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24 août 2006 (0039)
sous le clocher propos sur la foi
Maison de la Sainte ParoleDans les derniers jours du Pèlerinage, un pèlerin inconnu m'aborde sous le clocher. Je lui dis gentiment: "Je ne fais plus la conversation, sauf nécessité du service. Mon cardiologue dit que je parle trop passionnément, que ça éprouve mon cœur. "
Il approuve de la tête, mais parle quand même: "On ne se connaît pas... Je suis seulement de passage. J'ai voulu voir l'endroit où La Révélation d'Arès a réveillé dans le monde une foi très simple. La foi dans le Bien, la foi qui conduit à Dieu, même si au départ Dieu n'intéresse pas, comme la simple abeille conduit finalement à la ruche. Je voulais aussi vous exprimer mon respect. Vous avez pendant trente-deux ans défendu sans concession cette simplicité qui dissout la religion. De plus, quelle navigation difficile contre le vent de la déchristianisation..."
Moi: "...et de la déspiritualisation, ce qui est pire. J'espère qu'en retrouvant les idées simples qui forment cette Parole sur le lieu aussi simple où le Créateur l'a redonnée, votre volonté de poursuivre le Bien sera renforcée! Ici l'homme retrouve la capacité et le plaisir de l'enfant d'entendre indéfiniment une histoire qu'il connaît déjà. "
Lui: "La Révélation d'Arès répond à toutes les questions. Pas besoin d'interprétations discutables, de théologie, de dogmes. Il n'y a qu'à lire et accomplir."
Moi: "J'ai quand même dû rappeler le vrai (Rév d'Arès II/8-9, XX/2, XXXIV/1-4), c'est-à-dire annoter abondamment, parce que la culture religieuse ou les habitudes de penser brouillent ou déguisent le vrai, mais peut-être êtiez-vous athée ou agnostique, sans préconçus. "
"Non, je suis juif." Il lève les yeux vers le clocher. "Depuis des siècles, les religions que vos écrits appellent abrahamiques voisinent sous le même clocher, le même minaret ou le même tabernacle sans se tourmenter de ce qui les désunit. J'en ai pris conscience en découvrant La Révélation d'Arès." Il devient emphatique: "Là est le crime, le déicide!" Il a un geste large et las vers l'Orient. Il pense au Liban, c'est sûr. Sa voix s'adoucit: "Et pourtant, le Coran n'est jamais qu'une bible arabe, au fond, comme la bible chrétienne n'est jamais que la bible juive."
Moi: "La finalité de la foi n'est pas la Parole. La Parole, c'est la philosophie du Père, le virtuel. Au pèlerinage on philosophe légitimement sur le salut, le bonheur, la fin des soucis et des douleurs terrestres, la vie changée (Rév d'Arès 30/11) et le monde changé (28/7), mais sitôt fini le pèlerinage, le réel nous attend. C'est accomplir qu'il faut. Par là se jouent vraiment le destin de l'individu par la pénitence et le destin du monde par la multiplication des pénitents. C'est là que tous les hommes bons, même ceux qui ne reconnaissent pas la Voix du Père (Rev d'Arès 28/12) et même ceux qui le haïssent (28/14) contribuent au changement du monde, à la Vérité finale (28/7). Ce clocher n'évoque pas que les religions abrahamiques. Il évoque le monde entier."

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Commentaires:
24Aou06 39C1
[Le blog dit:] "Ce clocher n'évoque pas que les religions abrahamiques. Il évoque le monde entier''.
Avec ce frère juif comment ne pas penser à la Shema, prière que nous prononçons ensemble:
Shema Israël = Écoute Israël,
L' Éternel est un, l'Éternel est notre Dieu
Tu aimeras l' Éternel, ton dieu,
de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force...

[Cette prière,] nous la ramenons à nos lèvres, car elle n' a pas encore été accomplie. Israël, c' est lui, moi, c' est avant de la connaître (Rév d'Arès 25/4) la boulangère à qui j' ai acheté du pain ce matin! Israël, c' est la potentialité en chaque homme où un cœur bat de reconquérir l' mage et ressemblance (Genèse 1/27) et de faire survenir le Jour (Rév d'Arès 31/8). En effet, puisque le Père donne le change (Rév d'Arès XLVII/3) à chaque homme qui décide de changer sa Vie. Sur cette terre, on n'a jamais été aussi nombreux. Des murs qui pleurent (Rév d'Arès XXV/2) et qui doivent cesser de pleurer, il y en 6 milliards bâtis sur chacun de nous comme autant de petits Israëls en guerre, puisque personne n' est encore libéré de la prison du mal. Cela fait beaucoup et se sera long, mais quelle espérance pour celui qui l' accepte!
Le frère aîné (le témoin de La Révélation d'Arès, 16/1), lui aussi soumis au vieillissement, aggravé de surmenage, nous montre bien la crise consécutive à notre choix malheureux: La dislocation anormale d 'un être créé à l' origine corps, âme et esprit (Rév d'Arès 17/7) au moment où comme beaucoup d' hommes âgés son expérience et son chemin parcouru le rendraient bien précieux pour ce monde.
C'est l'occasion de rappeler que, en accomplissement, "Nous croyons que la mort sera vaincues !" (Rév d'Arès, édition bilingue, appendice: "Nous Croyons, Nous Ne Croyons Pas"). Même si Mikal [le frère Michel] ne peut plus prendre la parole en public, heureusement il y a ses écrits, son blog, son souffle qui ne cessera pas et son regard qui lave, un peu comme le ciel avec du soleil après la pluie...
Abel.

25Aou06 39C2
J'envie par moments ces frères qui trouvent tout simple dans La Révélation d'Arès, parce que, me situant dans la perspective de traduire par du concret  cet Appel de Dieu — notamment comment rendre accessibles aux hommes d'aujourdhui la pénitence, le salut, l'existentialisme arésien, etc. — , je suis confronté à une "prise de tête", sauf à rester dans des grandes généralités avec majuscules Amour, Liberté, Bien, etc., que jutilise de toute façon, parce que je peine à entrer dans la réalité.
Même si je me dis que cest mon manque de rayonnement spirituel qui est le principal frein à ce travail, je crois que la conscience partagée du pourquoi de ce rayonnement (pénitence, moisson) et de sa finalité (Éden), donc mise en mots, lui est nécessaire pour qu'il y ait accomplissement (le frère est parleur). 
Je rencontre souvent des personnes qui ont une grande foi , mais celle-ci ne les porte pas à changer leur vie (Rév d'Arès 30/11) ou à agir pour le  changement du monde (28/7). De ce fait, leur foi nest pas source de bonheur mais plutôt les maintient dans une sorte de décalage qui justifierait une difficulté à vivre dans ce monde. Pour être honnête, je nen suis pas si loin parfois. Mais je me soigne, je cherche le Tout Autre, l'échappement hors des bonnes raisons, des évidences, des bonnes manières, des habitudes, des attitudes et des pensées respectables, finalement  tout ce qui est l'écorce du péché.
La Révélation d'Arès m'a fait renouer avec la foi. Mais elle a fait plus encore. Cest la première Voix au monde qui a dit : "Oui, tu as raison de vouloir t'échapper de cette prison du monde. Oui, ta recherche d'un autre soi et d'un autre monde est légitime. Va!" De cela je lui suis infiniment reconnaissant.
Salvator

26Aou06 39C3
C’est du miel (Rév d’Arès XII/4-5-6) ! Du bon miel pour le cœur, pour l’âme et la conscience. Du qui vous met en joie, vous remplit d’enthousiasme !
Pour ce miel, la simplicité de votre sagesse et les perspectives qu’elle ouvre, merci du fond du cœur, Frère Michel !
D. Faber

26Aou06 39C4
Moi aussi au début je croyais que La Révélation d'Arès répondait à tout et puis, après, j'ai eu une phase où je me disais que, tout compte fait, elle ne répondait pas à grand chose.
Aujourd'hui je me dis que c'est moi qui dois devenir la réponse, puisque si on ne l'accomplit pas, si on ne change pas son cœur, cette Parole ne sert à rien.
Bernard dlF

26Aou06 39C5
L'Islam d'Ahmadi-Nejad, votre chouchou [allusion à #0026] que vous et vos amis connaissez mal, a compris depuis longtemps que si on laisse chaque individu accomplir sa vie, comme vous dites, l'anarchie s'installe et qu'il faut l'empêcher. L'Islam a réussi ce que votre religion va réussir tout pareil[lement], si elle prend sur le peuple comme du plâtre sur le mur: Installer une dévotion soi-disant sans chefs, mais où les dirigeants sous d'autres noms se diront "descendants du prophète" et se donneront au nom de Mikal le droit de couper (au propre et au figuré) toutes les têtes pleines d'idées qui les gênent. Comme dans l'Islam. Et on dira La Révélation d'Arès est accomplie.
L'hyperdanger dans votre religion, c'est l'illusion de justice, de liberté et de bonheur sur terre qu'elle va répandre. Vous avez d'ailleurs bien compris le danger parce que, comme vous dites au Juif [mot original injurieux, remplacé] venu voir à votre pèlerinage ce qui s'y passe, vous avez "annoté abondamment" votre livre pour bien insister sur cette justice et cette liberté, mais ça ne marchera pas. L'Évangile de Jésus, le Coran aussi d'ailleurs, insistent bien sur l'abolition des pouvoirs humains sans besoin d'annotations abondantes, mais les docteurs en théologie ne sont pas que des docteurs en bavardage [Rév d'Arès 32/6], ils sont surtout docteurs en faiblesse humaine. Ils ne laisseront jamais aux hommes le temps de prendre de la force.

Réponse :
Cher Anonyme, notre sous-singe, car je suis convaincu que c'est bien vous, je suis d'accord avec vous sauf sur un point: Je ne crois pas à la fatalité d'une Parole irréalisable, d'un Appel ou d'un Retour (Rév d'Arès I/1, VIII/X, LV/25) du Père qui resterait indéfiniment inaccompli. Si je doutais des possibilités d'accomplissement de La Révélation d'Arès, si j'étais comme vous un désespéré, je me serais dérobé depuis longtemps, je ne serais jamais sorti du monde (Rév d'Arès 2/16), parce que j'aurais trouvé plus de gloire à flatter les incrédules et les moqueurs qu'à les affronter (2/17), flatterie à laquelle vous vous livrez peut-être en ce moment même et je vous en plains. Mais je suis bien d'accord avec vous sur la réalité d'un danger, du danger que la vie spirituelle que je m'efforce d'installer définitivement dans les cœurs de mes frères et sœurs tourne en religion dans les générations à venir et que les calamités du monde changent seulement de substrat idéologique sans changer le système. J'ai en effet souligné "abondamment" l'existence de ce danger dans mes annotations, après que je l'eus très vite discerné en écoutant les interprétations des premiers pèlerins des années 1975 à 1978, interprétations qui tendaient à complaire à leurs idées rationalisantes, mais non au sens réel de la Parole d'Arès.
Du reste, le Créateur lui-même annonce la grande difficulté de la réussite, puisqu'il ne nous berce pas d'illusion: Quatre générations ne suffiront pas (Rév d'Arès 24/2) pour réussir, dit-il. Non seulement je crois à la réussite finale, mais je crois que la foi dans cette réussite finale est la gloire même (Rév d'Arès 37/9) de mes compagnons et compagnes d'aujourd'hui, qui ne connaîtront pas sur terre la réussite de leurs efforts avant que ne survienne le Jour (Rév d'Arès 22/13, 31/8).

26Aou06 39C6
Tout au début, après avoir lu une ou deux fois La Révélation d'Arès, je crus avoir compris et même mieux, j'ai cru avoir la vérité.
Mon premier pèlerinage me ramena vite à la raison. Depuis quatorze ans, après autant de  pèlerinages, grâce à la prière, au "Pèlerin d'Arès" trimestriel et puis annuel, aux échanges entre frères, je pris conscience du désert spirituel d'où je venais.
Le sable du désert spirituel et de la culture recouvrent ma tête. Tous les jours je dois me dégager de vieilles croyances et de certitudes, bref, du péché, donc de l'erreur dans laquelle je suis.
La Parole, "la philosophie du Père", m'a ouvert un horizon de liberté. Sortie de l'Écriture, la foi en elle-même me permet de plonger dans cette Mer si profonde où mon regard, encore trouble et même aveugle, me donne la possibilité d'exprimer mon libre arbitre, de vivre avec les différences, de regarder l'homme et la nature avec respect et gratitude. Tout cela me donne un envie forte de participer à cette création.
Dans La Révélation d'Arès je trouve les clefs qui m'ouvrent les portes de l'incompréhension, les verrous des prisons mentales.
À Arès, le Père me ré-apprend la liberté! Les religions, les étiquettes, le jugement n'ont plus lieu d'être. Je reprends conscience du Tout, je vibre avec l'universel.
Au-delà du titre de Pèlerin d'Arès je me sens surtout un enfant du Père, enfant donc frère de tous. Je prend conscience que toute mes pensées et tous mes actes doivent être pour le bien de tous.
Arès est par-dessus tout le retour de l'homme dans la loi divine.
Alain J.

26Aou06 39C7
"C’est accomplir qu’il faut."
En parlant d’accomplissement, en voici un exemple. J’ai récemment visionné le film "Joyeux Noël", qui retrace la fraternisation de troupes allemandes, françaises et écossaises les 24 et 25 décembre 1914.
Sur les no man’s lands jonchés de cadavres des hommes ont dépassé leur peur de mourir et les ordres (les menaces) de leurs chefs pour vivre un cessez-le-feu réellement salutaire. Ils ont pu enterrer dignement leurs camarades et surtout retrouver toute leur humanité au milieu de l’horreur qu’était la survie dans les tranchées. Cette histoire vraie nous montre parfaitement la contagion du bien et nous donne donc l’espoir qu’un jour les hommes seront capables de retrouver le chemin d’Éden.
Ne nous arrêtons pas de recréer [notre existence à travers] cette Parole qui dit [en substance]: "Priez sincèrement, recréez-vous bons chaque jour un peu plus et appelez les hommes à reprendre en main leur vie selon leur conscience, non plus guidée par la peur et les injonctions des chefs, mais par leur cœur et leur âme, tout simplement."
Toute cette année, je compte y travailler à ma mesure, mais avec assiduité. Bonne Année spirituelle à tous.
Françoise L., Bretagne

26Aou06 39C8
C'est l'évidence qu'aucun bonheur planétaire ne serait jamais possible sans la volonté de bien d'une multitude d'individus, et d'abord de soi, libre de tout harnais (Rév d'Arès 10/10) hormis du harnais de cette volonté. C'est ma raison, soutenue par mon cœur, qui a conforté l'attachement profond et indéfectible qui me lie à La Révélation d'Arès.
Le flambeau qu'il faut passer aux générations futures, c'est celui-là, la conscience aiguë qu'absolument tout est suspendu à notre liberté.
Chantal F.

27Aou06 39C9
Ceux qui nient La Révélation d'Arès, par pur parti pris s'ils ne l'ont jamais lue ou par méprisable mauvaise foi s'ils l'ont lue et étudiée, vivent, dans les deux cas, dans la peur de ce qu'elle dit et qu'ils prétendent vouloir "épargner" au monde à l'inverse de ce que la Parole veut changer dans le monde: le sens de la foi et le sens de la liberté. Dans ce blog 0039 on voit parfaitement ce qui forme le corps de ce qui oppose les Pèlerins d'Arès au monde et que les Pèlerins d'Arès, pour autant que je les aie observés, ne réalisent pas toujours très clairement.
C'est ce qui a mes yeux authentifie totalement La Révélation d'Arès, son prophétisme. Les prophètes d'Israël, dont les discours remplissent la Bible, sont tous contre la religion établie, mais les enseignements rabbiniques et ecclésiastiques ultérieurs ont masqué ce rejet évident de la religion. Les croyants lisent les prophètes sans comprendre, comme des perroquets, et ne remarquent même plus leurs factums lancés contre la religion et le clergé. La Bible, pour finir, a perdu toute sa signification, de ce fait.
Mais voilà La Révélation d'Arès qui reprend ce thème inépuisable: Il faut abolir la religion et, comme dit frère Michel, "la politique, son rejeton," c'est "le réel," c'est ce qu'il faut accomplir. Si vous lisez les prétendus message du ciel de Lourdes, Garabandal, La Salette, Guadaluppe, et d'ailleurs, vous ne trouvez, sauf peut-être dans le message de Fatima, aucun Appel comme celui d'Arès. C'est vrai qu'il faut la liberté totale pour y voir clair dans ce tapage où le Message arésien prend une place unique. Mon père, qui avait échangé une correspondance avec vous [frère Michel] entre 1976 et 1983, m'avait dit tout ça, mais je le redécouvre et le comprend maintenant grâce à votre blog.
Hubert dP

Réponse :
Vous dites: "Mon père qui avait échangé une correspondance avec vous..." Ce passé antérieur me laisse penser qu'il a quitté ce monde. Je suis peiné d'apprendre que cet homme, un des rares savants en Écritures qui m'avaient manifesté leur estime à la fin des années 70 (je ne me souviens pas qu'il m'ait écrit au-delà de 1980), qui m'écrivait comme écrit un ami, n'est plus parmi nous pour parler de La Révélation d'Arès avec prudence, mais parler juste. Cependant, les apparitions de Jésus m'ont appris que ceux qui ont quitté ce monde combattent encore pour défendre la Vérité.

27Aou06 39C10
Être libre du harnais (Rév d'Arès 10/10) des idées toutes faites, vous le soulignez pas seulement dans 0039, mais aussi dans 0038 et dans d'autres brèves avant celles-là. La liberté est le fil rouge dans tout votre blog et avant le blog dans tout ce qu'on peut lire sous votre plume. Je me souviens d'une causerie que vous aviez animée dans les années 80 pendant les réunions après les prières dans l'exèdre où on s'assayait à vingt ou trente autour de vous. On ne comprenait pas toujours bien ce que vous disiez, mais maintenant je comprends. Si on n'est pas libéré des idées qui structurent l'esprit moderne et qui ont donné à la moisson [mission ou apostolat] ce catastrophique caractère socio-rationaliste pendant dix ans, on ne comprend pas ce qu'il faut accomplir et comment il faut l'accomplir.
Je ne comprendrais pas que ce pèlerin juif n'ait vu que La Révélation d'Arès dans la lettre sans la voir dans l'esprit de l'action qu'elle lance, si je n'étais pas moi-même passé par là il y a vingt ans. [Frère Michel,] heureusement que le Père vous a laissé la vie l'année dernière! Vous pouvez continuer à insister sur la Vérité "toute simple" pour ce frère juif mais pas évidente du tout puisqu'il n'avait pas vu que "le virtuel" du sacré doit faire place au "réel" du profane, autrement dit le Bien, dans le monde. C'est trop manifeste pour que l'homme qui se croit toujours très intelligent le voie du premier coup d'œil.
Patrick

27Aou06 39C11
Il y aura 16 ans en janvier prochain, que sur la Cinq [chaîne de télévision aujourd'hui disparue] que je prenais connaissance de vous, frère Michel. Après avoir envoyé un chèque de 300 frs et avoir reçu 15 jours plus tard 2 Révélation d’Arès, une facture et les frais de port qui couvraient le montant de mon envoi, j’ai apprécié cette rigueur, surtout que j’avais demandé que vous gardiez la monnaie au cas où j’aurais trop versé!
C’était simple, j’ai ouvert ce livre et tout de suite j’ai capté, oui, j’ai senti le Vrai. Ce n’est pas explicable, c’est comme ça, oui. Jésus vous a parlé [en 1974], oui, et en 1977 Dieu à travers le Bâton de Lumière vous confirmait le Message de 1974. Tellement simple! Tellement naturel pour moi, petit homme au cœur d’enfant, car ce que je retiendrais de mes parents qui ont tout deux quittés ce monde, c’est leur simplicité, leur goût du travail, leur fort caractère aussi — il ne fallait pas trop les chatouiller — mais avec le cœur sur la main et souvent la larme aux yeux qui répondait aux évènements positifs ou négatifs des aléas de la vie courante. Je suis leur rejeton et c’est une force pour Dieu — l’un sans l’Autre, rien n’adviendra, c’est aussi cela l’Amour —, je ne crains pas les moqueries, j’aborde les gens et je plonge au fond de leur regard y chercher cette éventuelle émotion qui percera la carapace formée en protection contre le mal, le mensonge, la méfiance.
Je lis qu’un de mes frères a toutes les peines du monde à trouver la simplicité pour devoir convaincre des croyants que tout est simple, parce qu’ils restent campés ne voyant pas que les systèmes et religions ont toujours étaient vecteurs des maux du monde. Je peux répondre, et aussi répondre au sous-singe qui titille souvent le frère Michel, que chacun est un univers à lui tout seul, il n’y a qu’à s’observer, se faire confiance. Moi, qui suis sur un fauteuil roulant, je vis, pourquoi? Je ne sais pas trop, mais je vis, c’est simple et en même temps puissant, [je vis] comme je respire, pourquoi ? C’est simplement pour que mon univers se nourrisse. Je sais depuis que j’ai ouvert La Révélation d’Arès que j’avais raison d’aimer, mais avant, j’aimais mal, souvent mon amour ne servait qu’à me servir. Aujourd’hui, je ne m’oublie pas, mais je sais aimer autrement mieux. Je suis un faible lumignon (Rév d'Arès 32/5), mais avec tout le potentiel d’un homme du temps qui vient (Rév d'Arès 16/10, 30/13), car le Salut commence dès ce monde. Je le crois et pourtant rien de surnaturel vient me le confirmer, si ce n’est le vide de ma poitrine, cette paix intérieure qui ne déchire plus mes entrailles, vidé de tous mes angoisses passées, étant un minuscule ver insignifiant mais à l’œuvre avec tous ceux au cœur pur, à l’Édifice du Jour qui nous libérera.
Michel J.

Réponse :
Mon frère Michel, mes mains sur mon clavier ne trouvent pas de mots. Quel magnifique témoignage! Je me sens très ému.

28Aou06 39C12
Je suis émue aussi de lire ces beaux témoignages simples, depuis le retour [du Pèlerinage] d'Arès, grâce à cette ouverture que vous nous permettez, frère Michel.
Ta voix sonne à la cloche, pure ta voix sonne. Juste prophète (va) les mains devant (Rév d'Arès XXXVII/1-2)!
Après le mur (=Une fois que nous avons quitté le Saint Lieu d'Arès, Rév d'Arès XL/4), nos voix vont continuer de s'étaler, voix simples, mais courageuses et fidèles dans la Force. Je souhaite que la force d'aimer toujours mieux, d'aimer dans la joie de l''accomplissement, fasse que ce petit clocher [sous lequel le Créateur est revenu parler à l'homme en 1977] nous permette de dépasser les frontières intérieures qui façonnent "l'esprit de clocher."
Danièle G.

28Aou06 39C13
[Frère Michel,] je salue toujours votre inébranlable fidélité au Père de l' Univers et son serviteur et [Second, c.-à-d. nième] Fils parfait Jésus (Rév d'Arès 2/11).Celui qui prouva par là même que la vie éternelle est une réalité.
Je n'ai pas oublié l'évènement dont vous fûtes le témoin. L'évènnement d'avoir rencontré, dans le vrai sens du terme, la Parole par le Fils et par le Père Lui même. À cause de cela, l'Eau dans laquelle baigne le fidèle serviteur transparaît avec une force d'âme inépuisable et inlassable, apportant au monde, chaque jour que Dieu lui donne pour accomplir Sa mission prophétique, le Souffle de vérité. La parole de Mikal est Sa Parole (Rév d'Arès XXXI/10), son visage témoigne de la Force Christique la Force Divine [?].
Je salue votre courage. J'ai éprouvé de la peine à lire les critiques sur forum numérique [?]. Les critiques de ceux qui tentent de justifier leur actes insensés et dispersés dans la confusion des vaines satisfactions, des illusions de la fausse liberté, peut être dans l'espoir de se donner bonne conscience et de se convaincre eux même par l'affirmation de soi.
À cause de cela,je me suis demandé si parler sur l'internet n'était pas une perte de temps.S'il n'était pas plus efficace de faire des conférences directes afin de permettre à la Force du Père de toucher directement de vive voix le cœur des égarés.
Il est vrai que sans critique la porte est ouverte à tous les charlatans convaincus, mais qui par leurs paroles creuses ne servent qu'à s'accomplir eux-même tout en exploitant les cerveaux faciles à tromper. Mais le Plan du Père est Parfait et la perversion de la pensée peut se jouer, malgré elle, le tour de contraster avec la vraie et claire parole [prophétique] qui unifie dans l'efficacité du vrai service désintéréssé et l'amour du prochain dans la patience et la bonté issue d'une foi portée par la grâce de Dieu.
Si le libre arbitre que Dieu laisse à l'homme peut le fourvoyer, il n'empêchera jamais la sincérité de finir par entendre et peut être un jour vivre et comprendre la subtiles Paroles de Vie. Et ainsi tout servira, d'une manière ou d'une autre, à faire le bon choix une fois pour toutes, pour ne plus s'égarer dans la tentation, et s'écarter du Plan parfait de Dieu et de la Vie qui s'en écoule.
Quand bien même le Père ne s'aborderait [?] que dans le parfum de la miséricorde à longue échéance, parfum de Droiture émanant directement de Son Amour infini, quand bien même le pécheur ne rentrerait dans cette droiture par la crainte, plutôt que le pardon, la joie et l'allégresse que le Bon (=Jésus, Rév d'Arès I/5 et ailleurs) nous montra il y a deux mille ans par l' exemple de sa vie en ayant su, envers et contre tout, mettre ses pas et les garder dans les Pas du Père de L'Univers (Rév d'Arès 2/12), les juste changent [leurs vies] et changeront le monde grâce à l'alignement et à la résonnance du saint pouvoir de la Volonté du Père qui parle de lui même par l'exemple de nos vie. Vie que tous peuvent et pourront contempler ouvertement ou discrètement et chercher à trouver et en  vivre le  fond plutôt que la lettre.
J' espère de tout mon coeur que Dieu rétablisse votre santé, mon cher frère ainé (Rév d'Arès 16/1), afin que vous puissiez tout autant continuer de parler sur l'internet que vous adresser, de vive voix et directement, à ceux qui cherchent à vivre l'amour, la sagesse, l'intelligence, la vie, la santé, la force, la jeunesse éternelle, l'harmonie, le bonheur, l'abondance et la vrai liberté dans la Parole de Dieu.
Guy I.

29Aou06 39C14
Voir commentaire ci-après 39c16

29Aou06 39C15
J’ai été très touché par la dimension de spiritualité universelle, évidente et simple comme la Vie de votre texte et qui m’a enthousiasmé. Je le relis et je découvre les commentaires de mes frères et sœurs, y compris celui de notre compagne ou compagnon de blog anonyme, qui, soit dit en passant, développe une forte puissance de feu — Dommage que ce ne soit pas le Feu (Rév d’Arès XLIII/14) de Dieu! Mais qui sait ? —. Ils me touchent profondément et soulignent une autre dimension toute aussi fondamentale, mais plus problématique et plus urgente: l’aller retour entre la prière et/ou la méditation sur la Parole et l’accomplissement de la Parole dans le monde, pas dans un monastère ou un ashram. Je dis "aller retour" comme je le sens ; il n’y a pas vraiment ou forcément "d'aller-retour", c’est un côtoiement avec plus ou moins de distance, parfois une fusion heureuse, parfois une dissociation douloureuse.
"Sitôt fini le pèlerinage, le réel nous attend", et quel réel ! Sans être (heureusement) celui du Liban, de l’Irak ou de la Palestine, ni celui des bidonvilles du Brésil, du Maroc ou de l’Inde, c’est un feu continu d’obligations, de soucis, d’incidents, d’accidents, de contraintes, de sollicitations et parfois d’agressions, constamment déspiritualisants. Je garde au fond de moi mon dernier pèlerinage comme une oasis précieuse que je ravive et rafraîchit par la prière, la lecture et la méditation de la Parole, l’échange et la mission avec mes frères et sœurs de foi, la visite de votre blog. Je me ressource en ce jardin, quand j’ai mal, quand je doute de moi ou quand je sens que je me dessèche comme un oued en plein désert. Et parfois Dieu me désaltère à travers une rencontre, un article, un courrier inattendus et respiritualisants, alors que je ne sentais même plus ma soif. Mais en dehors de ce jardin, de l’espace où mes proches m’apportent du bonheur et quelques lieux où Dieu est au milieu de nous, parce que nous sommes deux ou trois réunis en son nom (Matthieu 18/20), c’est la balène (Rév d’Arès XL/4) et son bombardement incessant de malheur(s).
Entre les rivages de l’Éden, l’Ile bleue au loin (Rév d’Arès XL/13), où me conduit la Parole et les murs des cités et des égoïsmes cruels, y compris le mien (cf. Abel dans le commentaire 39C1), contre lesquels mon action s’avère bien lente et bien petite, il y a un grand fossé où je m’écartèle tous les jours. Je m’efforce comme tous mes frères et sœurs de foi d’accomplir ma part de cette magnifique voie d’Arès où Dieu a disposé pour ceux et celles qui en font l’ascension des sources et des bosquets fruitiers (Rév d’Arès 7/2) afin de la rendre supportable ; mais, que mes frères et sœurs me pardonnent, j’avoue que parfois, je trouve vraiment difficile ce combat sur tous les fronts, même si j’y trouve aussi de la joie. Mais, bon! la passerelle de ma vie de pénitent-missionnaire tient le coup, et il se pourrait même que cet écartèlement, qui globalement m’a renforcé, fasse partie de ma pénitence, à condition de rester dans la mesure.
Et puis Dieu me console encore : la pénitence est plus légère que le joug du riche et du puissant (Rév d’Arès 28/25). Mon Dieu, les pauvres!
D. Faber

29Aou06 39C16
Je ne sais pas si c'est l'auteur du blog ou quelqu'un d'autre (peut-être sa fille qui lui sert de secrétaire) qui sélectionne les commentaires à publier, mais on n'y lit que des compliments. Des critiques ou des observations moins flatteuses, et pourquoi pas des vacheries? seraient bienvenues aussi.
L'impression générale qu'on a en lisant est celle d'une propagande glorificatrice qui, de l'avis de beaucoup sûrement, diminue l'intérêt du naturel des entrées du blog, un naturel rare ou même exclusif chez un guru. Maintenant que ce blog approche la quarantième entrée je pense que ce naturel est vraiment naturel. Au début je pensais qu'il était travaillé avec soin, mais j'admets maintenant que l'auteur est un homme comme ça. Pourquoi pas des critiques naturelles, alors?
L'Ingénue

Réponse :
Ma fille Nina est en effet ma secrétaire, mais, débordée de travail au bureau, ne s'occupe pas d'entrer les commentaires de ce blog, bien qu'elle en soit capable. Ceci dit, ce blog n'est pas un site de propagande; il ne cache même pas la moindre arrière-pensée dithyrambique. Il exprime ma foi, laquelle est naturelle et enthousiaste, c'est inévitable. Merci de l'avoir perçu et apprécié.
<freesoulblog.net> est un site que j'ai créé au début de l'année 2006 après que j'eus subi des revers de santé qui m'avaient éloigné, et qui m'éloignent toujours, physiquement du gros de l'assemblée des Pèlerins d'Arès. J'ai vu là un bon moyen de rester au milieu de mes sœurs et frères — du moins au milieu de ceux connectés à l'internet — en leur parlant par blog comme je leur parlais de vive voix et en les laissant me répondre par blog comme ils me répondaient de vive voix.
C'est donc un lieu d'échange entre Pèlerins d'Arès et il est tout à fait attendu, donc normal, qu'on n'y lise, sauf rares exceptions, que des propos empreints de foi arésienne. J'affiche tout ce que je reçois sauf, mais ils sont rarissimes, les commentaires de négateurs sans intérêt, soit parce que, ayant intercepté ce blog je ne sais comment, ils ne connaissent rien à La Révélation d'Arès, soit parce que leurs libelles ont pour seul but de vilipender ou de menacer — Je sais bien que nous avons des objecteurs, mais un blog n'est pas un forum ou un débat polémique, c'est un lieu de rencontre entre amis.
Les seuls négateurs que j'affiche sont ceux comme celui (ou celle) qui signe "Anonyme", qui s'expriment de façon ni injurieuxse ni hargneuse, parce que je m'interdis de répondre sur le même ton et que je me mettrais en situation d'échange impossible. C'est pourquoi je ne verrais pas l'intérêt pour ce blog d'afficher des "vacheries" qui ne soient que des "vacheries".

30Aou06 39C17
La simplicité est un sujet difficile. Expliquer la simplicité d'être, tout simplement, détruit déjà cette simplicité. L'existence actuelle est faite d'une complexification qui est loin de la complexité "simple" de la simple existence. Quand le Créateur dit '"Et que cela soit!" (Genèse 1/1-26) et quand on commence à observer la complexité infinie de la création et sa dynamique, on peut rester perplexe sur la simple relation de la cause à effet. Et pourtant le monde existe bien, même si c'est un monde "brut" au début.
Je pense avoir vu un petit bout d'Éden pendant le pélerinage. Cela a duré une fraction de seconde ou une éternité car c'était comme hors du temps (Rév d'Arès 12/6). Un monde d'une très grande vibration intérieure dans lequel on pouvait voir l'énergie et où les êtres étaient en plénitude sans autre désir que d'exister et d'être là hors du temps. Les montagnes et le ciel et les gens étaient d'une intensité de présence à égale. Je n'avais aucune idée de ce que c'était d'être hors du temps. Eh bien, c'est d'une grande simplicité! Je crois qu'en Éden le mot exister prend tout son sens et le mot simplicité aussi car les choses et les humains sont, tout simplement.
Jean-Hubert

31Aou06 39C18
[suite à la réponse au commentaire
39C16:]
Vous dites : "J'affiche tout ce que je reçois sauf, mais ils sont rarissimes, les commentaires de négateurs sans intérêt, soit parce que, ayant intercepté ce blog je ne sais comment..."
C'est parce que vous êtes référencé sur les moteurs de recherche, notamment Google.
Cécile

Réponse :
Merci de me faire savoir que je suis "référencé sur les moteurs de recherche, notamment Google." Je n'y avais pas pensé. Non que j'ignore complètement ce qu'est ce référencement, car deux de nos frères parisiens, Jef et Vincent, m'expliquèrent, en 2004 ou 2005 quand je collaborais à "Frère de l'Aube," comment cela se passe: Les "moteurs de recherche" (drôle de nom, mais bon! passons) scannent rapidement la page index (première page) de tous les nouveaux sites et relèvent les mots ou noms qui correspondent à des index pré-établis, par exemple, dans notre cas: "révélation", "Révélation d'Arès", "Michel Potay."
Pour dire vrai, le but de ce blog est simplement pour moi de demeurer parmi mes sœurs et frères de foi, les Pèlerins d'Arès, tandis que la maladie m'empêche de voyager comme avant. Le but du blog n'est pas de se faire connaître universellement. Ceci étant, je comprends comment certains, que je ne connais pas, peuvent découvrir <freesoulblog.net>.

31Aou06 39C19
Simplicité oui, dans le temps (Rév d'Arès 12/6), pour en sortir.
Dans le premier temps, c’est génial que l’homme trouve toutes ses réponses dans la parole [prophétique] qui nous revient très bonne, très limpide, très cohérente sous la lanterne (=sous le clocher Rév d'Arès XVI/19-20) d’Arès, comme le dit le frère juif au frère Michel, et ensuite, c’est génial qu’une fois reçue, cette parole dans sa gorge ouverte, comme le dit Bernard dlf, il puisse alors y fouiller comme le tison dans sa moelle (Rév d'Arès XXX/20), se retourner sous le soc de cette parole comme avec la houe (XXX/7), se transformer, retrouver la vue du Père Lui-même sur l’avenir à faire de soi.
Il a saisi la bonne Main pour reprendre l’ascension (Rév d'Arès 7/2 et ailleurs), retrouver le passage vers la Vie, débloquer le torrent de la recréation, ouvrir les vannes qui laissent la parole s’engouffrer comme le sang dans les veines de notre corps intégral, chair, esprit et âme, redevenu partie liée à l’univers total, comme l’arbre à la terre et au ciel, (avec) la rave et la fleur [du?] frère conscit, comme en parlent si bien nos frères à bras (ou) à cinelle dans leurs commentaires, comme « minuscule ver insignifiant mais à l’œuvre avec tous ceux au cœur pur, à l’Édifice du Jour qui nous libérera », pour ne citer que celui de Michel parmi tant d’autres. Quelle espérance représente notre pénitence (mise en action de notre conscience de bien).
Au début de votre blog, tout en lisant tous les commentaires avec un grand intérêt, je n’enregistrais dans un carnet sur mon ordi, que vos articles et vos réponses avec les commentaires qui les occasionnaient, mais aujourd’hui, je vais tout archiver et chercher avec d’autres comment mieux partager cette richesse qui "décoiffe": Je souffle (sur) ton cheveu, (il tombe de ta tête comme) la pierre de feu coule, il couvre la terre, (il) ouvre l(es) porte(s comme) la pierre de feu. (Rév d'Arès L4-6)
Bernard L.
Nota par le blogger: Je n'ai pas pu placer les références à La Révélation d'Arès partout où j'aurais dû le faire, car le texte, déjà dense et un peu abstrus, aurait été plus difficile à lire.

01Sep06 39C20
Avec le frère G. de Paris nous missionnons actuellement en posant la question: “Pensez-vous que l'être humain est conditionné!?” La réponse est toujours oui. Nous demandons alors des exemples de conditionnements. Je retiens celui du conditionnement des religions sur les peuples qui disent et prétendent être seules représentantes de Dieu sur terre, divisant les hommes, de là les conflits à Jérusalem, au Liban, etc. Ces frères humains manipulés sont sincères, chacun dans son système culturel ou religieux.
Un jeune homme, ce soir nous a demandé: “Qui êtes-vous, comment vous identifie-t-on?” Je lui ai dit : “On nous appelle des Pèlerins d'Arès, mais, nous sommes beaucoup plus que cela. Nous sommes des femmes, des hommes, des enfants du quotidien de la vie, venant de toutes les souches de la société, de tous les corps de métiers, de tous les pays, de croyances diverses: juifs, chrétiens, musulmans, athées, bouddhistes, etc. Nous avons lu La Révélation d'Arès, nous en avons été touchés [et conformément à ce qu'elle nous suggère, nous nous efforçons d'être] des héros, des pénitents, [ce que doivent devenir tous les hommes qui attendent] un signe du Ciel.  Les héros se lèvent et la mort descend sous les îles [du mal] (Le Livre XXXV/10-12), et à leur tour ils cherchent d'autres héros  (pénitents) qui à leur tour se lèveront et ainsi de suite.
La Bible, le Coran, La Révélation d'Arès, les prophètes ouvrent les consciences. Nous sommes un peuple de consciences dont l'objectif est non seulement de nous recréer bons, justes, pacifiques, mais aussi d'ouvrir, trouver d'autres consciences, parce que croire ne changera pas l'humanité et n'en arrêtera pas l'histoire malheureuse, c'est de faire le bien qui changera le monde. Nous avons librement choisi de prouver au monde que l'on peut vivre et passer à un autre niveau de conscience en suivant la parole de Dieu et les enseignements des prophètes. Nous formons un peuple d'espérance majeure spirituelle. La sourate 3 du Coran (La famille d'Imran, verset 164) dit: Allah a sans aucun doute fait une faveur aux croyants (frères) lorsqu'Il a envoyé chez eux un messager né parmi eux, qui leur récite ses versets, les purifie et leur enseigne le Livre (toute la Parole) et la sagesse, bien qu'ils fussent auparavant dans un égarement évident.
De tout temps, les prophètes et leur fidèles ont été controversés, de tout temps, il y a eu un petit reste pour reprendre le chemin d’Éden en répandant la Parole. Pour nos contradicteurs, je me permets cette citation  que je trouve belle : “Il faut avoir beaucoup erré dans l'ombre pour toucher la lumière” (Adriana Evangelizt).
Didier Br.

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