascension?
Pour ma part, je vous remercie pour le travail sublime et minutieux que vous réalisez depuis des années. Merci pour l’embellissement du Saint Lieu, destiné aux pèlerins, pour la qualité de l’enseignement fourni avec patience et mesure: Tu tiens la perche, tu la tailles longue ou courte (Rév d'Arès xx/6).
Oui, je me réjouis de chaque nouvelle publication qui me permet de découvrir au fil du temps l’amour et la sagesse immense qui se déroule devant moi, si j’avance. Rien de contradictoire dans une pensée divine réticulaire et non linéaire, une toile écrite en plusieurs dimensions que vos enseignements aident à comprendre peu à peu.
Ce n’est pas faute d’avoir lu et relu la Parole et tout ce que vous avez écrit, mais conscient de l’épaisseur de mon péché, je continue de travailler à mon rythme, avec constance et sérénité.
C’est la paix et la douceur qui seront votre salut, la quiétude et la confiance qui seront votre force (Bible, Isaïe 30/15).
Et même si la vraie nature de Marie, du tentateur et bien d’autres versets de la Bible, du Coran et de La Révélation d’Arès restent encore assez flous pour moi (l’ange porteur de lumignon, la nature Mère/Père et les autres phases du Créateur de toute chose, etc.), j’ai déjà assez pour accomplir le peu que j’ai compris.
Pour me guérir d'une tendance à la boulimie intellectuelle, le Coran invite ma tête à faire silence devant la Parole, celle-là justement que mon faible lumignon ne peut comprendre:
Dans le Livre on y trouve des versets clairs — la Mère du Livre — et d’autres figuratifs. Ceux dont les cœurs penchent vers l’erreur s’attachent à ce qui est dit en figures, car ils recherchent la discorde et ils sont avides d’interprétations ; mais nul autre que Dieu ne connait l’interprétation du Livre (Coran III/7).
« Quoiqu’on fasse, quoiqu’on dise ces hommes (les pharisiens) ont réponse à tout, ils font des procès à tous nos gestes et même à la Parole, si notre vie n’est pas comme la leur (Évangile Israélien 32/16)
Ma foi dépendrait-elle de l’attitude du prophète ou d’une réponse à ma curiosité sur un détail, sans que je ne fournisse l’effort de me changer, de briser en moi mes doutes, mon manque d’humilité, tout ce qui nourrit mes démons, ceux qui veulent toujours avoir raison, où serait alors mon travail de pénitent, ma fierté et ma joie?
Le Père lègue sa Parole d’amour à sa créature souffrante pour l’aider à se relever, se guérir. Mais l’esprit défaille et l’oublie, chaque fois qu’il laisse entrer les démons pour jouer au jeu des « questions pour un lumignon » :

— Quelle pouvait bien être la composition florale du buisson ardent que vit Moise (Exode 3/3) ?
— Quelle était la marque du pot d’échappement du chariot de feu qu'Élisée vit passer ?
— La race et le nombre des chevaux qui emportèrent devant lui le prophète Élie dans l’univers (Roi II/11) ?
— Était-ce le même cheval que pour le voyage nocturne de Mouhamad ?
— Quant à la distance qui sépare l’avant-bras du poignet, comment y enfoncer un clou sans exploser la double rangée d’os qui constituent l’articulation ?

À cette dernière question, par contre, j’ai une réponse: On peut enfoncer un clou dans la partie distale de l’avant-bras à 1 cm des têtes cubitales et radiales, soit dans la syndesmose (le lien de ces deux os composés de tissu conjonctif à fibres collagènes). L’emplacement se trouve distant de l’os lunatum (semi-lunaire), donc de la partie proximale de l’articulation du poignet de 3 cm !  Bel et bien dans l’avant-bras mais à fleur du poignet.
L’araméen (cf. précisions de Brian, 07sep09 98C47) disposait d’une terminologie moins précise que les actuels traités d’anatomie.
Les problèmes de traduction, d’adaptation du langage reflétant la diversité et complexité de compréhension d’un évènement en fonction de paradigmes culturels divers, un scribe grec fixant par écrit le récit d’une histoire contée en araméen ne pouvait imaginer l’interprétation que nos cultures analytiques en ferait.
La citation suivante fournit un autre exemple pour illustrer la difficulté de choisir entre le détail ou le fond d’un message à traduire :
Il est plus facile à un chameau de passer par le chas d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le Séjour de Dieu (Marc 10/25).
La lettre gomal qui donne le gamma en grec et la lettre g latin, signifie en araméen autant chameau, courbe, corde ou cordage. Possible que Jésus s’adressant à des pêcheurs occupés à remmailler leurs filets ait utilisé le terme gomal en évoquant la difficulté à faire passer un cordage dans le chas d’une aiguille et non pas un chameau.
Selon les traductions du Coran (7/40) l’on trouve également deux interprétations du même mot: Ceux qui ont traité nos Signes de mensonges, ceux qui s’en sont détournés par orgueil n’entreront pas au paradis aussi longtemps qu’un épais cordage/un chameau ne pénètrera par le trou d’une aiguille.
Et si, tel un chameau parvenant à traverser le chas d’une aiguille, la Parole d’amour, que le Père nous adresse, se laisse compresser comme un clou du Fond de l’univers infini en un petit bâton lumineux pour irriguer notre désert humain, nous encourager à refaire le jardin qui ne fane pas, de même ma foi en Dieu et en son prophète Mikal, je la dégage des pierres stériles de mes doutes, des épines de mon orgueil, je contourne le sable des discours futiles, j’évacue de mon cœur tout péché qui empêche l’Eau de couler et de fertiliser le jardin de mon âme.
Vos cœurs se sont endurcis, semblables à un rocher ou plus durs encore. Il en est, parmi les rochers, d’où jaillissent les ruisseaux, il en est qui se fendent, et l’eau en sort, il en est qui s’écoulent par crainte de Dieu. Dieu n’est pas inattentif à ce que vous faites (Coran II/74).
Celui qui décide de faire confiance à Dieu et à son Prophète fait un effort comme la grosse tête du tournesol fait l’effort de regarder le soleil malgré la pesanteur naturelle.
Si leur tête reste insoumise, tous ceux auxquels tu porteras Mon Message sauront en dedans d’eux, dans leur poitrine où Je souffle, que Mon Messager est véridique, car si la tête est faible, remplie d’orgueil, le cœur est empli de son Dieu (Rév d’Arès 4/11).
Tournesol


08sep09 98C54
Les réactions de certains lecteurs de l’édition 2009 de La Révélation d’Arès ne sont guères surprenantes.
Elles démontrent une fois de plus combien la Vie spirituelle est étrangère aux représentations ou loin des représentations qu’en ont fait les religions.
Ces lecteurs n’ont probablement pas dû comprendre grand-chose quand vous parliez d’existentialisme ou de déculturation.
Il y aurait de quoi désespérer de l’homme, de quoi se dire: "Non, jamais rien ne changera," et de retourner cultiver son jardin. Il y aurait aussi de quoi hurler vers le Ciel, mais ce serait manquer d’humilité, car d’autres pourraient hurler vers le Ciel de mes propres insuffisances.
Et Dieu dans tout ça ? Ne devrait-IL/Elle pas se lamenter de ce que ses enfants, oh combien bénis entre toutes les autres créatures, lui tournent le dos ? Car il s’agit bien de cela: Derrières ces pinaillages et ces suspicions sur les éclaircissements du prophète, c’est la Parole de Dieu qu’on rejette et ce sont les vieilles voix dans la pente (Rév d’Arès xLv/2) qui se font entendre, lesquelles n’ont pas changé le monde !
Mais désespérer comme douter est pécher. Ce sont même les facettes les plus sournoises de l’orgueil, c’est comme dire au Créateur, à l’Omniscient: "Tu nous as mal fait !" Est-ce seulement possible? Douter ou désespérer, c’est en secret (consciemment ou inconsciemment) défier Dieu, vouloir Lui forcer la Main, le soumettre à un chantage affectif d’enfants gâtés. Erreur ! Le Père/ Mère ne se soumet pas au chantage. Il a à cœur que Sa Créature grandisse et soit digne des dons qui lui ont été fait.
L’ha n’est pas dans le bruit (Rév d’Arès xxxix/7). La vraie Vie ne naît pas d’un bouquet de connaissances savamment apprises et rabâchées superstitieusement ; n’est-ce pas déjà ce que font les masses de catholiques, de musulmans, de bouddhistes, ou même d’athées rationalistes, etc? Si c’était seulement ça, Dieu ne se serait même pas donné la peine de se manifester à Arès. Si le Père se manifeste à nouveau, c’est bien parce que les religions n’ont pas su transmettre la Vie spirituelle. Au lieu de cela, elles ont conforté les faiblesses, faisant de leurs fidèles des troupeaux bêlant: "Miséricorde ! Miséricorde !"
Le fou qui s’assoit sur ses cheveux, il couronne son pied, le roi blanc oint le quêteur qui entend le rien (Rév d’Arès xxxiii/16). Ces frères devraient plutôt se réjouir de ce que Mikal déblaye pour eux les obstacles, les haies d’épines et les coulées de pierrailles stériles (Rév d’Arès 14/1).
Patience ! Nous sommes en pleine crise d’adolescence spirituelle et comme des adolescents, certains se  rebellent à la moindre occasion. Le tentateur (la tentation en l’homme) digère l’orgueil, l’impudicité, la cupidité, les abominations, il les défèque dans les profondeurs glacées (Rév d’Arès 26/12). Le cap est plus dur à passer pour eux, question de rééquilibrage, mais le risque demeure qu’ils s’endurcissent dans l’orgueil avec toutes les conséquences que cela entraîne.
Ah ! Liberté que tu es difficile à assumer !
Francis N.


08sep09 98C55
Je me souviens, il y a longtemps, d'une réunion entre frères et sœurs où vous riiez et plaisantiez et quelqu'un à côté de moi s'en est trouvé scandalisé, il disait: "Un prophète, ça? Je ne peux pas croire que cet homme-là a reçu un Message de Dieu."
Ce sont les mêmes gens coincés qui doutent de vous parce que vous avez fait passer les stigmates de Jésus du poignet à l'avant-bras, ou parce que vous dites de façon plus nette aujourd'hui qu'autrefois que Marie n'est jamais que la pitié de Dieu.

J'ai lu dans une de vos réponses que vous avez peu fréquenté le forum de la femme qui a fait tant de bruit autour de circonstances qui n'ont été des raisons d'incroyance que dans sa tête "le mensonge Jabboune/Potay" ou "les stigmates". C'est dommage. Vous auriez vu que ce n'était pas une marrante. J'ai fréquenté ce forum pas très longtemps mais assez pour tout y trouver coincé, pompeux et critique, souvent méchant. Je ne suis pas étonné qu'elle n'ait rien compris à un homme ouvert et décontracté comme vous. Elle ne pouvait que vous trouver louche.
Valérie


08sep09 98C56  
Je trouve cette entrée 0098 une aubaine, parce qu'un blog est normalement une sorte de journal personnel, mais je trouve que vous n'y avez pas beaucoup, pas assez parlé de vous, frère Michel.
C'est à cause de votre modestie ou plutôt du peu d'importance que vous vous donnez à vous-même. Altérocentrisme assez rare à notre époque. Il ne vous vient à l'idée de parler de vous que dans quelques anecdotes.
Mais le plus gros nous manque: Vous-même!
On connaît peu de choses de Jésus, pour ainsi dire rien, et si on connaît un peu plus de Muhammad, ce n'est pas beaucoup non plus. Comme eux vous vous effacez derrière le Message que vous devez transmettre, on comprend, mais quand même ce que vous êtes nous intéresse.
Cette entrée de blog, par chance et par hasard, fait ressortir l'inévitable, qui s'est vu déjà chez Jésus et chez Muhammad déjà, je veux dire l'ambiguïté.
Le prophète est inévitablement un homme à deux aspect: l'homme quotidien et l'homme de la transcendance. On veut voir ce qui les relie, mais c'est très difficile à voir. Cette entrée 0098 permet de le voir un peu, parce que, par chance, vous n'êtes pas quelqu'un à éviter les questions embarrassantes sur votre personne, cela paraît acquis.
Vous ne fascinez pas ceux qui vous quittent, parce qu'ils vous trouvent douteux, mais tout en vous fascine les autres.
Vous troublez tout l'ordre établi. Je dis bien TOUT l'ordre établi, parce que si quelques cercles publics vous estimaient, on parlerait quand même un peu de vous, mais là, rien! Le monde vous rejette dans son intégralité et dans votre intégralité.
Vous troublez l'ordre établi non par tempérament — vous n'êtes vraiment pas un révolutionnaire né, vous êtes même un homme charmant —, mais par la force de la mission que vous avez acceptée du Ciel.
Après une jeunesse où, passées les très pénibles années d'occupation nazie et l'orphelinage, vous avez été marin, ingénieur — athée alors — puis un temps bref intéressé par l'ésotérisme vite abandonné parce que vous l'avez trouvé vide, ensuite vous êtes entré dans l'église et, pour finir, vous rompez avec tout ça à la suite d'une expérience surnaturelle qui vous jette dans la misère spécifique du prophétisme. Misère fatale des réfutateurs qui se mettent rarement toute la société sur le dos, mais vous si: Vous vous êtes mis toute la société sur le dos. Vous n'avez pas recherché cette misérable situation, mais vous ne pouviez y échapper. Pourtant, je ne suis pas sûr que ceux qui vous rejettent et passent à l'ennemi trouvent beaucoup d'alliés contre vous dans ce monde qui vous rejette. Parce que, malgré tout, ce monde vous respecte.

Vous êtes l'homme de Dieu. C'est irréfutable.
Vous êtes un homme très gentil, mais qui s'avère vite sans concessions, vite d'une vertigineuse hauteur d'âme et, pour ceux qui vous ont observé de plus près encore, en certaines circonstances difficiles, très courageux.
Un héros (Rév d'Arès xxxv/4-12).
Mais cette vie que je décris ne dit pas l'essentiel. Ce qui apparaît ici: Vous êtes un homme très ambigu. Au meilleur sens du mot, au sens d'homme riche en esprit qui peut beaucoup donner de sa personne dans des directions opposées. Vous n'êtes vraiment pas quelqu'un d'ordinaire et comment s'étonner que certains ne vous aiment pas ou ne vous comprennent pas ou les deux?
Je suis vraiment très heureux de cette entrée de blog 0098 qui me permet de rappeler tout ça.
J'espère que votre modestie ne vous dira pas de rejeter ce commentaire.
Vincent


09sep09 98C57

Ce texte n'a pas été envoyé comme commentaire, mais comme Email personnel à Michel Potay. Cependant, il traite du sujet évoqué par l'entrée 0098 d'une façon intéressante et il a été estimé utile de plublier ce passage ici.


[...]
J'ai suivi vos déboires sur le net par le biais de votre blog et je compatis.
Pour ma part je trouve que cette nouvelle edition de La Révélation d'Arès est vraiment bien.
J'en ai toujours un exemplaire sur moi. Ce qui s'en dégage est un profond sentiment d'universalité.
Jamais je n'avais senti à ce point le souffle de la veillée 25 parcourir vos écrits.
Vous avez donné cette Parole au monde et chacun peut se l'approprier, en faire quelque chose.
C'est ce qui rend encore plus important et nécessaire la constitution du petit reste pour garantir une unité et une fidélité au sens originel dont vous êtes le dépositaire et la référence pour toujours.
Question d'équilibre et de dynamique des forces.
Inévitablement, beaucoup mêlent leurs vues personnelles à la Parole — Moi-même, je ne crois pas déroger à cette "règle", hélas, la deculturation est lente —. Conséquence de cette situation : des tiraillements de toutes parts et des questionnements, des incompréhensions, des revirements, mais qui manifestent que cette Parole a vraiment commencé à faire son chemin dans le monde et qu'elle met à l'épreuve les consciences et les cœurs.
L'étroitesse d'esprit de ceux qui vous "cherchent publiquement des poux dans la tête" est attristante parce que l'on se dit: "Trente-cinq ans après on en est encore là ?" Ce qui rejaillit inévitablement sur le mouvement des Pèlerins d'Arès, même si je crois que [nom d'accusatrice].et consorts se discréditent eux-même et finissent par apparaitre comme des traitres à leur foi, des rénégats qui ne peuvent même pas nourrir l'eau de nos contradicteurs tellement leurs arguments sont sans consistance.
En ce sens, elle aurait mieux fait de garder secret ses troubles.
Ce qui pose surtout problème, c'est que le petit reste est en retard sur cette expansion de la Parole dans le monde et que vous êtes seul à devoir faire face aux crispations et problèmes que cela engendre face à [nom d'accusatrice] aujourd'hui, comme face au fisc l'an passé.
Puisse au moins cela réveiller chez les frères, la conscience et la nécessité de s'unir pour agir, de s'élever aussi.
Car les vrais problèmes qui attendent l'humanité, et par répercusion les Pèlerins d'Arès, sont d'un tout autre calibre !
S


09sep09 98C58  
Je trouve opportun le commentaire de Vincent |98C56] à propos de votre personne, frère Michel, et de son inévitable ambiguïté, qui est l'ambiguïté de tous les prophètes: Où est le pécheur, et où est le Parole chez un prophète, n'importe lequel?
C'est une question qui s'est posée à tous les contemporains des prophètes, et encore! Vous concernant on ne se pose pas la question que se posait, en addition, les contemporains de Mahomet: Où est l'homme politique? Question que se posaient probablement aussi les contemporains de Jésus, parce que Pilate a apparemment accepté de le faire crucifier par peur de son influence politique ("roi des Juifs"), mais pas de son influence spirituelle.
De Jean-Baptiste les gens disaient qu'il était possédé parce qu'il ne mangeait pas de pain et qu'il ne buvait pas de vin et de Jésus ils disaient qu'il était un glouton et un ivrogne parce qu'il mangeait et buvait [Luc 7/33-34]. Autrement dit, toutes les apparence sont toujours contre ceux qu'on rejette. De vous on dit d'autres choses et dès que les apparences sont contre vous dans quelques circonstances on privilégie les apparences et on ne croit pas un mot de ce que vous dites pour les dissiper, parce qu'on ne risque rien de vous accuser et on est même approuvé par le monde. Mais depuis 35 ans, vous savez cela mieux que personne. C'est le sort de tous les prophètes depuis que le monde est monde.
Croire dans le prophète est une question de foi, comme croire en Dieu, et comme vous dites: "Des questions de foi on ne peut pas discuter."
J'irais plus loin que Vincent |98C56]. Vous, Frère Michel, vous mettez certains devant une contradiction beaucoup plus que devant une ambiguïté. Il faut accepter la contradiction, mais si on la rejette, on vous rejette, en supposant qu'il y ait une contradiction entre "poignet" et "avant-bras", ou entre Marie et compassion du Père, ou entre le tentateur et l'homme qui se tente lui-même. Je pense qu'il n'y a là une contradiction par antiphrase (un mot que vous aimez bien) mais pas de de façon absolue, sauf pour certains comme je viens de dire. On ne peut rien contre ça.
Je m'explique mal, je crois, mais tout le monde comprendra ce que je veux dire.
Yann L.


09sep09 98C59
Le mot contradiction [référence supposée à 98C58] est le fait de se contredire ou de contredire quelque chose.
Marie, la Mère de Jésus, et également l'image de la compassion de Dieu ne sont pas des contradictions, mais des idées complémentaires.
L'emplacement des stigmates, différents d'un livre à l'autre, et le fait que vous répondiez très longtemps [?] après que la question vous fut posée, est contradictoire. L'explication est publique car tout a été mis sur place publique et cela vous pousse aujourd'hui à expliquer vous justifier, ce que vous auriez dû faire des années auparavant ! [?]
Je trouve assez scandaleux qu'une personne [?], qui désiret tout quitter quelles que soient ses raisons, que l'on juge valables ou pas, soit "cassée" ainsi publiquement [?]
Demain, si vous veniez à agresser une personne, supposons vos torts entièrement à votre charge, tout vos Pèlerins d'Arès viendraient comme ici vous lécher les bottes et condamner et salir la personne [?]
Une autre contradiction concernant cette entrée :
05sep09 réponse 98C25 :
"Si je l'ai écrit (cette entrée), c'est parce que d'autres, parmi lesquels des vieux compagnons, dont la méfiance à mon égard subitement révélée m'est beaucoup plus pénible que l'hostilité que j'ai essuyée sur votre forum, m'ont annoncé leurs doutes et, pour certains, leur éloignement. C'est un phénomène d'hostilité ou de détraction d'ensemble qu'a répondu mon entrée #0098."
Sur [nom d'un forum sur l'Internet]

[http://...]
22 Aoû 2009, 06:14
"La question des stigmates m'intéresse beaucoup et vous m'avez donné l'idée d'en faire peut-être la prochaine entrée de mon blog sous un titre comme "Le prophète menteur" ou quelque chose d'équivalent, non pour les stigmates par eux-mêmes dont le seul intérêt est qu'il y eût des stigmates et qu'ils ne fussent pas dans les mains contrairement à ce que disent les Évangiles de Luc et Jean, mais pour l'importance que les uns donnent aux choses qui n'est pas celle que d'autres leur donnent. J'ai donc commencé sur un carnet à rédiger une entrée de blog et je m'apprêtais à vous dire: Je vous répondrai sur mon blog, mais voyant votre impatience, que je m'explique mal, j'ai rédigé la réponse que vous avez trouvée plus haut."
Ma femme que j'ai missionnée et dont j'espérais rallier, suite à votre entrée, ne veut plus entendre parler de La Révélation d'Arès. Dommage. Je reste un fervent croyant en La Révélation d'Arès, malgré cette attitude anti-fraternelle qui a été mise à jour ici.
Peut-être et je le comprends, ne publierez-vous pas ce mail.
Charlellly


Réponse :

Ce message a un ton qui n'est plus celui de l'opinion ou du commentaire, ni celui de la blague comme Belfess (98C32), mais le ton de l'emportement et de l'apostrophe, ce qui ne vaudrait que si l'apostropheur enlevait le masque de l'anonymat pour permettre à l'apostrophé de répondre. Je ne sais pas qui vous êtes.
De plus, vous parlez à mots couverts. J'ai mis entre crochets des points d'interrogation là où je ne suis pas sûr de quoi et de qui vous voulez parler. En tous cas, je n'ai pas souvenir d'avoir "condamné et sali" ni "cassé" qui que ce soit.
Enfin, vos citations sont séparées de leurs contextes général et par là, peut-être sans le vouloir, vous en déformez le sens.
Si j'ai masqué les noms et l'URL du forum que vous citez, ce n'est pas pour vous censurer. C'est pour vous éviter, dans votre emportement, de révéler à tout le monde l'identité d'un des soupçonneux ou accusateurs, que peut-être par ailleurs vous vous efforcez de ne pas nommer. Comme vous l'avez remarqué, j'ai masqué les noms dans tous les commentaires, parce que cette entrée de blog ne règle pas des comptes avec des personnes ; elle parle d'une situation.
Ceci étant, il n'y a pas de raison pour que je ne publie pas cette apostrophe.


09sep09 98C60
En lisant les annotations de la nouvelle édition 2009 j’y ai trouvé beaucoup de force, une grande force prophétique et une formidable déculturation ! Et je suis certainement loin d’avoir tout compris.
En lisant ce que vous dites sur Marie, pour prendre cet exemple, nous voyons à quel point la culture religieuse s’est imposée et a imprégné le monde, la déculturation est longue et difficile et sans la confiance totale en vous nous n’y arriverons pas. Vous nous emmenez loin et c’est un bonheur. Quelle fraîcheur !
De plus, ces nouvelles annotations renforcent la conscience de la gravité de l’état de l’humanité.
Le mot désastre apparaît souvent et cela m’a frappé. Il est urgent d’avancer, de se changer, de spiritualiser le monde, d’aller à l’essentiel et là aussi nous ne pourrons pas le faire sans vous et sans vous faire totalement confiance. D’autant plus qu’il me semble que vous avez travaillé deux ans et peut-être plus à cette nouvelle édition. Vous avez tout pesé, réfléchi, ce que nous, les marmots (Rév d'Arès 30/13-15), nous ne faisons pas,
Votre parole fait jaillir le sang dans les têtes vides et les fertilise (Rév d'Arès 23/5).
Quelque part, cette nouvelle entrée me peine et je comprends votre peine pour ceux qui discutent et doutent.
J’espère que beaucoup réfléchiront.
En lisant vos réponses aux commentaires de cette entrée je comprend aussi que nous avons tous une part de responsabilité du fait de ne pas vous avoir mis au milieu de nous afin que votre enseignement soit mieux compris. Vos réponses nous rappellent que le danger de perdre la foi, de refroidir notre cœur, est là, d’autant plus si on reste isolé.
Ne lâchons pas les pans du manteau du prophète (Rév d'Arès 37/6) ! Le salut de l’humanité en dépend.
M.-O.


09sep09 98C61
J'ai marché longtemps et j'ai trouvé très intéressant de cheminer à vos côtés sans que vous le sachiez.
Il y a une raison à celà, nous suivons le même chemin, mais pas pour les mêmes raisons.
Je ne puis être pèlerin, puisqu'il m'est donné d'être l'un de ceux qui les protègent. Comme un templier qui suit le chemin, mais il ne le suit pas pour faire le pèlerinage, c'est afin qu'il se réalise dans les meilleures conditions pour le pèlerin !
Et ce, quel que soit le prix qu'il aura à payer et les sacrifices qu'il aura à assumer. Votre chemin est tout autre que celui de votre humble servant.
Toutefois, aujourd'hui, les stigmates sont un point intéressant à étudier pour tous, ils sont d'importance sans toutefois en avoir aucune, cepentant. Tous dépend du point de vue auquel on se place. Regarde-t-on en ce monde où regarde-t-on depuis l'Ailleurs ?
Et puis, de quels stigmates parlons nous ici? De ceux du Christ ou de ceux de Jésus ? De l'Être ou de l'Avoir ? Ma réponse est une question et pourtant elle contient sa réponse en elle-même.
Tant de prises de positions, parfois exacerbées, de la part de vos fidèles, comme de celle de vos détracteurs ! Pour si peu de résultats ! Et tant d'énergie dépensée pour que chacun essaie d'affirmer qui de l'Essence ou de la chair et du sang a raison ! Quelle perte de temps !
Oui, Celui qui est "mort" sur la croix est mort pour que son sacrifice ne soit pas vain ! Et ce, sur des plans infinis, inaccessibles (fort heureusement) au commun des mortels.
Oui, ses avants-bras, liés par une corde sur une poutre, ont été percés par deux clous ! Oui, ses deux pieds, réunis l'un sur l'autre ont été percé par un troisième clou afin d'être cloué sur le support de la poterne où fut fixée la poutre ! Voilà la vérité sur ce qui fut fait à la chair, dans la sang !
Mais pour ce qui est de l'Esprit et plus encore de l'Âme, qui se préoccupe de ce qui s'est passé ?
Car là est le véritable enjeu de la crucifiction, sans laquelle Judas n'aurais jamais accepté de trahir son Maître et son ami.
Qu'est ce que la croix, sinon un centre défini dans l'Omnicience Infinie de l'Éternité ?
Vous venez de poser la poterne, Frère Michel, mais reste à poser la poutre. Et celà, c'est à vos pèlerins qu'il revient de faire le chemin pour vous l'apporter. Mais le chemin n'est qu'embûches et il y a longtemps déjà que les pèlerins sont suivis, accompagné, protégés, par l'Ombre d'un Frère qui n'a pas d'autre fonction que de vous permettre à tous de cheminer en sécurité. Pendant que vous profitiez des bienfaits propres à votre mission, le Frère du Temple accommpagnait vos pas dans la souffrance et l'abnégation absolue. Je sais, vous l'ignoriez, mais pourtant celà est une constante de l'Univers !
Pensiez-vous réellement que tous ces bienfaits n'avaient aucun prix et étaient uniquement des dons du Père de l'Univers ? Celà va bien au delà de tout ce que pourriez imaginer, j'ai accepté deux fois la mort, par don pour d'autres. Je connais donc l'Infini.
Alors, apprenez aujourd'hui, 09 09 2009, qu'un Frère, avant même votre arrivée ici-bas et votre consécration, a accepté de tout sacrifier pour que le Père accepte que vous soyez là où vous êtes !
Il y a toujours un pendant à la réussite et c'est l'échec !
Il y a toujours un pendant au jour et c'est la nuit !
Il y a toujours un pendant aux limites et c'est l'Infini !
Alors, oui, il y a forcément un jour où il faut prendre conscience que celà participe de la chair et du sang, de l'Esprit et de l'Âme.
Que vos chemin vous mênent vers vos pèlerinages intérieurs, Pèlerins ! Car même si le Frère disparaît, un autre Frère prend sa place, c'est inéluctable, même si leurs fonctions à la base sont différentes.
Que l'Univers vous accompagne, comme il le fait depuis toutes Éternité, tous Espaces, en toutes ses Manifestations.
Bon voyage, Frère Michel, et à bientôt puisque le temps n'est rien !
Fontaine


09sep09 98C62
Je trouve ridicule de donner de l'importance à ces stigmates, ces gens qui essaient de vous humilier sont bien tristes. Ils n'ont rien compris au message d'Arès. Oui une nouvelle génération nait et vous demande des explications sur des détails sans importances.
Pour ma part ce qui importe c'est d'accomplir (35/6) ce que le Christ et le Père nous enseignent dans la Révélation.
Qu'importe ces stigmates, ces yeux, la longueur d'un barbe, quand  le Père nous demande de faire le bien et de moissonner !
Je fais le bien dans plusieurs associations. Je leur ai parler d'Arès mais leurs croyances ou leur incroyance sont plus fortes pour eux. Aux [...] j'ai beaucoup appris, mon engagement ma permis d'accueillir, durant les vacances, ma belle-sœur qui est très handicapés.
Au [...] règne un climat fraternel, de solidarité, de convivalité et le travail fait auprès des handicapés est formidable. Ils sont très charismatiques. Je leur ai dit mon engagement comme Pèlerin d'Arès. Cela n'a rien changé à nos relations. Eux non plus ne donnent pas d'importance aux stigmates du Christ, malgrè qu'ils soient très religieux.
À [...]. règne aussi un climat d'amitié, de convivialité, de solidarité, bref d'amour. Nous nous soutenons pour vivre mieux nos ennuis de santé. Eux sont incroyants. Ils accomplissent la Parole de Père sans le savoir. C'est pour cela que j'y suis engagé. Le Message s'adresse aussi aux incroyants, nous a dit le Père. Ils sauront aussi que je suis Pélerins d'Arès, la semaine prochaine. Je ne pourrai leur dire plus. Si certains me demandent: "C'est quoi ta Révélation d'Arès ?", je leur expliquerai le Message du Père.
J'organise la fête des voisins dans ma rue, depuis un an.
Mes voisins sauront que je suis Pèlerin d'Arès. Je leur parlerai du Message du Père et le peu d''importance de ces stigmates. Je leur dirai que des gens essayent de gâcher votre image et votre message en parlant de choses qui n'en valent pas la peine.
J'ai comme voisins un directeur d'une école d'horticulture et le directeur du pôle universitaire de Quimper. Je leur dirai sûrement un jour que je suis Pèlerin d'Arès.
Je leur ai parler de mon engagement dans l'information, sur {nom de maladie handicapante]. [...] En faisant ces informations dans les écoles je sais que je fait une bonne action. Je ne pourrai pas leur parler de La Révélation d'Arès: là n'est pas le but. Mais je leur parlerai de solidarité, de conviavilité dans la maladie. Si certains veulent aller plus loin je leurs expliquerai la Révélation.
Alain


10sep09 98C63  
Un grand merci, Frère Michel, pour vos entrées, vos annotations dans l'édition 2009 de La Révélation d'Arès, vos réponses aux commentaires dans votre blog, qui nous décoiffent bien plus que la tramontane quand elle souffle sur le Roussillon. — décidement, rien n'arrête le Vent — et qui nous permettent de nous situer, chacun face à sa conscience, de nous ancrer plus profondemment dans la Volonté du Père, à travers Sa Parole et Son Prophète.
Petit p(élerin) ou grand P(élerin) [voir entrée #0097], Marie ou la Fécondité du Créateur, plaisir intellectuel de décortiquer le détail ou joie de la déculturation par attirance naturelle pour le Fond... le Rassemblement s'organise comme la morula [?]
Qu'elle est douce, même dans l'effort, cette obéissance à Dieu et à Son Prophète !
Claudine F.


10sep09 98C64  
Toute la page des commentaires m'a intéressé. Je l'ai lue attentivement hier et, une fois de plus, j'ai beaucoup appris, mais les deux commentaires qui m'ont paru poser la question la plus intéressante: la question de votre personne, frère Michel, ce sont les 98C56 et 98C58 de Vinvent et Yann. La question de l'ambiguïté, dit Vincent, ou de la contradiction, dit Yann, qui est, et j'approuve, l'inévitable question qu'on se pose à propos de tout prophète. ll n'y a pas eu tant de prophètes dans le monde depuis les quatre millénaires d'Histoire connue, ce qui n'est rien dans la très longue Histoire inconnue du monde.
Après tout, on ne vous connaît que peu, frère Michel. Comme vous le dites souvent: À qui la faute, sinon à l'assemblée qui m'a "laissé tout seul dans mon coin" au lieu de vous entourer, d'apprendre de vous et aussi d'apprendre qui vous êtes. Si nous sommes les oisillons du faucon (Rév d'Arès wLv/14), il faudrait bien que les futurs faucons connaissent leur père (xxxiii/14) pour être dignes de lui quand il aura disparu. C'est sans doute pour cela que vous nommiez le centre collectif, que vous appeliez de vos vœux mais qui n'a jamais existé, "Maison des Faucons".
On vous voit prier au Pèlerinage, mais on ne sait pas comment vous priez seul chez vous. On vous lit, mais on ne sait pas comment vous travaillez. Tout cela, il nous serait tellement utile de le connaître.
On pourrait aussi mieux vous défendre quand vous êtes attaqué comme ce fut le cas ici. On en parle beaucoup en ce moment dans l'assemblée et surtout, je pense, au téléphone. Qui êtes-vous, frère Michel ?
Josie


Réponse :

Comment je prie chez moi? À peu près comme je prie au Pèlerinage. Rien d'extraordinaire.
Je profite de votre question pour rappeler que cet été, pendant la deuxième et la troisième quinzaine du Pèlerinage, j'ai chaque jour réuni autour de moi un groupe de jeunes (leur nombre allait de 4 à 15), tous de plus de 18 ans, pour leur parler longuement de la piété du prophète. Je leur ai donné comme consigne de transmettre ce qu'ils savent maintenant de ma prière personnelle. Il n'y a pas de secret.
Quant à savoir comment je travaille? Je ne crois pas non plus qu'il y ait là rien d'extraordinaire ou de secret.
Je ne pense pas que savoir comment je prie ou comment je travaille aurait permis à mes frères et sœurs de m'aider tout court ou, pour les rares qui m'ont aidé, de m'aider mieux dans la situation qui me préoccupe ici.
Étant donné mon isolement et le peu d'occasions que j'ai de prêcher, occasions réduites à presque rien maintenant que mon état de santé m'oblige, sur conseil express des cardiologues, à éviter les grandes réunions et allocations publiques, c'est évidemment à l'écriture que je me consacre le plus. À preuve, ce blog où je m'exprime exclusivement et beaucoup par mon clavier.
Je crois que pour écrire utilement et le moins mal possible, c'est simple, il me faut aimer le Créateur, mes frères et ce que je fais. Je les aime plus que ma vie, me permettant d'y ajouter mon épouse, mes enfants. C'est à mon amour immodéré pour ma mission que je puise la force de m'exprimer ici. Pas toujours facile, cependant, de garder la joie et l'espérance en l'humain quand celui-ci montre, par moment, tant de nervosité et de négativité.
Mais c'est un fait qu'aujourd'hui, devenu vieux et resté seul, j'existe seulement quand j'écris.
C'est peut-être ce qui vous paraît faire écran à une bonne connaissance de ma personne ? Je ne crois pas pourtant qu'il faille voir les choses ainsi. Je suis moi-même dans ces lignes.
C'est peut-être même quand la tâche devient très difficile et quand le goût à l'écriture m'abandonne, comme c'est un peu cas en ce moment, que j'écris le mieux, si tant est que j'écrive bien, ce dont je ne suis pas sûr du tout. J'ai toujours protesté que je n'étais pas écrivain, que je n'avais reçu pour cela aucune formation. Mais j'écris avec mon cœur, mon âme — J'imagine que ces deux mots font ricaner certains.
Les mots, justement! Je suis souvent très perplexe, dubitatif, à l'endroit des mots. Ces oiseaux qui peuvent être beaux et filer droit dans le ciel, mais qui peuvent aussi virer et piailler inutilement (Rév d'Arès 13/1). Il m'arrive bien, à moi aussi, de parler pour ne rien dire. Je sais mieux que personne, puisqu'il me faut souvent écrire l'indicible, que la représentation de la Vérité et de la Vie spirituelle reste enfermée dans le langage, toujours inférieur à ce qu'il voudrait dire. Tout écriture s'expose à ne pas être comprise par tout le monde, à être même quelquefois vue comme la dissimulation de sentiments indignes.
Je n'ai jamais de sentiments indignes, je l'affirme, même si je ne m'exprime pas toujours de façon comprise, mais je peux affirmer que mon engagement total, ma radicalité, ma passion même, dans cette mission prophétique sur le clavier d'ordinateur m'obligent sans cesse à réfléchir, à me poser les bonnes questions. Il n'est pas facile d'user des mots, de rechercher les mots justes — c'est tellement important dans ma mission — en éviter les mauvais sens et les débordements.
Comment je travaille? Demandez plutôt pourquoi je travaille. Pour redonner aux hommes la Vérité, l'espérance qu'ils peuvent par la pénitence redevenir bons et rendre ce monde bon, de rendre à l'humanité sa divinité. Des frères du pécheur que je suis viendra le salut du monde.
Malgré ma descendance bretonne, je ne suis pas têtu. Je n'arrête jamais sur un homme ou une femme un regard de jugement, c.-à-d. de catégorisation définitive, même sur mon pire ennemi — Et des ennemis, j'en ai et pas des moindres: les églises, la politique, les fanatiques religieux de toutes sortes, etc. auprès desquels les soupçonneurs et accusateurs dont je parle ici sont peu de choses, mais ce sont mes frères et mes sœurs proches. Leurs dépréciations de ma personne me font de la peine, non pour moi qui ne suis qu'un pécheur, mais pour ce qu'elles enlèvent à un mouvement de spiritualisation qui a tellemnt besoin de toutes ses forces et dont, qu'on le veuille ou non, je suis la force aînée (Rév d'Arès 16/1).
Voilà ! Vous souhaitiez que je parle un peu de moi. Je l'ai fait


10sep09 98C65  
Je vous ai envoyé deux fois mon commentaire. Une fois le 4 septembre, puis avant-hier 7 septembre.
Pourquoi ne voulez-vous pas le poster dans votre blog? Je crois qu'il apportait des informations positives suite à cette entrée 0098. J'attends votre réponse avnt de vous le poster à nouveau.
Bien à vous, pensées fraternelles.
J.-C. D.


Réponse :

Je n'ai pas reçu votre commentaire.
Comme vous l'avez lu dans le commentaire de Berni Zacharie et ma réponse (98C27) l'envoi de commentaires par la fonction "Ajouter un commentaire" fonctionne mal. Je ne sais pas encore pourquoi. Je n'ai pas encore eu, je l'avoue, le temps de m'en occuper.
Pour le cas où vous m'ayez adressé votre commentaire par cette fonction "Ajouter un commentaire", bien sûr!
Si vous me l'avez adressé dans une autre de mes boîtes de messagerie, je ne vois pas très bien pourquoi je ne l'ai pas reçu, car j'ai encore visité ces comptes de messagerie hier soir.
J'ai une dizaine de comptes de messagerie sur plusieurs serveurs, sans compter les comptes de messagerie liés à mes domaines Internet, sur lesquels m'arrivent des commentaires, parce que la fonction "Ajouter un commentaire" n'est pas très utilisée par les commentateurs.

Il m'arrive aussi un certain nombre de commentaires par courrier postal, que m'adressent des commentateurs qui n'ont pas d'ordinateurs ou qui n'ont pas l'Internet, mais qui suivent mon blog par des copies imprimées qui circulent. Vous pouvez toujours utiliser ce moyen.
Vous devez pour votre part connaître au moins trois, peut-être quatre, de mes adresses Email, sur lesquelles nous avons eu l'occasion d'échanger il y a quelques années.


11sep09 98C66
Je tenais à vous remercier des differents liens que vous m'avez communiqués, afin de rentrer en contact avec vous.
J'ai quelques problèmes avec ma boite Mail.
Je vous renvoie le commentaire dès que je peux.
Nous sommes dans une pèriode de moisson assez dense avec la foire de Marseille et avec un stand que nous faisons le Dimanche 27 Septembre avec sœur G. au village de [nom de lieu dans les Alpes] avec pour thème "Reliance", qui se traduit par "Alliance".
Nous devons trouver une idée de tract sur ce thème .
Peux être auriez vous une idée la dessus.
Patricia


Réponse :

Je n'ai malheureusement pas d'idée sur le moment pour ce tract. Je ne suis pas sûr qu'une idée surgira dans la cervelle d'ici le 27 septembre.
Plusieurs commentateurs m'ont fait part de leurs difficultés à entrer en contact avec moi depuis un certain temps. De ce fait, et sur le conseils de frères bien plus compétents que moi en matière de sécurité sur l'Internet, je commence à changer de serveurs non seulement pour mon blog, mais aussi pour d'autres comptes de messageries. Cela prendra un certain temps.Il n'est pas impossible que, pendant cette période, vous ayez encore quelques difficultés à communiquer avec moi. Vous pouvez toujours éventuellement recourir au courrier postal.
Je vous souhaite une mission très fructueuse. Que la légion d'anges (Rév d'Arès 29/6) vous assiste !


11sep09 98C67
Je vous envoie ce courriel à trois de vos adresses mail vu qu'il y a un problème à partir de la fonction "Ajouter un commentaire”.
Votre enseignement au travers des notes de la nouvelle édition 2009 est puissant. Vous mâchez la poussière (Rév d'Arès xii/5), afin que le frère se nourrisse du miel ; vous nous permettez de mieux comprendre le Fond et donc d'accomplir la Parole (Rév d'Arès 35/6). La simplicité et la force d'évocation de vos propos sont une lumière ressentie par quiconque veut bien faire confiance au prophète et suivre la voie d'élévation spirituelle en mettant ses pas dans Les Pas du Père (Rév d'Arès 2/12), car il n'y a rien de compris qu'accompli.
Pour les tergiversations sur l'emplacement des stigmates, il est évident que cela ne conditionne pas la nécessité d'entrer en pénitence, quelle que soit son origine (veillée 25), car c'est faire ce qui importe plus que croire et, par ailleurs, la difficulté de localisation précise de ses stigmates dans les conditions où vous avez eu les apparitions n'invalide pas votre témoignage dans son authenticité. C'est bien le Messager de Dieu, l'homme Jésus ressuscité qui s'est montré à vous en 1974.
Je trouve votre réponse superbe [entrée 0098]: "Il est des points de Vérité que vous ne pouvez trancher. Seule votre intelligence (Rév d'Arès 32/5) spirituelle ranimée vous permet de dépasser leurs imprécisions, leurs contradictions, leur dichotomie."
Comme votre entrée 0098 évoque le(s) démon(s), il est un point sur lequel j'aimerai avoir vos conseils, afin de mieux agir, car nous devons défendre l'affligé contre le mal et les méchants contre la magie et les devins (Rév d'Arès 16/8).
Certains vendent leur art divinatoire aux disputes de ce siècle en crise (Rév d'Arès 22/12). Notamment les pratiques mystico-ésotériques diverses — la voyance est interdite par le Créateur —, alors qu'il n'y a là aucune certitude. C'est aléatoire et donc inutile mais cela peut perdre ceux qui se laissent prendre à la peur du lendemain, au besoin de savoir leur/et ou l'avenir quand il n'y a pas de déterminisme ni de fatalité, mais les faiblesses humaines sont telles — et il y a là aussi parfois une certaine responsabilité de l'affligé par sa course aux plaisirs, une disposition à l'erreur, à la facilité, au profit.
Que certains se laissent quelques fois bercer/berner, se livrent/se confient aux démons, sont dominés par les prédictions fumeuses et dommageables à l'intelligence spirituelle. Cela me scandalise car c'est un véritable déni de la capacité existentielle de chacun qui, par la pratique du Bien (amour, absence de préjugés, paix, pardon, …) peut retourner à l'image et ressemblance du Père, être fait un dieu (Rév d'Arès 2/13).
Les dangers autour de nous sont réductibles, quand on fait l'effort d'observer, quant on tire les leçons de l'expérience et qu'on écoute les avertissements donnés par la Parole. Pas besoin de spirites, car la prémonition est une capacité de tous les instants. Parmi ses spécialistes (magie blanche ou noire, pas de confusion c'est de la magie), il y en a sans doute qui par intuition recherche le Vrai et s'ils continuent leurs pratiques divinatoires quand ils en ont constaté par le vécu l'inanité, n'est-ce pas alors de la manipulation sciante (?) ?
J'ai bien compris que c'est notre amour à l'image de l'Amour divin qui guérit et non l'imposition des mains. C'est par notre pénitence dans la joie, par notre prière (clamer la Parole pour L'accomplir) que le démon recule à la longue.
Le tentateur, qu'il soit l'ange déchu Satan, qui se complaît dans la souillure et le mensonge, l'impudicité, l'orgueil, la lubricité, etc., être surnaturel malfaisant (qui vous fit subir tourments et tentations lors des apparitions de Yéchou (voir liminaire de l'édition de la Révélation d'Arès, 1974) ou comme c'est plus souvent le cas, le mal dont est capable l'humanité contre elle-même, l'homme qui est son propre tentateur par la perte de contrôle de ses choix, du souci spirituel et de sa bonté,  entrave la moisson du petit reste. J'ai remarqué que souvent, dans la moisson, le tentateur (issu des djins ou issu des hommes) par rage jalouse du Bien, se glisse furtivement pour perturber la moisson.
Comment nous conseillez vous de défendre l'affligé victime du tentateur?
En prière avec vous,
Judith


Réponse :

Vous abordez là un sujet immense que je résume ainsi, si j'ai bien compris votre commentaire, de la façon dont je le formule généralement moi-même:

D'une part, l'homme a-t-il de réelless capacités d'extra-lucidité et de supranormalité et, dans le cadre de la rectitude spirituelle, quelles sont les limites de l'honnêteté dans ce domaine?

D'autre part, y a-t-il en-dehors de nos propres capacités humaines à êtres démoniaques, méchants, pervers, criminels, des démons extérieurs à l"homme et capables d'ajouter leur mal au mal que peut déjà faire l'homme?
Mes réponses raccourcies à ces questions (un blog ne permet que des raccourcis) sont bien connues et je suis surpris que vous, une déjà ancienne sœur (je vous revois débout devant ma porte avec votre bonnet de laine, rouge je crois, et vos gros criquenots de scout un soir des années 80), ne les connaissiez pas déjà.
Indiscutablement, les humains ont des pouvoirs d'extralucidité et de supranormalité. Pour la supranormalité, Jésus déjà, il y a deux mille ans conseillait à ses apôtres d'imposer les mains aux malades, par exemple. Pour l'extralucidité, c'est patent! Qui n'a eu dans sa vie des intuitions avérées justes, quoique totalement irrationnelles, et comment nier que les mères ont pour leurs enfants des dons d'extralucidité évidents. Ce que je dis par contre, c'est que ces dons ne peuvent pas être commercialisés, parce qu'ils ne sont pas constants. La "voyante" qui fait des prédictions de 5h à 12h, de 14h à 18h et sur rendez-vous, est inévitablement un charlatan, même si à la base elle a un don particuilier. L'extralucidité, dans ce monde de péché, ne peut jourir de la constance. Elle est inévitablement occasionnelles. Elle doit donc être gratuite et non sollicitée.
Qu'il existe en dehors de nous des forces maléfiques, parfois même capables d'actes physiques, c'est également patent. L'exemple que vous donnez de la force extérieure qui m'éleva au plafond d'où elle me jeta au sol pendant la période des apparition de Jésus, en 1974, est un bon exemple. Ce que je nie, c'est qu'il faille mettre sur le dos de ces démons la responsabilité du péché. La responsabilité du péché incombe à l'homme ! L'home est son propre tentateur.

Vous parlez de Satan. Bien! Satan est cité de façon expresse dans le prologue du livre de Job (Bible). Mais par quoi Satan jette-t-il le pauvre Job dans le malheur et la maladie? Pas par ses propres moyens; il n'a pas les moyens d'éprouver Job. Satan ne peut agir qu'en vertu d'une autorisation de Yawhé: Soit, dit Yahwé au Satan, [Je t'autorise à éprouver Job]! Je mets tout ce qu'il (Job) possède en ton pouvoir, mais tu ne porteras pas la min sur lui ! (Job 1/12). Autrement dit, Satan ne peut rien faire hors de la force du Créateur. Et, pour finir, c'est le Créateur lui-même qui, ayant gagné son pari contre Satan, redonnera à Job tous ses biens et son bonheur. Autrement dit, la vertu et la foi de Job ont triomphé des forces du mal.

On pourrait dire la même chose de Marie. Quelle que soit la nature réelle de cette phase — phase de compassion, à ne pas confondre avec l'Amour, qui, lui, est une constante — du Créateur, c'est le Créateur qui est la seule force véritable derrière Marie ou la femme élevée au dessus de l'Orient ou quel que nom que vous lui donniez.


11sep09 98C68
Je n'ai pas encore lu l'édition 2009 de La Révélation d'Arès.
Fauchée à 18 ans par la moisson d'Arès — j'ai maintenant 44 ans —, je m'efforce, pas à pas, d'appliquer tout ce que mon faible lumignon (Rév d'Arès 32/5) comprend.
Merci à toutes celles et tous ceux qui ont eu confiance en moi pour ouvrir et lire le Livre [de La Révélation d'Arès], quelle que soit son édition.
Prier , c'est prononcer la Parole (pour La comprendre ) pour L'accomplir (Rév d'Arès 35/6)..
Pourriez-vous, malgré que vous ayez sûrement déjà développé ce thème, revenir sur la fraternité?
Je ne lis freesoulblog.net que depuis Mai 2008. J'y trouve de nombreuses réponses sur le salut personnel, qui n'est possible qu'en voulant sauver d'autres hommes. Mais au sujet des relations fraternelles ?
L'amour fraternel comme devoir, comme l'amour filial, alors que l'amour du couple [est romantique et involontaire], comme l'amour pour le Pére est un choix, n'est-il pas ?
Je vous salue, juste prophète et [je vous dis] grand merci pour ce blog qui permet à des lecteurs de s'exprimer et dialoguer avec vous.
Merci aussi pour votre humour. J'en ris encore !
Merci de rester vivant encore au moins 25 ans, le temps d'une génération, pour venir en aide au peuple disséminé de ceux qui ont faim et soif de justice, des scandalisés qu'appelle Dieu dans La révélation d'Arès (28/6).
C'est pourquoi Je n'ai pas envoyé à ces hommes Ma Parole dans les Livres , mais en secret J'ai conduit leurs pas vers la Vérité qui gisait comme un aigle blessé dans les coeurs de leurs pères et leurs frères ployés sous les puissants et les riches
et ils ont libéré la Vérité,
et ils ont libéré leurs pères et leurs frères;
et Je me cache encore d'eux parce qu'on les avait fatigués de Moi,
Je souffle en silence dans leur poitrine
Car la Vérité , c'est que le monde doit changer  (Rév d'Arès 28/6-7).
Bulledefleur


Réponse :

Je crois deviner qui vous êtes... L'écart de 18 à 44 ans me donne une indication. Je crois me souvenir que, la première fois que vous êtes venue prier avec nous à Arès, vous étiez debout à ma gauche . Nous étions épaule contre épaule. Il y avait un monde fou ce soir-là, quelque 150 personne dans la salle des théophanies faite pour en contenir 50 ! Nous avons vraiment vécu des moments extraordinaires. Merci, Seigneur! Nous n'aviez pas d'enfants alors, mais vous êtes revenue, longtemps après, avec vos enfants, certains déjà de grands adolescents, magnifiques!
Oui, ma sœur, l'amour évangélique est, comme je dis, un amour-devoir. Celui qui a l'amour évangélique n'obéit pas à des sentiments, il surmonte même sa répugnance, car il ne doit pas hésiter à embrasse la bouche de celui qui le pus et l'hameçon à la lèvre (Rév d'Arès xxii/8), car c'est de cet amour-là que sortira le jardin (Éden) dans le monde (xii/9).
L'amour du couple est romantique et n'est pas un amour-devoir, encore qu'il doive d'une certaine façon le devenir par fidélité, et l'amour fiial ou parental est un amour naturel. Mais là, nous abordons un sujet très vaste. Vous me donnez l'idée d'y consacrer une entrée de blog un jour. je vais y penser.


11sep09 98C69

http://www.youtube.com/watch?v=zlfKdbWwruY&feature=player_embedded

Bonhomme


Réponse :

Merci bonhomme. J'ai eu un grand plaisir à regarder cette video. Un spectacle d'espérance sans aucun doute.


11sep09 98C70  
Je lis votre blog et cela me porte à méditer sur votre patience.
Je mesure aussi la gravité des événements.
Mais la  réponse que vous donner à Josie |98C64] me fait rire aux éclats.
merci donc !
Luigi      


12sep09 98C71
Notre petite assemblée de [lieu des Alpes] vous fait entièrement confiance, frère Michel.
Comment peut-on ne pas vous donner notre confiance ?
Il est vrai que sauf le petit reste,la multitude ne vous suivra pas (Rév d'Arès 26/1).
Mais nous vous reconnaissons comme celui que le Père a choisi afin d'éveiller la conscience des générations qui viennent ,
la force spirituelle qui fera disparaitre la souffrance, la maladie, la mort, grace au Bien qu'elles auront intallées en elles.
Quand elles auront retrouvé, grace à vous, grâce à la Parole et à l'enseignement que vous nous transmettez, l'Oasis, la Vie (Rév d'Arès 24/3-4), que vous nous soufflez depuis trente-cinq années grâce au Père de l'Univers (12/4), qui est descendu vous parler.
Confiance Absolue !
Arièle, Danièle, Patricia


12sep09 98C72
Finalement, par les temps qui courent, qu'y a-t-il de plus anecdotique ?
De parler du 11 septembre 2001 et de la destruction des twin towers par le roi noir et ses auxiliaires pour justifier une guerre coloniale en Irack pour du pétrole, ou de parler des stigmates de Jésus ?
Il y a fort à parier que dans 100 ans on reparlera encore de l'emplacement des plaies de Jésus, mais qu'on ne parlera plus de l'affaire du 11 septembre [à New York, 2001] que comme d'un épisode de l'histoire parmi d'autres.
Alors, parlons de fraternité chez les pèlerins d'Arès !
Ce sujet, il me semble, a de l'avenir.
Pas pour certains, bien évidemment. Ce fameux "Jour sans Mentir" dont la date en octobre revient nous hanter tous les ans pourrait être le grand moment fraternel des frères de Mikal comme le ramadan est le grand moment de partage familial et fraternel des musulmans. Cela nous réunirait dans la pénitence et l'humilité, car, entre ceux qui ont un avis sur chacun et se croient extra-lucides en pensant bien connaitre leurs frères de foi au point de s'en désinteresser comme d'une viande avariée, et ceux qui n'osent jamais rien dire ni rien faire dans l'assemblée de peur de montrer des défauts...
Il y a du travail pour tout le monde. Le think-tank que vous aviez mis en place avec un certain nombre sur le net avait cette vertu de délier les langues et d'enrichir les perspectives de l'assemblée.
Mais sans doute que d'autres étapes nous seront necessaires avant de reprendre ce projet.
J.O.


12sep09 98C73
Pardonnez-moi de réagir tardivement à votre réponse sur mon intervention précédente (98C29).
Je ne vous visais pas particulièrement, quand je parlais de certains qui tentent d'imposer leur point de vue coûte que coûte
Je parlais d'une façon générale.
Je suis conscient, depuis le temps que je vous lis, que vous laisser une grande liberté d'opinions, ce qui inévitablement peut engendrer quelques frictions par-ci par-là.
Ce que je voulais souligner, dans mon précédent post, c'est que je m'étonne plutôt que l'on attache tant d'importance à des différences de point de vue qui ne sont souvent que le reflet d'éducations différentes.
Moi-même, je n'ai pas été élevé dans une éducation religieuse — une chance ? — et je n'attache vraiment pas beaucoup d'importance sur l'emplacement des stigmates de Jésus, ceci expliquant cela.
Le plus important est le Message même de Jésus et le fait de savoir qu'il a été assassiné à cause de ce Message.
De nos jours, on assassine plus physiquement — encore que... —, on met la personne qui dérange au piloris de la désinformation et de la propagande, on l'assassine socialement...
Olivier G


12sep09 98C74  
Je n'appartiens pas à votre mouvement, mais je suis documentaliste pour un panel d'historiens, qui étudient les mouvements religieux et philosophiques contemporains d'avenir apparemment prometteur. Les Pèlerins d'Arès, le Pèlerinage d'Arès, dont votre personne fondatrice et tutélaire, en font partie.
Ce que je dis ici est simple, mais doit être dit, selon moi, à notre époque où circulent beaucoup d'idées fausses sur les critères qui font le mensonge ou la vérité:
Les procès d'intention (la différence de témoignage sur les stigmates en est un) qui vous sont intentés sont tout à votre honneur,
Accidentels et bénins, de plus explicables, dans ce qu'on sait de votre vie et des circonstances invoquées, les faits qu'on opposent à votre honnêteté participent des motifs de disculpation pour les historiens qui, continuellement appelés à examiner des on-dit, des faux-semblants, des spots accidentels dans une biographie retiennent comme commencement de soupçon la fréquence, même faible. Vous n'êtes pas du tout coutumier des faits en question ou de faits similaires. La vraisemblance est du côté de l'innocence.
Je me permets maintenant un avis personnel. L'avis d'une agnostique:
Si vos adversaires ou objecteurs n'ont rien d'autre à invoquer contre vous, ils font preuve de plus de crédulité dans leurs propres arguments que vos partisans n'en font preuve dans votre témoignage d'ensemble. Je parle de La Révélation d'Arès. Les raisons de croire en elle, du moins de croire en votre sincérité, sont rationnellement plus grandes que celles de vos objecteurs de croire que vous êtes un mystificateur. 
C'est bien un très médiocre, inopérant, procès d'intention qu'on instrumente contre vous.
Vous avez le soutien protesté de vos amis, on le voit bien dans ce blog, mais ce genre d'épreuve est quand même dur pour une personne seule et âgée. J'approche des personnes importantes qui essuient elles aussi des campagnes d'insinuations et parfois des accusations plus éprouvantes, mais elles sont rarement seules socialement, intellectuellement et physiquement pour y faire face. Leurs entourages, des juristes, des experts, leur font un rempart immédiat de défense et de consolation.
Je sais comment vous vivez, vous ne bénéficiez pas de ce rempart.
Voilà pourquoi j'ai pensé simplement juste de vous témoigner ma sympathie.
Anémone


13sep09 98C75  
Je ne suis pas pèlerin d'Arès et je vais être très brutal. 
Ceux qui prétendent être pèlerins d'Arès ou croire dans La Révélation d'Arès et qui sont contre leur fondateur, le frère Michel, sont des cons dangereux !

Je suis de la partie communications. Je parle donc de ce que je connais.
Frère Michel n'est pas du tout un homme de communication et n'y connaît rien. C'est évident.
S'il était un homme de communication, il se serait entouré d'un brain-trust de communicateurs qui lui diraient: "Attention, vous ne devrez pas dire ceci ou cela parce que vous avez dit autrement à telle ou telle époque." De sorte qu'il dirait toujours la même chose et ne serait jamais pris en défaut.
Au lieu de ça, il parle avec une remarquable sincérité, parce que c'est le seul (et pauvre) outil de communication dont il dispose, et je peux dire, d'après ce que je sais, qu'un hiatus, de plus dérisoire, entre "stigmate dans les poignets" et "stigmate dans l'avant-bras" est d'une rarissime existence dans ses déclarations. C'est donc un homme éminemment digne de confiance !
Je vais être encore plus brutal.
Si j'ai bien compris les basics de ce que certains pèlerins d'Arès appellent "le mensonge Jabboune/Potay" et sans même chercher à en connaître les détails, sans même savoir si le Frère Michel est coupable ou non de ce mensonge (s'il y a un mensonge), je dis aux pèlerins d'Arès qui n'ont pas pris la défense de leur fondateur et chef de parti que ce sont bien des cons dangereux, parce qu'ils ne savent même pas de quel côté ils sont. Le Frère Michel a lancé un mouvement d'espérance, d'espérance dans la bonté de l'homme qui vaut son pesant d'attention ou même de confiance.

Sur le champ de bataille vous ne cherchez pas à savoir si votre défenseur, celui qui vous sauve la peau, a usé contre l'ennemi d'une arme autorisée ou défendue par la Convention de Genève, vous tombez dans les bras de votre sauveur. Sinon, vous êtes un allié malsain, nuisible, un faux ami, un traitre ou un con.

Je ne sais pas qui est cette femme qui a accusé le Frère Michel de forfaiture tout en prétendant l'avoir défendu avec La Révélation d'Arès pendant plusieurs années, mais, oui, je le dis brutalement, c'est une conne dangereuse, qui a craché dans la soupe ou révélé sa trahison. Savait-elle seulement de quel côté elle était ?
Je suis tout à fait d'accord avec Anémone [98C74].

Porthos


Réponse :

J'avoue avoir d'abord pensé: "Non, je ne peux pas publier ce commentaire."
Mais après tout c'est une opinion comme une autre, malgré une brutalité qui m'a d'abord choqué avant que je me dise: "Ce genre de commentaire vaut bien celui de Belfess ou de Charlélly."
J'ai bien songé à l'édulcorer en masquant les termes de "cons" et "connes" mais cela aurait coupé la coulée de votre pensée qui a besoin d'être lue d'un trait et qui, une fois lue, fait oublier ces mots crus.
Pour l'affaire "Jabboune/Potay" je me suis déjà en août, publiquement mais beaucoup plus poliment, étonné face à cette sœurs exprimant sa déception qu'elle ait pris pour ainsi dire la défense de l'adversaire. Vous relevez vous-même, avec des mots brutaux, cette ambivalence. En fait, j'ignore beaucoup trop de choses de cette affaire de "mensonge Jabboune/Potay", à laquelle je n'accorde pas beaucoup d'attention, pour aller plus loin que l'étonnement.


13sep09 98C76
Je ne viens pas ici débattre à propos de ces fameux "stigmates" ni défendre spécialement [...].
Mais une chose m'étonne quand même. Vous avez dit, je cite: "elle n'était plus ni pèlerin d'Arès ni moins encore Pèlerin d'Arès. " Or, s'il est une personne qui défendait La Révélation d'Arès, qui la connaissait sur le bout des lévres (au point que son forum justement nous paraissait [grand espace blanc]), qui vous défendait vous, frére Michel, et qui vous défendait bec et ongles, c'était bien [elle]!
C'est sûr, elle y croyait, jusqu'à quelle date, je ne sais pas, mais elle y croyait.
Alors je m'étonne.
Certes, elle ne voulait intégrer aucune assemblée, parce qu'elle avait, disons, une certaine rigidité mentale, liée probablement à son handicap physique, et qu'elle ne s'entendait pas avec tout le monde, loin s'en faut ! Mais cela faisait-il d'elle une non-pélerin d'Arès?
N'aurait-il pas fallu l'aider à rejoindre une assemblée?
Elle s'était senti rejetée par vous, qui n'êtes pas allé sur son site, qui ne lui avez pas répondu, alors que vous avez été sur tous les sites. Il y a de quoi se poser des questions.
Alors que vous avez été si compréhensif avec moi, je ne comprends pas votre si grande sévérité envers elle.
En realité, vous portez une grande part de responsabilité dans cette affaire, dans la perte de sa foi je veux dire.
Je ne sais pas si vous allez oser publier mon message.
yve/L'Abeille


Réponse :

Il faut aimer ses frères et sœurs et vous faites ici preuve d'amour fraternel pour [...] et j'en suis heureux.
De même, j'aime fraternellement cette sœur, et je n'ai absolument rien fait pour qu'elle m'attaque et rompe.
Vous me dites: "Vous avez été sur tous les sites: "Vous n'êtes pas allé sur son site, vous ne lui avez pas répondu, alors que vous êtes allé sur tous les sites."
D'abord, j'ai bien répondu à son invitation, je suis allé sur son site (voir ma réponse à J.A. 98C46) et je suis allé sur trois autres sites par la suite: "Spiritualités" dont je me suis retiré, "L'Abeille", votre site où je ne suis pas retouné depuis assez longtemps, et "Terre Inculte", où je n'ai que des participations très épisodiques, mais je ne suis pas allé, loin de là, "sur tous les sites" auxquels j'ai été invité : plusieurs dizaines ! Ma vie n'y suffirait pas. Ma mission est universelle et m'appelle aussi ailleurs.
Si la personne dont vous parlez avait sollicité ma participation sur des sujets particuliers, comme ce fut le cas, je crois, pour ce qu'elle appelle "le mensonge Jabboune/Potay" (2005), j'y aurais répondu dans la mesure de mes moyens et de mes disponibilités. Mais elle ne m'a pas ré-invité. Il y a des années qu'elle ne m'écrit plus, qu'elle a coupé tout contact avec moi. J'ai respecté sa réserve. La mission de Nice a pris contact avec elle, mais elle n'y a pas donné suite. La mission de Nice a respecté sa réserve. Elle s'est elle-même sortie complètement du milieu arésien depuis longtemps.
Les hommes et femmes qui se sont approchés pendant un moment de leurs vie de La Révélation d'Arès et du Frère Michel et qui s'en sont retirés ensuite sont des milliers depuis 35 ans. Je ne peux malheureusement pas les suivre tous après leur abandon, même en supposant qu'ils n'attendent que ça, ce que vous semblez vouloir dire à propos de cette personne. J'en suis vraiment désolé.

Elle manifestait clairement sa liberté d'isolement, qui a été totalement respectée.
Je suis ému quand vous me dites: "S'il est une personne qui défendait La Révélation d'Arès, qui la connaissait sur le bout des lévres (au point que son forum justement nous paraissait [grand espace blanc]), qui vous défendait vous, frére Michel, et qui vous défendait bec et ongles, c'était bien [elle]!", mais vous ajoutez: "C'est sûr, elle y croyait, jusqu'à quelle date, je ne sais pas..." Je pense que vous ne me diriez pas cela, si elle n'avait pas "défendu La Révélation d'Arès... et le frère Michel" récemment encore. Dans ce cas, je ne comprends moins encore son attitude négative et même méprisante envers moi au mois d'août.

Mais puisque vous semblez en bons termes avec elle, invitez-la à reconnaître qu'elle est allée un peu loin, qu'elle s'est laissé aller à ses impressions, à ses doutes, ou à un moment d'emportement — il n'y a pas de honte à cela, la vie de foi est une aventure difficile de l'esprit et du cœur — et les choses peuvent très bien s'arranger. Nous sommes tous pécheurs. Qui mieux que des pécheurs, dont je suis, peuvent se sentir frères d'autres pécheurs? Peut-être serez-vous plus heureux que moi, qui me suis efforcé au mois d'août d'apporter à ses questions des réponses, qu'elle a trouvées insatisfaisantes.


13sep09 98C77
J'ai maintenant commencé à lire l'édition 2009 de La Révélation d'Arès que je trouve vraiment très bien. Vos commentaires sont, à mon sens, plus spontanément clairs que dans les précédentes versions.
Félicitation et merci à vous ainsi qu'à tout ceux qui ont travaillé et permis que l'on trouve cette édition en librairie.
Le projet de La Révélation d'Arès est beau. Si tout le monde allait se rencontrer au Nom du Père pour parler, pardonner, régler les problèmes, aimer, notre monde injuste, car il est si facile de faire le mal et si impossible de faire le bien, irait sûrement beaucoup mieux.
Les gros problèmes sont toujours l'incompréhension, l'individualisme, le pouvoir, ce sont les "je je", les "moi moi", il me semble que la grande majorité de la population est en accord avec le choix d'Adam [l'individualisme, l'égocentrisme].
Surtout, il ne faut pas croire que je critique quelqu'un, ce serait très déplacé de ma part, et là je ne parle même pas de mes côtés les plus sombres.
Mais quoi que je fasse, se sera toujours en loisir et en désaccord avec ma femme, ce qui ne me rend pas efficace.
Je m'excuse d'ailleurs auprès de ceux qui n'aime pas les pseudonymes, je ne sais pas si quelqu'un a une idée sur la façon dont "nous pourrions nous unir autour de Mikal" ?
La plupart des gens ne se rappellent pas de ce qu'ils ont mangé l'avant-veille à midi et encore moins de la tête de leurs professeurs de cinquième, mais dans le cas d'un évènement extraordinaire ?
Les vérités que nous exprimons se rapportent souvent à un contexte bien précis. Ainsi, il m'est arrivé de dire que j'ai vu des petits hommes verts [alors] que je ne crois pas du tout aux petits hommes verts. Dans la dernière affirmation c'est par rapport à l'interprétation général de notre époque.
Dans mon cas, alors que pendant un instant je voyais absolument tout, que j'étais en mesure de zoomer sur un objet, je suis dans l'impossibilité plus de dix ans après de donner des détails sur leurs nez, bouches, le nombre de doigts de leurs mains, décrire cela plus en détail est un autre sujet qui n'intéresse pas grand monde je pense.
En ce qui me concerne, rien de ce que vous avez écrit ne me choque.
Aminadab.


14sep09 98C78
Rassurez-vous, Porthos [98C75], je fais partie de ceux qui défendent La Révélation d’Arès et frère Michel, lorsque j’entends des propos qui me font dire: "Mais qu’est-ce que tu fais là ?! Si tu n’entends pas suivre et que tu dénigres l’enseignement du prophète, ravise-toi ! Change ou pars !"
Je n’ai pas prévenu directement frère Michel lorsque j’ai reçu cet Email de masse [de l'accusatrice] et là j’ai déjà demandé pardon à l’intéressé, mais j’ai tout de suite répondu à cette personne. Sans vous en dire plus, sachez[, Porthos,] que mes arguments allaient dans le sens du début de mon intervention.
Je suis content de vous lire[, Porthos]. Merci à frère Michel d’avoir réfléchi et en fin de compte publié ce commentaire 98C75, qui demandait un peu de courtoisie. Je dis cela avec un grand sourire, car, en repensant au langage grossier, avec une teneur soutenue en mots "d’oiseaux", dont j’usais allègrement avant de découvrir La Révélation d’Arès et sa belle aventure à vivre. Je m’aperçois que j’ai tout de même un petit peu changé !
Cela est une leçon. Nous devons nous préparer pour d’autres débordements, même si leurs arguments seront de sable, car il n’y a rien dans nos placard et dans les tiroirs de nos cœurs qui mérite l’opprobre et je sais que beaucoup défendront le mouvement, sa pérennité, son intégralité et frère Michel.
Je vois déjà que nous faisons l’objet d’étude pour l’Histoire [Anémone, 98C74].

Seulement, nous verrons bien ce que ces historiens en diront et, à ce moments-là, nous serons attentifs, prêts à rectifier toujours la Vérité et nous ne laisserons jamais salir Mikal, l’ami du Père de l’Univers.
Michel J.


14sep09 98C79
Quelle joie, frère Michel, de lire vos nouvelles annotations!
Elles rééclairent le Fond en bousculant le préjugé comme l'ont toujours fait les prophètes. Stigmates ou sexe, peu importe.
Car ce dont vous témoignez, Dieu l'avait déjà dit dans la Bible et le Coran :  
Ce Que Je dis Je l'ai déjà dit,
Mes Prophètes et Mes Témoins L'ont livré au monde (Rév d'Arès 30/1-2).
Ces phrases, vous témoignez les avoir entendues de la bouche du stigmatisé ressuscité.
Ressuscité ! les témoins de Jésus l'avaient dit. Le Coran aussi, je crois.
Jésus, Dieu l'a élévé vers lui (Coran IV/158). Quant au verset précédent, comme vous le dites dans votre réponse au commentaire 98C02, il semble ambigu. Mais le contexte ? Les meurtriers se flattaient d'avoir tué le Messie, d'en avoir fini avec lui, et Dieu réagit en parodiant leur dérisoire chant de victoire: "Ils ne l'ont pas tué, ils ne l'ont pas crucifié !" Avec, en arabe, ces deux verbes sonores et qui riment, les voilà renvoyés à leur égarement sanguinaire, car même la mort physique ne tue pas le prophéte.
Ils ont chanté: "Nous l'avons crucifié,  nous l'avons sacrifié, bon débarras !" Dieu prodigue l'illusion à qui le veut, pauvres fous ! Dieu l'a élevé.
Quant au sexe de Dieu, la première fois que j'ai lu La Révélation d'Arès, je me suis dit : "Cette Révélation n'est pas la dernière. Elle laisse encore dans l'illusion du Dieu mâle," comme vous dites à propos de la Bible. La Genèse  I/27 me paraît pourtant bien annoncer que Dieu transcende les sexes : 
Dieu créa l'homme à son image,
À l'image de Dieu il le créa,
Mâle et femelle il les créa (Genèse 1/27)
Qu'en pensez-vous?
François D


Réponse :

Je pense comme vous.


14sep09 98C80  
Sans aucun doute, c'est Porthos qui a le mot de la fin (98C75). Et il n'est pas pèlerin d'Arès !!!
Il devrait faire un peu honte aux pèlerins d'Arès qui auraient déjà dû dire (comme Porthos): "Quoi qu'ait dit ou fait le frère Michel, c'est comme Jésus chassant les marchant du temple ou Muhammad brandissant le sabre, nous devons le défendre envers et contre tout, car il n'est "pas coutumier de ces faits" (lire 78C74) et même s'il a fait deux petits écarts en 35 ans, ce qui n'est quand même pas beaucoup, il faut lui être aveuglément et mordicus hostile et chercher la moindre occasion de "se payer le prophète" pour aller chercher ces misérables "preuves" de sa mystification (un mot employé par un commentateur et qui désigne exactement l'accusation ignominieuse portée contre Mikal)."
Je précise tout de suite que je ne partage pas l'avis des accusateurs, mais que je me reproche de ne pas avoir déjà dit ce que dit Porthos, parce que, même sans être comme lui spécialiste en communication, ce qu'il dit est le bon sens même: Il faut savoir de quel côté on est.
Et la personne dont il est si souvent question ici, la défectrice sous prétexte qu'elle aurait découvert les mensonges de frère Michel (parmi d'autres, avez-vous précisé, frère Michel) a montré simplement montré de quel côté était son cœur. Comme Judas montra de quel côté était son cœur (et sa trouille) quand il trahit Jésus.
Tout ça soulève quand même un problème. La défectrice en question n'est peut-être pas méchante de nature, mais ayant commis par orgueil une erreur monumentale, elle se condamne à devenir méchante et de plus en plus méchante. L'orgueil pousse au pire! Et son forum est son fond de commerce. Elle ne peut pas perdre sa clientèle.

Ne pensez-vous pas qu'il faudrait faire quelque chose pour la calmer, la ramener dans le cercle arésien?
Dartagnan


Réponse :

Je comprends votre souci, mais il faut tout ramener à de justes proportions.
Des sites plus ou moins ouvertement hostiles ou défavorables à La Révélation d'Arès et à son témoin, il y en a plus de 200 sur le web, d'après une recherche qu'a fait faire par un organisme spécialisé un de nos frères — Je ne sais plus si le forum de la "défectrice", comme vous dites, en faisait déjà partie. Je n'ai pas cette liste en tête et, pour tout dire, trop m'en inquiéter ne me servirait à rien. L'hostilité et la défection sont des fatalités dans tout mouvement prophétique.
Par ailleurs, ces quelque 200 sites, a estimé l'organisme spécialisé en question, "au vu de leurs fréquentations, n'attirent qu'une faible audience sur la toile internationale. Il faut aussi, en déduction, tenir compte de la nature fictionnelle d'une grande part des participations aux forums et chats [tchattes] faites de noms d'utilisateurs de messagerie qu'on peur créer à l'infini." J'ignore si la participation au site de la "défectrice" est de nature fictionnelle ou non, mais de toute façon, son site ne représente qu'une faible audience parmi 200 faibles audiences.
Des ennemis, La Révélation d'Arès et son témoin en ont beaucoup, pour des raisons diverses.

Voilà ce que j'ai répondu pas plus tard qu'hier 13 septembre à un frère qui m'informait que sur son forum la "défectrice" se "radicalisait" (copié-collé):

"Merci pour ces informations.
[Elle] se radicalise? Peut-elle se radicaliser plus qu'elle ne l'a fait en déclarant qu'elle ne croyait pas dans l'authenticité de La Révéltion d'Arès? Je ne crois pas. Elle a consommé elle-même, expressément, en termes clairs, sa rupture radicale avec La Révélation d'Arès et les pèlerins d'Arès dont elle s'était d'ailleurs séparée voilà longtemps. Elle a dit ce quelle pensait de moi, un menteur, un manipulateur, etc. Que peut-elle dire de pire? Pardonnée elle l'est, je ne lui souhaite aucun mal, mais mon pardon ne peut rien pour arrêter l'inexorable dans lequel elle s'est elle-même engagée.
"Elle-même a d'ailleurs bien compris que rejeter le témoin de La Révélation d'Arès revenait à rejeter La Révélation d'Arès.
Aussi, mon frère, mettez la paix dans votre cœur. Nous n'y pouvons plus rien tant que des pensées passionnées aveuglent [...]. Sauf retour plein d'humilité de [...] revenant sur ses propos négatifs, mais ce genre de retour qui demande énormément de foi, de grandeur, de force et beauté intérieures, ne me paraît pas dans la nature de [...] — du moins pas actuellement, car elle est dans l'incapacité d'analyser sereinement la situation dans laquelle elle s'est placée —. Elle a choisi le pire et se condamne elle-même à s'y enfoncer, parce que ses arguments sont piètres et elle doit commencer à s'en apercevoir. Elle croira, en noircissant davantage la situation, donner force à ses arguments. Schéma psychologique répété dans toute l'Histoire religieuse.
"Je pleure sur ce destin qu'elle s'est choisi par colère [ou par] illusion? Je ne sais pas, mais sans doute sur les bases d'une foi solitaire, trop faible.
"Je souhaite de tout mon cœur qu'elle mette la paix dans son cœur. Nous ne pouvons plus rien pour l'y mener, sinon l'inviter à un retour plein de raison et d'humilité non vers moi, mais vers son Créateur, retour auquel vous l'avez déjà invitée, je suppose.
"Mettez la paix dans votre cœur !"

Je vous demande aussi de lire ou relire ma réponse à yve (98C76), qui atteste que n'importe lequel des Pèlerins d'Arès, "des pécheurs, dont je suis," ne peuvt que "se sentir frère d'autres pécheurs." Mais il s'agit ici d'un problème de foi et la foi ne rejaillit pas par l'effet d'exhortations et moins encore de supplications.
Invitez cette personne à revoir sa position, si vous la connaissez, comme votre commentaire le laisse supposer ! "Peut-être serez-vous plus heureux que moi, qui me suis efforcé au mois d'août d'apporter à ses questions des réponses, qu'elle a trouvées insatisfaisantes."


14sep09 98C81
Merci, Frère Michel, pour la lumière que vous nous apportez.
J'ai bien buté sur les concepts de Marie, du tentateur, mais je m'aperçois aujourd'hui que j'étais encore prisonnier de ma vieille culture catho.
A contrario de ce que pensent certains qui n'ont rien compris, vous nous donnez à tous la preuve de votre sincérité, car même le prophète est un homme en voie d'évolution.
En fin de compte, vos notes sur cette dernière édition de La Révélation d'Arès démontrent clairement à mon sens, que jamais encore, il n'a existé une révélation, jusqu'à celle-ci, qui laisse autant de liberté à l'Homme, mais également une responsabilité individuelle aussi grande devant son Créateur.
Encore merci. 
Richard


14sep09 98C82  
Toutes ces observations autour des stigmates que portaient Jésus, me font penser à cette fameuse phrase du renard dans "Le Petit Prince" de Saint-Exupéry: "Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux."
— L’essentiel est invisible pour les yeux," répéta le petit prince, afin de se souvenir."
En effet, Jésus était bien là, en chair et en os devant vous, mais la Vie qui émanait de lui était encore plus forte que ses seuls traits physiques. Celui qui ressent au fond de lui le Feu de la Vie spirituelle attache moins d’importance aux apparences.
L’œil du dedans voit les fleurs, l’œil du dehors compte les fleurs alors le jardin est fauché vendu (Rév d’Arès ii/10).
Ainsi la spiritualité peut-elle rester intellectuelle, s’attacher aux mots et ne pas percevoir le Fond, le plus important. J’espère que cette sœur [...] aura assez d’humilité pour écouter la voix de son cœur.
Je n’avais pas remarqué ce détail par rapport aux stigmates dans la nouvelle édition de La Révélation d’Arès, mais j’avoue que les annotations concernant Marie ont chahuté mes convictions culturelles. J’ai eu du mal à comprendre. Ce n’est pas pour autant que je vous remets en question, ni La Révélation d’Arès.
Car je sais pertinemment que vous êtes le juste prophète (Rév d'Arès xxxvii/2), dont la pensée va haut et que vous êtes là pour nous aider à nous élever, à nous libérer de notre culture religieuse qui nous influence bien plus qu’on pourrait le penser.
Car quand on lit la Parole nous avons toujours au fond de nous une interprétation silencieuse pour comprendre et cette compréhension est imprégnée de notre conditionnement culturel. C’est ce que j’appellerais notre "filtre mental".
Passer de la vie spirituelle intellectuelle à la vraie Vie spirituelle demande des efforts d’humilité pour accepter de se remettre en question. Mais cela est une joie pour l’homme pieux — Ai-Je fixé un prix à mon Salut? Ne l’ai-Je pas livré à tous pour la peine d’une pénitence qui est une joie pour les hommes pieux, qui n’est pas plus lourde que le souci de l’usurier, qui est plus légère que le joug du riche et du puissant (Rév d’Arès 28/25) ) — sous l’œil émancipateur du faucon (emblème du prophète) qui nous entraîne toujours plus haut, même si cela peut donner le vertige à certains.
Il est plus que raisonnable de vous écouter, car qui mieux que vous, frère Michel, qui avez vécu ces évènement, est plus apte à éclairer ce Message du Créateur.
Je pense qu’en étant face à Jésus puis face au Créateur qui s’est réduit à la taille d’un bâton de lumière pour vous parler, vous ressentiez des intentions au-delà des mots et c’est cela que vous essayez de nous transmettre dans votre enseignement.
Merci, frère Michel, de nous montrer la voie de la Vie.
Tu vas haut, bonne pensée, le Bien est dans le creux de ta langue (Rév d’Arès xxxvii/9).
Votre attitude face à l’hostilité prouve, une fois encore, votre humilité et votre grandeur d’âme.
Denis K.


14sep09 98C83  
Je suis né dans une famille protestante calviniste — petit -fils de pasteur, mais mon père était quelqu'un  pour qui le salut ne pouvait se faire que par des actes de bien, personnels et sociaux, et non  seulement par la foi, et je lui dois beaucoup de ce côté là, même s'il a pu manquer de mesure en me punissant cruellement  pour un mensonge commis à l'âge de 7 ans — et j'ai suivi le cathéchisme de cette religion. 
Là, Marie, on n'en parlait quasiment pas, sauf dans les cultes où la phrase "Jésus, né de la vierge Marie" faisant parti d'une prière rituelle. Les stigmates de Jésus ne faisaient pas non plus l'objet d'une attention spéciale, de même que la longueur de la barbe de Jésus !
Quant aux démons, je n'ai pas de souvenir de catéchisme ou de pasteur ayant insisté sur leur réalité ou non. Mais c'est de cela que je voudrais dire quelques mots.
L'édition 2009 de La Révélation d'Arès et les commentaires insistent sur ce qui est l'essentiel pour tous, pratiquant une religion, ou croyants sans apppartenir à une religion, ou athées, ou autres, c.-à-d. comprendre que notre bonheur et notre salut dépend de nos efforts libres pour avancer vers le Bien.
Mais le Père nous y aide aussi. J'ajouterai ici que je trouve les commentaires empreints d'une naïveté comparable à celle que nous demande Dieu dans le premier "pilier de la pénitence", le non-jugement : "Sors de moi, Ô Naïveté" ("Le Pèlerin d'Arès" trimestriel, 1978 n° 2, p 50). Cela me semble élever le niveau de cette édition 2009 et nous demande un grand effort, en tout cas en ce qui me concerne.
J'en viens au point que je veux aborder, peut-être d'intérêt moyen, excusez moi.
La tentation provient-elle seulement de l'homme? Autrement dit les démons existent-ils?
Les démons auxquels d'ailleurs Le Coran fait allusion quand Il parle des djinns qui ont mal tourné. "Certes, Je remplirai la géhenne de djinns et d'hommes réunis ensemble".
Je me pose cette question parcequ'il arrive que l'on soit devant des tentations qui sont si subtiles et imprévisibles qu'on se demande comment un simple homme peut en être capable, devant une telle ruse. Et tous les jours nous disons cette prière: Je cherche refuge ...auprès du Dieu des hommes contre le mal du tentateur furtif, issu des démons ou issu des hommes" (Coran, Sourate CXIV).
Bien sûr, en écrivant cela , je reste persuadé que la seule voie du salut est notre pénitence, notre lutte contre le mal , d'où qu'il vienne.
Voilà. Merci pour votre blog, toujours si intéressant.
Jean-Claude C.


Réponse :

Il ne fait aucun doute qu'il existe autour de nous, invisibles, des forces maléfiques, de même qu'il existe des anges, des défunts, etc. La force maléfique qui m'éleva au plafond et me jeta à terre pendant la période des apparitions de Jésus en 1974 (voir le liminaire de l'époque) était un de ces démons, ou diables, ou quelque nom qu'on leur donne. Peut-être ce démon essaya-t-il de m'induire en tentation de peur, en tentation de fuir les apparitions de Jésus? Je ne sais pas. En tout cas, je ne ressentis pas cette tentation. Cette force maléfique cherchait surtout à me détruire, je pense.
La question que je soulève dans mon entrée de blog 0098 est celle du démon considéré comme tentateur. Je ne crois pas que nos péchés soient le résultat de tentations que nous inspire ce tentateur extérieur. Dans tout son contexte, La Révélation d'Arès nous fait bien comprendre que le responsable du péché, c'est l'homme, toujours l'homme, exclusivement l'homme. Quand elle parle du très grand et grave péché que fut le mauvais choix d'Adam (Rév d'Arès 2/1-5), elle ne dit nullement que son mauvais choix lui fut inspiré par le démon ou tentateur. Elle dit clairement: Adam..; qui a choisi d'être maître de la terre, etc, etc. Mais le tentateur peut être, outre soi-même, un autre humain: D'une femme aguichante qui fait perdre la tête à un homme, ne dit-on pas qu'elle est une tentatrice?
Quelle que soit l'origine du mal que je commets, j'en suis responsable et je ne me sauverai que par la pénitence.


15sep09 98C84
Faut pas exagérer quand même, je n'approuve pas le commentaire de Porthos ! [98C75}
Des cons !
À défaut d'être de vrais Pélerins d'Arès ou d'être de bons pélerins d'Arès, efficaces et près du prophète, [voilà] une autre option possible: cons de pélerins d'Arès !
"...sans même savoir si le Frère Michel est coupable ou non de ce mensonge (s'il y a un mensonge), je dis aux pèlerins d'Arès qui n'ont pas pris la défense de leur fondateur et chef de parti que ce sont bien des cons dangereux, parce qu'ils ne savent même pas de quel côté ils sont."
Je ne me suis jamais exprimé sur cette affaire Jabboune. Je l'ai vécu à l'époque, en direct comme [...]. Nous en avions été, l'un et l'autre tellement remués que nous avions décidé alors de nous rencontrer. Tout cela date un peu.
J'ai étudié les faits comme on fait une enquête, c'est à dire de très près et en posant comme postulat que le prophète n'avait pas menti, car je ne peux envisager cette option.
Or, à ce jour, je ne peux donner aucune conclusion qui soit rationnelle et qui englobe l'évènement sans contradiction.
Dans cette affaire qui n'a jamais été éclairci vraiment, je n'accuse pas. Mais en l'absence d'éléments probant, également je ne défends pas. Je n'en dirai pas davantage
Quant à moi, je préfère être un con qui oublie plutôt qu'un combattant lorsque je n'ai pas de certitude intime sur le combat que je mène.
L'absence de réflexion ou de questionnement n'est pas une voie que je revendique.
Je ne me considère ni dans un parti ni dans une armée et je suis bien étonné de constater qu'il existe encore des personnes (Porthos, intervenant plus haut) qui traite de con tout individu qui s'étant engagé dans une voie, ne souhaite pas y combattre aveuglément et sans souci de légitimité morale.
Toutes les grandes idéologies criminelles ont réussi en éliminant tous ces cons qui tenaient tant à leur libre arbitre.
Les religions [ont fait de même], quand elles sont devenues idéologies, que ce soit les chrétiens, ou les musulmans, ou d'autres.
Je ne vois pas quel danger je présente à être un con honnête. Par contre, je sais ce qu'un homme qui témoigne par pure conviction sentimentale ou idéologique est capable d'engendrer comme dégât dans le monde.
S'il devait en être, comme dans le monde, de la communication que nous présente Porthos où tous les coups sont permis, alors il faudrait dire adieu à tout espoir de changement libre et retourner à la loi du plus fort. Loi de celui qui au nom d'un credo définitif traite ceux qui gardent un esprit critique de cons dangereux (cons dangereux: dangereux, l'adjectif qui a tout autorisé dans l'histoire du siècle écoulé.)
pat/Spiritualités


Réponse :

Porthos (98C75), que je ne connais pas plus que je ne connais Belfess (98C32) ou Charlélly (98C59), qui ont des opinions contraires de la sienne, émet une opinion, comme vous émettez la vôtre.
Vous évoquez "l'affaire Jabboune", qu'une autre personne appelle "le mensonge Jabboune/Potay", et je vous remercie de ne pas utiliser le mot "mensonge", mais si "mensonge" il y eut dans ces circonstances qui remontent à 2005, je n'y suis pas pour grand chose personnellement, mais j'en assume la responsabilité en couvrant les protagonistes pour la raison simple qu'ils combattaient un site Internet hostile qui, semblait-il, pouvait être lui-même être mensonger à ses heures.
Lorsque des jeunes frères en âge de conscription, entre 1978 et 1996, revendiquaient le statut d'objecteur de conscience en invoquant "l'interdit du Frère Michel de servir sous les armes" — ce qui était faux, je n'ai jamais interdit à personne quoi que ce fût, y compris de servir sous les drapeaux — et que j'étais devant des enquêteurs pour cette question, je couvrais mes jeunes frères, sachant qu'ils risquaient la forteresse. Je me taisais. Je ne disais pas que j'avais lancé un interdit du service militaire, mais je ne disais pas non plus que je ne l'avais pas fait, je laissai planer un doute, qui toujours entraîna le bénéfice du doute pour les réfractaires. D'une certaine façon, je mentais selon votre définition.
Autre mensonge dont je me rendis coupable par le silence: Quand des lieux publics d'une grande ville de France furent couverts d'autocollants indécollables (l'opération de décollage au grattoir et solvant puissant coûta très cher en décolleurs et en temps) invitant à acheter La Révélation d'Arès et que la justice tomba évidemment sur celui "à qui profitait le crime": moi, bien que je n'y fusse pour rien, je couvris le coupable qui n'avait écouté que sa foi et son enthousiasme, son "idéologie" comme vous dites.
Je ne peux pas vous citer toutes les cirsconstances au cours desquelles j'ai dû, pendant 35 ans, en masquant certains faits et certains noms, couvrir mes frères. Il y en a eu plus qu'un honnête homme, que je suis, n'en aurait jamais souhaité assumer.

Eh bien, mon frère Pat, je ne le regrette pas. Je persiste et signe, comme on dit.
Notre mouvement est activement apostolique et, de ce fait, est inévitablement confronté à des situations désagréables où il nous faut ruser comme disait Jésus à ses apôtres: Vous serez doux comme des colombes et rusés comme des serpents. Ces moments, où tout n'avait certes pas le blanc-bleu des rosières, je les ai acceptés "par pure conviction sentimentale ou idéologique... capable d'engendrer des dégât dans le monde" comme vous dites, car beaucoup nous considèrent comme susceptibles "d'engendrer des dégâts dans le monde". Pourquoi, croyez-vous, avons-nous été placés en 1995 dans la liste des sectes? Pour l'Ordre et ses partisans le changement en bien, comme nous le voyons, est "dégâts". J'ai assumé ces moments où je ne me sentais vraiment pas un ange, des moments lourds. Je n'ai jamais regretté de les avoir assumés. Je me serais considéré comme un faux frère si je n'avais pas couvert "par pure conviction sentimentale" des frères incriminables, qui furent parfois des sœurs en d'autres circonstances.
Il ne s'agit évidemment pas pour moi de couvrir des mensonges délibérés, calculés et prémédités, des vols, des crimes, cela je ne le couvrirais certainement pas et vous le savez. Vous, vous parlez d'un fait vraiment dérisoire comparé aux calomnies atroces lancées contre nous par des organismes qui jouissent du bénéfice d'une certaine officialité, voire du soutien de l'Etat et naturellement des Eglises. Si je vous réponds ici, ce n'est pas pour donner de l'importance à un fait qui n'a pas la moindre importance à mes yeux, mais par considération pour l'homme que vous êtes, pat, et par cela seul.
Je respecte totalement votre liberté et votre conviction, pat, mais si j'ai longtemps regretté que vous ne soyez pas des nôtres, je me demande si je dois aujourd'hui le regretter, parce que nous avons besoin, petit reste, d'une grande cohésion fraternelle. J'imagine que Porthos, bien que n'étant pas pèlerin d'Arès, a choisi ce pseudonyme par allusion aux mousquetaires: "Un pour tous, tous pour un." Oui, l'union fait la force chez nous comme ailleurs.
Nous n'avons pas de doctrine, pas de dogmes, donc pas "d'idéologie" contrairement à ce que vous semblez prétendre, mais nous avons le foi, la foi dans une Parole qui nous guide vers un monde de Bien et dans cette mission nous devons nous soutenir fraternellement face à un système qui ne sèmera sûrement pas les pétales de rose sur nos sentiers.
Au reste, pat, vous qui vous présentez ici en moraliste et/ou rationaliste rigide, après cette "affaire Jabboune" je ne discute pas le fait que vous ayez "décidé de vous rencontrer", vous et une autre personne, mais pourquoi ne pas avoir décidé de me rencontrer, moi, puisque vous m'impliquiez? Je n'ai pas souvenir que vous me l'ayez demandé. Il n'est pas de question de conscience qui ne ressorte de recoupements et il fallait effectuer ceux-ci au moment où je le pouvais peut-être.

Comprenez-moi donc, si je réfute complètement votre commentaire ! Je crains que vous n'ayez pas assez réfléchi à tout ça.
Ce n'est pas par des forums sur l'Internet que notre mouvement avancera, s'installera dans le monde, mais par une implantation apostolique, une action. Toute action, surtout prolongée sur bientôt 36 ans, rencontre des complications qui se transforment en pièges, si on ne les contourne pas tant bien que mal. Ces tribulations sont inévitables; c'est le travail, le nitty-gritty de la mission, comme diraient les Anglais, et si je ne les avais pas parfois soutenues, nous n'en serions pas où nous en sommes aujourd'hui.
Tout est dans la mesure et je crois fermement que la mesure a été respectée.


15sep09 98C85  
Vous répétez souvent, et beaucoup le retournent malheureusement contre vous, que vous n'êtes qu'un homme.
Mais quel homme !!
Vous êtes un tel exemple d'amour du prochain, d'identification à l'autre et d'humilité. Malgré tout ce que vous partagez avec nous, on sent que vous êtes tellement plus loin dans votre réflexions, dans votre spiritualité et dans votre pénitence.
Vous auriez tellement plus à nous apporter, mais comment pouvez vous alors que nous nous arrêtons encore sur des détails insignifiants comme les stigmates !
Nous devrions avoir dépassé cela depuis longtemps. Pourtant, vous avez l'immense patience de répondre quand même, de nous parler encore et encore pour que nous puissions, même de loin, vous suivre.
On vous juge, on vous calomnie, on est cruel, en gros on vous crache à la figure, mais vous, vous répondez patiemment, avec amour, Vous vous identifiez à votre détracteur, vous le comprenez presque et vous tentez tant bien que mal de lui faire comprendre qu'il se fait plus de mal à lui-même qu'à vous ou au mouvement des Pèlerins d'Arès.
C'est vraiment l'Amour de ce Père trop aimant que l'on voit à travers vous. Si seulement nous travaillions sur ça, plutôt que de chercher la petite bête, nous qui jugeons "plus vite que notre ombre!!", qui nous emportons, qui sommes encore tellement individualistes et égoïstes.
Vous nous l'enseigniez cet été* : "On ne peut s'identifier au Créateur si on ne s'identifie à l'autre. L'Amour est au centre de l'Accomplissement."
Merci infiniment pour cet enseignement que vous nous livrez à travers vos écrits, votre comportement et vos actes; ainsi que pour celui sur la prière que vous nous avez livré cet été. Je ne sais pas comment étaient les autres prophètes, hormis ce que l'on dit d'eux dans la Parole, mais en tout cas vous, vous êtes vraiment un prophète formidable et nous sommes vraiment inconscients de ne pas nous rendre compte de la chance exceptionnelle que nous avons de vous avoir parmi nous.
Frère Michel j'espère que vous pourrez encore nous guider très longtemps.
Randy C.

Nota * : Le commentateur est un jeune homme qui fit partie du groupe de jeunes auxquels le frère Michel dispensa un enseignement sur la vraie piété pendant le Pèlerinage 2009.


15sep09 98C86  
Je trouve ce matin dans mon journal ceci:

"Face à des dizaines de milliers de manifestants en colère qui le traitent de "menteur", le président américain Obama montre sa détermination à se battre jusqu'au bout, en première ligne."

Et pourtant le président Obama défend les déshérités qui n'ont pas jusqu'ici bnéficié d'un secours médical suffisant.
Quoi qu'on fasse de justifié, on est toujours le "menteur" de ceux à qui on ne plaît pas.
Moi, Frère Michel, je suis fier de vous quand vous défendez "en première ligne" vos frères qui sont comme vous d'honnêtes humains et qui se sont trouvés dans des situation difficiles dont il se sont peut-être sortis maladroitement, mais dont ils devaient se sortir coûte que coûte contre des adversaires.

Jabboune


Réponse :

Êtes-vous le Jabboune de l'affaire du "mensonge Jabboune/Potay"? Ou empruntez-vous ce pseudo par association d'idées ou parce qu'ils vous paraît de circonstance?
Oui, j'ai entendu parler de ces "mensonges" dont on accuse le Président Obama, mais il s'agit là, je suppose, de promesses électorales appliquées d'une façon différente de celle préalablement annoncée, autrement dit, il s'agit de mensonge politique. On a bien accusé le Général de Gaulle de mensonge politique, quand après avoir soutenu le mouvement "Algérie Française" il réfléchit et liquida l'Algérie Française au contraire. Y avait-il autre chose à faire?
Tout cela est très éloigné de ce d'aucuns appellent "le mensonge Jabboune/potey" où je ne sais même pas s'il y eut ou non mensonge, mais je vous remercie pour votre confiance.


15sep09 98C87  
"La force qui m'éleva au plafond..." [réponse à 98C83]
Voilà une information aussi insolite qu'intéressante. Elle apporte de l'eau au moulin de l'athéisme qui s'appuie sur l'adage suivant: le meilleur moyen d'échapper aux forces maléfiques est d'ignorer l'existence de Dieu. Car on sait depuis longtemps que tous ceux qui se sont intéressés à Dieu de trop près ont trouvé Satan sur leur route.
C'est pourquoi j'ai dit dans l'entrée précédente que la confiance que vous nous demandez fait peur, car elle peut réveiller ces forces maléfiques qui se sont déchainées contre vous. Dominer cette peur me parait un point capital pour entrer pleinement dans La Révélation d'Arès.
Si l'athéisme vous protège en apparence des forces maléfiques, en contrepartie il vous enlève votre éternité. Le monde, par crainte, a adhéré à ce marchandage.
Pour faire plaisir à tout le monde, on peut dire que l'athéisme est comme la science, il vous emmène confortablement vers la mort. À chacun de se débrouiller pour la suite !
Jacques P.


16sep09 98C88
Frère Michel, les gourous et chefs ou présidents de religions, de mouvements de toutes sortes, ne sont jamais impliqués dans des circonstances soulevant des doutes sur leur honnêteté ou des situations vraiment embarrassantes (Ce que je vois ici n'est pas vraiment une situation embarrassante pour vous). Ils sont comme les rois blancs et rois noirs, ils ont des adjoints dont le rôle est de tout encaisser à leur place. Ils n'ont pas de blogs faits par eux-mêmes, où ils répondent eux-mêmes. On ne les voit pas dans des débats publics et quand il y a débat public tout est soigneusement préparé et encadré, pour qu'ils s'en sortent bien et ne se trouvent pas en face de gens gênants.

Vous, frère Michel, vous encaissez tout, vous êtes là tout seul et je suis sûr que vous ne dissimulez pas de commentaires qui vous compromettraient réellement (ce que j'ai lu là, ce n'est pas grand chose). Vous les publieriez.
Tout ici ne peut que plaider pour votre grande sincérité et votre hauteur d'âme.
Alors, d'un côté je vous admire, surtout à 80 ans, d'être là sur la brêche et avec une patience...

mais d'un autre côté, je me demande pourquoi vous perdez votre temps à ce blog et à des échanges inutiles avec des commentateurs qui n'ont pas grand chose à vous dire d'important ou de factuel.
Recentrez votre blog sur le spirituel pur et simple ou bien n'y publiez que des commentaires positifs, dont nous les actifs pas bavards avons besoin, parce que nous sommes dans la rue.
Je ne suis qu'un distributeur de tracts et un interlocuteur de rue, mais qui ne perd pas son temps dans des forums qui, si j'ai bien saisi comment ils fonctionnent, sont créés et dirigés par des blablateurs que je n'ai jamais rencontrés sur le terrain et qui ne font pas grand chose apparemment, ni pour ni contre, pour faire avancer ou reculer quoi que ce soit.
Ce n'est pas par des blablablas sur internet (les blablateurs vont protester; ils n'ont que ça à faire) que nous avons, vous et tous les frères et sœurs actifs, créé le réseau de missions qui a amené l'accomplissement (même modeste pour l'instant) de La Révélation d'Arès là où il en est en ce moment contre vents et marées.
Merci d'avoir rappelé que notre cause n'avancera pas dans des forums, mais avancera par des actions qui provoquent fatalement des tribulations. J'aime ces mots que vous avez employés. Nous ne sommes pas des stratèges en chambre. Nous sommes sur le Champ !

Vous avez tout mon amour fraternel et toute ma confiance.
Minimus


16sep 98C89
Concernant la remarque de Jacques P. (15sep09 98C87), je pense qu’il est plus vraisemblable statistiquement que je tombe tout seul de mon échelle en cueillant des cerises, en changeant les rideaux, en marchant sur du verglas ou que je meure de maladie ou d’un accident de voiture, que d’être projeté par des mains invisibles du haut du plafond.
Ce que par contre je ne comprends pas, en relisant vos réponses aux commentaires précédents, c’est le fait que Dieu l’autorise.
C'est déjà assez difficile de trouver en 2000 ans un prophète qui aie votre classe, qui ose monter sur le Parvis (Rév d'Arès 2/16) pour l'envoyer combattre l'indifférence du monde, secouer ses frères qui "manquent de discernement et qui se trompent d'adversaire, révélateur de leur christianisme mou et décervelé" (Art. point critique du 14.08.1988, trimestriel déc.1988), Comment alors Dieu, qui vous dit: Mikal l’ami ! (xxxix/16), peut-il vous laisser seul sur le ring de boxe, terrassé par "une force maléfique (qui) cherchait surtout à me détruire" (Votre réponse 14sep09 98C83)
"Satan ne peut jeter le pauvre Job dans le malheur et la maladie par ses propres moyens mais seulement avec l'une autorisation de Yawhé: "mais tu ne porteras pas la main sur lui !" (Job 1/12)(Votre réponse /11sep09 98C67).
A l’inverse du cas de Job, Dieu aurait autorisé un démon à mettre la main sur vous, ou bien est-ce que le mal aurait pris au fil du temps sa propre liberté d’agir, puisqu'il frappe au hasard ?
Je crois complètement à La Révélation d’Arès, mais honnêtement, il y a de plus en plus de passages, que je croyais avoir compris, mais pas du tout !
Merci de votre patience.
Marc V.


Réponse :

Vous êtes un Pèlerins d'Arès déjà ancien. Je ne comprends pas votre question.
Le mal existe. C'est l'homme qui l'a créé (Rév d'Arès 2/1-5, vii/8-16) et je me trouve moi-même sans cesse en butte à ce mal, dont je suis héritier, qui sévit dans toute l'humanité, sur toute la terre et sous mille formes.
En 1974, un démon passa, que mon existence horripila, il s'emporta, tenta de me tuer. C'est le mal. Étant pécheur et donc moi-même producteur de mal, que pouvais-je faire contre ça ?

Dieu avait-il ou non "autorisé" ce démon? Je n'en sais rien, mais ce n'est pas sous cet angle que je vois cet épisode de la période fatidique du 15 ajnvier au 13 avril 1974. Ce démon, c'était de toute façon le mal dont je suis co-producteur par mon péché. Ce que je sais, par contre, c'est que Dieu me miracula sûrement, afin que je ne succombe pas à cette brutalité démoniaque.
Demain, une guerre peut survenir et je vais m'y trouver malgré moi mêlé, peut-être éprouvé ou tué parmi des millions d'hommes et de femmes, parce que, que je le veuille ou non, je suis comme pécheur co-acteur du mal et appartenant à la race des fauteurs de mal, et cette guerre Dieu ne l'aura pas plus "autorisée" qu'il n'autorisa le démon à me jeter par terre depuis le plafond. Cette guerre hypothétique ou ce démon qui tenta de ma tuer, c'est la même chose: des effets inévitables du règne du mal sur terre.
Le démon est actif en mal comme la guerre est active en mal et comme (il suffit de lire les journaux) mille choses sont actives en mal dans le monde tous les jours. Pour autant Dieu n'autorise pas le mal, mais il a créé l'homme libre du bien comme du mal et le Créateur s'est ainsi conditionné lui-même à sa propre création. Il ne peut pas retirer à l'homme cette liberté.
Le seul moyen de faire reculer le mal est la pénitence des hommes. C'est pourquoi notre mission: Appeler le monde à la pénitence ou plus exactement y moissonner les hommes encore capables de pénitence, est d'une importance universelle.
Je pensais que vous aviez compris cela. C'est le Message fondamental de La Révélation d'Arès.


16sep09 98C90  
Je vous écris ceci en commentaire de votre réponse 98c84 à Pat [...]
J’ignorais la façon dont vous voyiez les choses, les raisons pour lesquelles vous ‘’couvriez’’ vos frères.
J’ignorais tous ces détails et j’en suis ému.
Je me rappelle encore la fois où, avant de commencer une réunion à Paris, il y a presque 20 ans, vous vous étiez tourné vers moi en me disant: "Mon frère Laurent, vous m’avez valu une convocation à la gendarmerie !" pour des faits du genre de ceux rapportés dans le blog. Je vous assure que je n’en menais pas large ce jour-là, moi tout frais pèlerin, jeune et pas bien malin.
Vous avez raison. Je trouve que c’est une façon d’agir généreuse.
C’est cet état d’esprit-là qui est juste, et je vais m’employer à l’acquérir.
Laurent M.


24sep09 98C91  
Bonjour frère Michel,
Je ne sais si vous avez reçu cette proposition de commentaire et si elle est intéressante, car il y en a eu quelques autres depuis, mais à tout hasard et comme je pars une semaine... [...]
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La découverte et mes relectures de l'édition 2009 de La Révélation d'Arès sont une joie pour le croyant et le missionnaire.
Parlant de plus haut, cette édition facilitera le travail constructif avec les croyants non sectaires et les incroyants. Je pense en particulier à l'élargissement de la signification de Marie pour ceux qui n'ont pas une représentation sexuée de Dieu comme ceux marqués à divers degrés par la spiritualité orientale. Je pense aussi aux athées humanistes pour ces histoires de démons cornus ou de stigmates qui doivent les agacer.
Je comprends votre déception ou votre tristesse en voyant certains quitter apparemment le petit reste dans lequel il n'étaient probablement jamais entrés. Dommage pour eux mais la mission sera plus forte avec un collectif de frères libres de "bondieuseries" et décidés à agir. Comme à l'époque de notre frère Mouhamad, leur combat pour la survie a été plus efficace sans les "hypocrites" dénoncés par le Coran. Nous avons déjà connu une sélection naturelle dans le petit reste quand vous avez mis les point sur les i en ce qui concerne la réincarnation. C'en est une autre salutaire.
Trois obstacles mentaux ont fait trébucher quelques personnes, celles sur Marie qu'on peut lier à un héritage culturel de dévotion passive et confite, celles sur le démon pour ceux qui trouvent plus facile de rejeter le mal sur un autre, et les questions sur les stigmates qu'on peut lier à une culture de dolorisme. Ces thèmes sont un classique du fond de commerce des religions: elles les cultivent chacune à leur manière, créant des différences pour mieux nous diviser et détourner notre piété. Cette culture religieuse est ce citron qu'il faut cesser de lécher (Rév d'Arès xxxiii/17).
J'ai un grand respect et de l'amour fraternel et filial pour Marie, mère de Jésus (toujours nommée ainsi dans le Coran). Nous connaissons très peu de sa vie en dehors de la prédication de Jésus, mais tout laisse à penser qu'elle fut une mère exemplaire et que son éducation a porté ses fruits. Mais j'ai le même respect et amour filial pour Khadija, première musulmane bien avant les hommes, qui a été si précieuse comme soutien du prophète Mouhamad ; "les femmes des prophètes sont les mères des croyants" comme dit le Coran. J'ai le même respect et amour pour sœur Christiane, votre épouse, dont je connais mieux les qualités et le dévouement. Pourquoi aimer l'une plus que l'autre, que toutes ces autres femmes connues et inconnues qui ont soutenu et aidé les prophètes ? Pourquoi détourner vers elles notre dévotion à Dieu, au risque de dévier vers l'iconolâtrie voire l'idolâtrie ? Malgré tout le respect que je porte aux croyants dévots, je ne vois pas grande différence entre le pieux catholique qui égrenne interminablement son chapelet en récitant le "Je vous salue Marie", le pieux musulman qui égrenne son chapelet musulman, l'hindouiste qui répète ses mantras ou le bouddhiste qui fait tourner son moulin à prière.
Je n'ignore pas que la Création du Père est ou delà de tout ce qu'on peut décrire, Sa Création matérielle comme Sa Création spirituelle. Le Coran nous parle des djinns. Que sais-je d'eux ? Ils existent donc, mais est-ce si important d'en savoir plus ? Le livre de Job nous apprend certaines choses sur le tentateur extérieur et ses attaques, certains hommes pieux comme Jean-Marie Vianney, le curé d'Ars, ont eu à en subir, vous même avez eu droit à une lévitation involontaire suivie d'une lourde chute avant la veillée 38, il n'est pas question de nier tout cela mais de ne pas détourner notre attention, car ce qui doit nous mobiliser, c'est la lutte contre le tentateur que nous sommes pour nous-mêmes et pour les autres.
Je compatis à la souffrance de Jésus crucifié et j'ai en horreur les châtiments iniques que les hommes s'infligent mutuellement, mais je compatis aussi aux souffrances de nos frères juifs frappés par l'holocauste, à celles des victimes innocentes des armées et polices, qu'elles soient françaises, américaines, israéliennes, iraniennes, chinoises ou autres, comme à celles de leurs rebelles souvent appelés terroristes. Mais pourquoi s'attarder à cette douteuse contemplation de la souffrance ? Pourquoi même s'en infliger comme ces catholiques philippins qui se clouent les mains, ces chiites qui se frappent le dos de chaines, ces hindouistes qui se percent le visage et le corps ? Nos frères chrétiens cont moins doloristes que par le passé, mais ce sont maintenant les media qui compensent en nous abreuvant d'images sanglantes. Si l'anatomie préoccupe certains, puisque le Coran dit que Dieu est plus proche de nous que notre veine jugulaire, ils devraient peut-être rechercher la place exacte de la présence de Dieu dans notre organisme...
Les doutes de certains ne font que confirmer que cette nouvelle édition nous permettra, si nous accomplissons le Dessein du Père, de franchir une nouvelle étape. Dans notre pénitence, par déculturation, et dans notre mission par un parler plus haut, plus universel.
Les frères ont la main en-haut, vers l'enseigne (Rév d'Arès xvi/14).
De haut [la pieuse gente] choit, blanche comme l'Eau (Rév d'Arès, xlv/15).
Milang Gompeng


Réponse :

Non, je n'ai jamais reçu ce commentaire que vous m'avez adressé, à ce que je vois, le 10 septembre à webmaster@freesoulblog.net. Voilà qui confirme, ce qui a été déjà dit dans ces pages: Cette boîte d'Email fonctionne mal.
J'ai posé une réclamation à mon serveur, qui ne voit pas pourquoi je ne reçois pas tous les messages envoyés à cette adresse.
Vous avez eu la bonne idée de renvoyer ce commentaire à une autre de mes adresses, malheureusement une adresse que j'ai quasiment abandonnée parce qu'elle n'est pas du tout pratique. C'est une chance que Nina soit tombée dessus.
Je suis en train de procéder à une réorganisation de mon courrier électronique et notamment à la ré-orientation de webmaster@freesoulblog.net vers un autre serveur et un compte Email. Ça paraît fonctionner.


XXxxxXX 98C92
Texte.
Signature


Réponse :

xxxxxx xxxxx xxxxxx

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